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« Le chef de l’Etat se concertera par ailleurs avec ses partenaires sur les prochaines étapes de mise en œuvre du plan de paix », a fait savoir l’Elysée, samedi. Plus de 500 000 personnes sont revenues dans le nord de l’enclave depuis l’entrée en vigueur de la trêve, vendredi, selon un responsable de la défense civile de Gaza.
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Emmanuel Macron se rend lundi en Egypte pour soutenir la « mise en œuvre » de l’accord entre Israël et le Hamas
Le président de la République, Emmanuel Macron, se rendra en Egypte, lundi, en soutien à la mise en œuvre de l’accord présenté par le président américain, Donald Trump, pour mettre fin à la guerre à Gaza et « créer les conditions de la paix et de la coexistence régionale », a fait savoir l’Elysée samedi.
« Le chef de l’Etat se concertera par ailleurs avec ses partenaires sur les prochaines étapes de mise en œuvre du plan de paix. Il réaffirmera à cette occasion la mobilisation de la France et de ses partenaires pour préparer le “jour d’après”, autour des exigences de sécurité, de gouvernance et de reconstruction, afin de permettre la stabilisation durable de la région fondée sur la solution à deux Etats », a ajouté la présidence française, sans préciser si le chef de l’Etat s’entretiendrait avec son homologue américain, qui prévoit aussi de se rendre en Egypte.
Plus de 500 000 personnes sont revenues dans le nord de Gaza depuis l’entrée en vigueur de la trêve, selon la défense civile du territoire palestinien
Un responsable de la défense civile de Gaza, organisation de premiers secours opérant sous l’autorité du Hamas, a annoncé, samedi, que plus de 500 000 personnes étaient revenues dans le nord du territoire palestinien depuis l’entrée en vigueur du cessez-le-feu avec Israël, la veille à 11 heures (heure de Paris).
Soulagées par le cessez-le-feu à Gaza, des dizaines de milliers de personnes dans les rues de Londres
Plusieurs dizaines de milliers de personnes, résolues à continuer les marches pour « les droits des Palestiniens », ont manifesté, samedi, dans le centre de Londres pour « exiger une paix juste » et « continuer à parler de Gaza ». Depuis le début de la guerre à Gaza, trente manifestations ont été organisées à Londres par l’organisation Palestinian Solidarity Campaign (PSC). Celle de samedi, prévue de longue date, a pris une teinte particulière au lendemain du cessez-le-feu conclu entre Israël et le mouvement islamiste palestinien.
« Arrêtez d’affamer Gaza ! », « Levez le siège ! » proclamaient des pancartes. D’autres, plus politiques, affirmaient que « Ce n’est pas un crime d’agir contre un génocide », en référence à la décision de Londres de classer terroriste une organisation propalestinienne, Palestine Action. D’autres encore accusaient le premier ministre britannique, Keir Starmer, d’avoir du « sang sur les mains ». Sur le chemin, le cortège a croisé un rassemblement – stationnaire – de contre-manifestants, agitant des drapeaux israéliens et lançant des insultes. « Un petit nombre d’arrestations » a été effectué après une altercation, a précisé la police de Londres sur le réseau social X.
Israël a regroupé dans deux prisons les détenus devant être libérés en échange des otages détenus dans la bande de Gaza, selon l’administration pénitentiaire
Les autorités israéliennes ont rassemblé dans deux prisons les détenus devant être libérés en échange de la libération des otages à Gaza prévue dans le cadre du cessez-le-feu négocié avec le Hamas sous l’égide du président américain Donald Trump, a annoncé samedi l’administration pénitentiaire.
Les « prisonniers relevant de la sécurité nationale ont été transférés vers les centres d’expulsion des prisons d’Ofer [en Cisjordanie] et de Ktziot [dans le sud d’Israël], en attendant les instructions des autorités politiques et la poursuite des opérations pour permettre le retour des otages en Israël », écrit l’administration dans un communiqué.
Aux termes de l’accord, les 48 otages ou dépouilles d’otages encore dans la bande de Gaza doivent être rendus à Israël d’ici à lundi 11 heures (heure de Paris). En échange, Israël doit libérer 250 « détenus pour des raisons de sécurité », dont de nombreux condamnés pour des attentats meurtriers anti-israéliens, et 1 700 Palestiniens arrêtés par l’armée israélienne dans la bande de Gaza depuis le début de la guerre.
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Les Etats-Unis ne déploieront pas de soldats dans la bande de Gaza, réaffirme le chef du commandement militaire américain pour le Moyen-Orient
Le nouveau chef du commandement central de l’armée américaine pour le Moyen-Orient (CentCom), l’amiral Brad Cooper, nommé à son poste au début d’août, a réaffirmé samedi que la « stabilisation postconflit » de la bande de Gaza se ferait sans déploiement de soldats américains sur place.
Rentré samedi d’une visite dans la bande de Gaza, l’amiral a assuré que « les fils et filles de l’Amérique en uniforme répondent à l’appel pour instaurer la paix au Moyen-Orient, conformément aux directives du commandant en chef en ce moment historique », dans une déclaration relayée sur X par le CentCom. « Cet effort considérable sera mené à bien sans que les Etats-Unis n’envoient de troupes à Gaza », a-t-il ajouté.
L’armée américaine doit coordonner une force opérationnelle multinationale qui se déploiera à Gaza et qui comprendra probablement des troupes d’Egypte, du Qatar, de Turquie et des Emirats arabes unis.
Environ 250 000 personnes sont revenues dans le nord de Gaza depuis l’entrée en vigueur de la trêve, selon la défense civile du territoire palestinien
A la faveur du repli de l’armée israélienne sur des lignes convenues à l’intérieur de la bande de Gaza, des milliers de Gazaouis continuent de remonter, samedi, la route côtière Al-Rachid vers le nord, à pied ou dans des voitures chargées pour certaines de matelas et couvertures, rapporte l’Agence France-Presse (AFP).
Un responsable de la défense civile de Gaza, organisation de premiers secours opérant sous l’autorité du Hamas, a fait savoir, samedi à la mi-journée, qu’environ 250 000 personnes étaient revenues dans le nord du territoire palestinien depuis la trêve entrée en vigueur la veille à 11 heures (heure de Paris).
Dans la ville où, selon l’ONU, vivait environ 1 million de personnes en août, de nombreux immeubles sont aujourd’hui éventrés, sans fenêtres ou, pour beaucoup, réduits en poussière. Dans les rues dominées par le gris des débris, des piétons, dont beaucoup d’hommes, marchent samedi, pour la plupart sans effets personnels avec eux, selon des images de l’AFP.
Le point sur la situation samedi 11 octobre à 14 heures
- Donald Trump s’est dit confiant sur la tenue du cessez-le-feu entre Israël et le Hamas entré en vigueur vendredi à 11 heures. « Ils en ont tous marre de se battre », a déclaré le président américain, qui doit se rendre ce week-end au Proche-Orient : d’abord en Israël, où il doit s’adresser à la Knesset, puis en Egypte, où il prévoit de rencontrer lundi « de nombreux dirigeants » pour discuter de l’avenir de la bande de Gaza.
- Près de 200 000 personnes sont revenues dans le nord de la bande de Gaza vendredi, après l’entrée en vigueur du cessez-le-feu, selon la défense civile du territoire palestinien.
- Les organisations humanitaires se préparent à étendre massivement leurs opérations dans la bande de Gaza. Le Bureau des affaires humanitaires des Nations unies a déclaré avoir le feu vert israélien pour 170 000 tonnes d’aide, et avoir un plan de réponse humanitaire pour les soixante premiers jours de trêve. Plusieurs sources humanitaires ont toutefois confié à l’AFP leurs inquiétudes quant au retour de l’aide sur lequel Israël n’a encore fourni aucune information.
- Hamas a jusqu’à lundi midi (11 heures à Paris) pour libérer les otages. Le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a déclaré qu’il espérait que son pays pourrait célébrer dès lundi soir « un jour de joie nationale ».
- Au Liban, le président Joseph Aoun a dénoncé samedi des bombardements nocturnes israéliens contre des « installations civiles » dans le sud du pays qui ont fait un mort et sept blessés. « Une fois de plus, le sud du Liban est la cible d’une agression israélienne odieuse contre des installations civiles. Sans justification ni prétexte. Mais la gravité de cette dernière agression réside dans le fait qu’elle survient après l’accord de cessez-le-feu à Gaza », a-t-il affirmé.
L’agence de presse WAFa annonce la mort d’un homme tué par des tirs israéliens dans le sud de la bande de Gaza
Un homme a été tué par des tirs de l’armée israélienne, samedi matin, dans la ville d’Al-Qarara, près de Khan Younès (sud), rapporte l’agence de presse palestinienne WAFa, citant des sources médicales.
Onze corps ont par ailleurs été récupérés des décombres au cours de la matinée dans le territoire palestinien, selon la même source. D’après les équipes de secours citées par l’agence, « environ 9 500 personnes » sont toujours portées disparues dans l’enclave dévastée, après deux ans de guerre. Le dernier bilan du ministère de la santé local, publié samedi, fait état de 67 682 morts et 170 033 blessés depuis le 7 octobre 2023.
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Un jeune homme tué à Jénine, l’armée israélienne affirme qu’il avait lancé un engin explosif sur des soldats
Un jeune Palestinien de 25 ans a été tué par l’armée israélienne à l’aube samedi dans la région de Jénine, en Cisjordanie, rapporte l’agence de presse palestinienne WAFa. Dans un communiqué, l’armée israélienne, qui qualifie ce dernier de « terroriste », affirme qu’il avait « lancé un engin explosif en direction d’une patrouille de parachutistes. Les soldats ont riposté par des tirs et neutralisé le terroriste ».
A Gaza, le retour massif des déplacés dans le nord de l’enclave dans un paysage de ruines
Par Laure Stephan
Ayman est un survivant. Cet ingénieur n’a « jamais quitté » la ville de Gaza, où il habite dans la partie ouest, près de la mer, au cours des deux ans de la guerre d’anéantissement menée par l’armée israélienne contre l’enclave palestinienne. « La joie » : voilà le sentiment qui l’anime, vendredi 10 octobre, alors que les bombardements ont cessé et que des milliers de déplacés retrouvent la ville. « Les rues sont pleines de déplacés qui font leur retour », s’émeut-il, tandis que résonnent, derrière sa voix, des conversations d’enfants et des klaxons de voiture.
Bonjour,
Le plan Trump stipule qu’une « aide complète sera immédiatement acheminée dans la bande de Gaza » dès l’entrée en vigueur de l’accord de paix et ce, « sans ingérence des deux parties ». Interrogées par l’Agence France-Presse (AFP), plusieurs organisations humanitaires comme le programme alimentaire mondial (PAM), Médecins sans frontières (MSF) et le Norwegian Refugee Council (NRC), se sont dites prêtes samedi à étendre massivement leurs opérations. Le Bureau des affaires humanitaires des Nations unies a ainsi déclaré avoir le feu vert israélien pour 170 000 tonnes d’aide, et avoir un plan de réponse humanitaire pour les soixante premiers jours de trêve.
Si ces organisations ont confié à l’AFP un certain « optimisme » quant à la mise en œuvre du plan, des inquiétudes demeurent sur les modalités d’application sur lesquelles Israël n’a encore fourni aucune information officielle. « Le plan de Trump dit qu’on va revenir au système qui était en place lors du précédent cessez-le-feu [en janvier 2025], mais les conditions sur le terrain sont différentes », a expliqué Antoine Renard, directeur du PAM dans les territoires palestiniens, insistant sur les importants déplacements de population ayant eu lieu depuis. Avec l’offensive israélienne sur le nord de la bande de Gaza mi-septembre, des centaines de milliers de personnes ont fui vers le centre et le sud du territoire. Cela a créé une « pression » supplémentaire sur des zones dans lesquelles les habitants peinaient déjà à se nourrir ou à se soigner en raison de fortes pénuries, a-t-il rapporté.
Deux travailleurs humanitaires ont expliqué à l’AFP être inquiets des restrictions que les autorités israéliennes pourraient imposer sur les distributions d’aide, principalement effectuées depuis le printemps par la Gaza Humanitarian Foundation (GHF). Les opérations de cette organisation, soutenue par Israël et les Etats-Unis, ont été entachées par la mort de plus de 1 000 personnes tuées à proximité de ses sites, selon le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme. Des problèmes administratifs pourraient se poser alors qu’Israël a imposé au printemps un nouveau mécanisme d’enregistrement des ONG que certaines ont refusé.
Bonjour,
Aucune information n’a été donnée en ce sens, pour l’heure, et le blocus de l’information imposé par Israël dans la bande de Gaza est toujours en vigueur malgré le cessez-le-feu. Vendredi, l’Association de la presse étrangère (FPA) à Jérusalem a exhorté les autorités israéliennes à accorder un accès indépendant à Gaza, arguant qu’il n’y avait désormais aucune excuse pour entraver l’accès au territoire. Reporters sans frontières (RSF) a également déploré, vendredi, que l’entrée en vigueur de l’accord de paix n’ait pas encore été suivie d’un arrêt du blocus médiatique imposé sur le territoire assiégé.
Depuis le début de la guerre à Gaza, en octobre 2023, les autorités israéliennes ont empêché les journalistes de médias étrangers d’entrer sur le territoire, n’autorisant au cas par cas qu’une poignée de reporters à accompagner leurs troupes. Selon RSF, l’armée israélienne a tué près de 220 journalistes, dont au moins 56 dans l’exercice de leur travail.
Le président Joseph Aoun dénonce des bombardements nocturnes israéliens contre des « installations civiles »
Le président libanais, Joseph Aoun, a dénoncé samedi matin des bombardements nocturnes israéliens contre des « installations civiles » dans le sud du pays qui ont fait, selon le ministère de la santé, un mort et sept blessés. « Une fois de plus, le sud du Liban est la cible d’une agression israélienne odieuse contre des installations civiles. Sans justification ni prétexte. Mais la gravité de cette dernière agression réside dans le fait qu’elle survient après l’accord de cessez-le-feu à Gaza », a-t-il affirmé.
L’agence de presse officielle libanaise NNA a indiqué que des avions de combat israéliens avaient mené 10 raids visant des parcs de bulldozers et d’excavatrices dans la région d’Al-Msayleh. L’armée israélienne a confirmé des attaques, affirmant avoir « frappé et démantelé des infrastructures terroristes du Hezbollah dans le sud du Liban ». « La présence de ces engins et les activités du Hezbollah dans cette zone constituent une violation des accords conclus entre Israël et le Liban », a-t-elle ajouté. A Msayleh, à plus de 40 km au nord de la frontière avec Israël, se trouve la résidence du président du Parlement et allié du Hezbollah, Nabih Berri.
Malgré le cessez-le-feu du 27 novembre 2024, qui avait mis fin à plus d’un an de conflit entre Israël et le Hezbollah, l’armée israélienne continue de mener des frappes quasi quotidiennes au Liban, affirmant viser des membres du mouvement soutenu par l’Iran et l’accusant de tenter de reconstituer ses forces. L’ONU a indiqué début octobre que 103 civils avaient été tués au Liban depuis l’entrée en vigueur de la trêve.
Près de 200 000 personnes sont retournées dans le nord de la bande de Gaza vendredi, selon la défense civile
L’annonce de l’entrée en vigueur du cessez-le-feu entre Israël et le Hamas a poussé des milliers de Palestiniens à affluer sur la route côtière de la bande de Gaza, à pied, à vélo, en camion ou en charrette, en direction du nord, largement dévasté, alors que d’autres sont retournés dans les ruines de leur maison à Khan Younès, dans le sud de l’enclave. Selon la défense civile locale, citée par l’Agence France-Presse (AFP), « approximativement 200 000 personnes » sont retournées chez elles dans le nord de la bande de Gaza, vendredi.
« Nous rentrons chez nous malgré les destructions, le siège et la douleur. Nous sommes heureux même si nous retournons dans des ruines », a déclaré à l’AFP Amir Abou Iyadeh, 32 ans, avant sa remontée de l’enclave. Mais pour beaucoup de ceux qui sont déjà rentrés, la dure réalité de la situation s’est rapidement imposée. « Les dégâts sont immenses et indescriptibles ; presque tout est en ruine et inhabitable », a témoigné auprès de l’agence Reuters Muhannad Al-Shawaf, un habitant de Khan Younès, soulignant qu’il lui fallait auparavant trois minutes pour rejoindre une rue voisine de chez lui.
Désormais, il lui faut plus d’une heure pour se frayer un chemin à travers les décombres. « Les rires ont disparu et les larmes se sont taries. Les habitants de Gaza sont perdus, comme des morts-vivants en quête d’un avenir lointain », a déclaré Mustafa Ibrahim, un défenseur des droits humains de la ville de Gaza, réfugié à Deir Al-Balah.
La quasi-totalité des 2,2 millions d’habitants de Gaza ont été déplacés au cours de deux années de guerre qui ont tué des dizaines de milliers de personnes et réduit en ruine de vastes zones. A travers la bande de Gaza, des secouristes ont profité vendredi du cessez-le-feu pour fouiller les décombres. « Dans la ville de Gaza uniquement, 63 corps ont été retrouvés et transportés à l’hôpital », a fait savoir Mahmoud Bassal, porte-parole de la défense civile.
Le point sur la situation, samedi 11 octobre à 5 heures
- L’accord de cessez-le-feu à Gaza entre Israël et le Hamas est entré en vigueur, vendredi, à 11 heures, après le retrait des troupes israéliennes de plusieurs zones de la ville de Gaza et d’autres secteurs dans le sud du territoire. L’armée américaine a confirmé que les forces israéliennes avaient effectué la première phase de leur retrait.
- Donald Trump s’est dit confiant sur la tenue de ce cessez-le-feu. « Ils en ont tous marre de se battre », a dit le président américain, qui doit se rendre ce week-end au Proche-Orient ; d’abord en Israël, où il doit s’adresser à la Knesset, puis en Egypte, où il prévoit de rencontrer lundi « de nombreux dirigeants » pour discuter de l’avenir de la bande de Gaza.
- Le Conseil de sécurité des Nations unies « doit apporter son plein appui au plan » pour Gaza, ont déclaré, vendredi, Berlin, Londres et Paris dans un communiqué commun. Les dirigeants des trois pays européens s’engagent par ailleurs « à soutenir un paquet d’aide humanitaire substantielle, par les agences des Nations unies ».
- La défense civile de Gaza a affirmé, vendredi, que près de 200 000 personnes étaient revenues dans le nord du territoire palestinien depuis l’entrée en vigueur du cessez-le-feu.
- Le Hamas a jusqu’à lundi à midi (11 heures à Paris) pour libérer les otages. Avec l’entrée en vigueur de l’accord, environ 600 camions transportant de l’aide humanitaire seront autorisés à entrer chaque jour à Gaza – contre une quarantaine pour les deux principales organisations apportant de la nourriture dans l’enclave, le Programme alimentaire mondial (PAM) et l’ONG américaine World Central Kitchen (WCK), au mois de septembre.
- Benyamin Nétanyahou a déclaré qu’il espérait que son pays pourrait célébrer dès lundi soir « un jour de joie nationale » avec le retour de tous les otages encore détenus dans la bande de Gaza.
- Le dirigeant palestinien Marwan Barghouti, détenu en Israël depuis 2002, ne figure pas sur la liste des prisonniers palestiniens qui seront libérés dans le cadre de l’accord. La liste des détenus libérables, publiée par Israël, ne comprend aucun des principaux détenus symboles de la lutte armée palestinienne contre Israël dont le Hamas avait transmis les noms aux médiateurs dans l’espoir de leur libération.
Bonjour à toutes et tous
Bienvenue dans ce direct consacré à la situation au Proche-Orient et plus particulièrement dans la bande de Gaza où un accord de cessez-le-feu entre Israël et le Hamas est entré en vigueur.
Vous pouvez consulter notre live précédent sur ce lien.
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