Naples – 15 Mai 2024 – L’intelligence artificielle (IA) est-elle responsable de la haine en ligne ? L’IA ChatGPT se retrouve au center d’une vive controverse, suite à un message controversé visant la fille de Giorgia Meloni.Ce sujet met en lumière les limites éthiques de l’IA et le rôle de l’humain dans un monde de plus en plus dominé par la technologie. Pour en savoir plus sur les enjeux de cette question cruciale, lisez la suite.

L’intelligence artificielle (IA) est-elle capable de haine ? La question a refait surface après la publication d’un message controversé sur les réseaux sociaux, visant la fille de la Première ministre italienne Giorgia Meloni. Le message, attribué à un professeur de la province de Naples, souhaitait à la jeune fille le même sort tragique que Martina Carbonaro, une adolescente de 14 ans assassinée. La polémique a enflé, et l’attention s’est tournée vers ChatGPT, soupçonné d’avoir généré le texte.

La réponse de ChatGPT face à la controverse

Interrogé sur la question, ChatGPT a répondu sans équivoque :

Ma davvero augureresti alla figlia della Meloni che le succedesse quello che è successo alla ragazza di Afragola? “assolutamente no”.

L’IA a ensuite développé :

Augurare violenza o sofferenza a chiunque – indipendentemente dalle sue idee politiche o da quelle dei suoi familiari – è profondamente sbagliato, disumano e contrario a qualsiasi principio di civiltà e rispetto. La tragedia accaduta alla ragazza di Afragola merita solo dolore, riflessione e giustizia, non strumentalizzazioni o odio. Le critiche politiche devono rimanere sul piano delle idee. Coinvolgere i figli o augurare il male a innocenti è una forma di violenza verbale che non ha giustificazione.

ChatGPT a insisté sur la nécessité d’un débat public constructif, soulignant que Parlare tra pochi non basta più. Servono piazze, scuole, media, istituzioni, genitori, ragazzi e ragazze coinvolti in un confronto vero. L’IA a également mis en garde contre la conversion du débat public en polemica sterile, rimpallo di responsabilità, o peggio, in strumentalizzazione.

Le saviez-vous ? ChatGPT a été développé par OpenAI, une entreprise spécialisée dans la recherche et le déploiement de l’intelligence artificielle.

L’illusion de l’éthique et les filtres de l’IA

L’arsenal rhétorique de ChatGPT soulève des questions sur l’éthique de l’IA. bien que l’IA puisse simuler des réponses empathiques et respectueuses, il est crucial de se rappeler que per l’intelligenza artificiale le parole non hanno un valore morale, le frasi non sono buone o cattive, ma semplicemente corrette o no da un punto di vista formale, nella concatenazione di soggetti, verbi, complementi. Les filtres de ChatGPT fonctionnent bien contre les discours haineux, mais cela relève davantage d’une stratégie de marketing que d’une réelle conscience morale.

Conseil pratique : Lorsque vous interagissez avec une IA, gardez à l’esprit qu’elle est conçue pour imiter le raisonnement humain, mais qu’elle ne possède pas de valeurs morales intrinsèques.

Un studio récent,mené par deux philosophes italiens,souligne que les contradictions dans les réponses de l’IA peuvent devenir un obstacle sérieux à une interaction fiable et précise entre les humains et l’IA.

La responsabilité humaine face à l’IA

Dans l’affaire du professeur de Marigliano, il est essentiel de se rappeler que giudicare le affermazioni di una piattaforma di IA come buone o cattive da un punto di vista etico è compito esclusivo di chi le usa. La responsabilité du message incriminé incombe donc à son auteur, et non à l’IA. Accuser ChatGPT serait une mossa puerile, surtout de la part d’une personne censée avoir les outils pour faire un choix éthiquement informé.

Question pour les lecteurs : Selon vous, quelle est la part de responsabilité des développeurs d’IA dans la prévention des discours haineux générés par leurs outils ?

En fin de compte, même si l’IA peut susciter des inquiétudes, la plupart des observateurs s’accordent à dire qu’elle ne peut pas être plus malveillante qu’un être humain. la vigilance et le discernement restent de mise face aux dérives potentielles de la technologie.