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RÉCIT - Soutenu sur cette réforme par les oppositions, le premier ministre voit ses alliés, à commencer par Bruno Retailleau, blâmer son vieux projet de changer le mode d’élection des députés, au nom de la stabilité.
Les alliés sont devenus des opposants, les opposants se sont transformés en alliés. Pendant vingt-quatre heures, les rôles se sont inversés face à François Bayrou, déjà mis en difficulté par la préparation du budget et la réponse aux violences commises en marge de la victoire du PSG en Ligue des champions.
Lundi après-midi, sous les fenêtres du premier ministre qui vient de le recevoir pendant plus d’une heure, Bruno Retailleau durcit son discours : le ministre de l’Intérieur, nouveau président des Républicains (LR), n’exclut pas de démissionner de son ministère si le centriste s’entête à changer le mode d’élection des députés, en instaurant la proportionnelle. Lui, en tout cas, refuse de « porter » cette réforme.
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Mardi matin, entre les murs de l’Hôtel de Matignon où le chef du gouvernement réunit les dirigeants de sa coalition, Laurent Wauquiez le prévient à nouveau que les députés Les Républicains (LR) feront tout pour conserver le scrutin majoritaire, gage d’une plus grande «