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Le syndicat qui représente les 800 professionnels de la Société de transport de Montréal envisage à son tour de se doter d’un mandat de grève, si les négociations avec la STM ne portent pas fruit.
Les parties viennent de commencer la médiation, dans l’espoir de résoudre le litige quant au renouvellement de la convention collective.
Le syndicat des employés d’entretien a déjà débrayé à deux occasions, en juin, puis en septembre-octobre, et le syndicat des chauffeurs d’autobus et opérateurs de métro s’est déjà doté d’un mandat de grève, mais il ne l’a pas encore exercé.
Le syndicat des professionnels représente des ingénieurs, des architectes, des analystes, des conseillers, par exemple.
La médiation a débuté mercredi, alors que les négociations avaient commencé il y a environ un an. La convention collective est échue depuis janvier dernier.
L’enjeu principal est le recours à la sous-traitance, comme c’est le cas pour le syndicat qui représente les employés d’entretien.
En entrevue vendredi, Benoît Tessier, vice-président du syndicat, affirme que la STM dispose déjà d’une flexibilité suffisante, dans l’actuelle convention collective, pour ouvrir des postes temporaires pour des projets particuliers.
Selon lui, le recours à des firmes privées de génie ferait perdre son expertise à la STM, en plus de la rendre éventuellement dépendante de ces firmes, qui coûtent davantage que son propre personnel.
La STM a déjà expliqué qu’elle était prise dans une situation financière difficile, voire « sans précédent », et qu’elle devait obtenir davantage de flexibilité de la part de ses employés, afin de réduire ses coûts, tout en maintenant le service.