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Assassinat, viol, séquestration en région parisienne : le suspect, déjà connu de la justice pour violences conjugales, mis en examen et écroué

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Par Le Figaro avec AFP

Le 15 novembre 2025 à 14h12

La prison de Fresnes en novembre 2020 (photo d’illustration).

La prison de Fresnes en novembre 2020 (photo d’illustration). CHRISTOPHE ARCHAMBAULT / AFP.

Cet homme de 53 ans avait été interpellé mardi soir dans l’Essonne. Son ex-compagne l’accuse d’avoir tué son nouveau compagnon, ainsi que de l’avoir violée et séquestrée.

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Un homme de 53 ans, déjà connu de la justice pour violences conjugales, a été mis en examen et écroué pour assassinat, viol sur ex-conjointe et séquestration, a appris l’AFP auprès du parquet de Créteil ce samedi.

Interpellé mardi soir dans l'Essonne, il était recherché après que son ex-conjointe de 37 ans avait contacté les forces de l'ordre en affirmant s'être échappée de l'appartement du mis en cause en Seine-et-Marne, après avoir sauté du balcon.

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Prise en charge par les secours, elle a expliqué que son ex-conjoint avait tué son compagnon à leur domicile à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne), selon le parquet. Elle a en outre indiqué avoir été violée et séquestrée avec son fils de 9 ans par son ex-conjoint, au domicile de ce dernier, dans la nuit de lundi à mardi.

Le compagnon tué d’une balle dans la tête

Mardi soir, le corps sans vie d'un homme de 42 ans a été découvert dans un box à Champigny-sur-Marne, présentant une plaie par balle à la tête. L'autopsie a révélé que son décès «résultait d'un tir d'arme à feu», avait indiqué le parquet vendredi. Le suspect a reconnu lors de sa garde à vue «avoir tiré sur le compagnon de son ex-conjointe mais contestait les autres faits qui lui étaient reprochés», avait ajouté le parquet.

L'homme n'avait jamais été condamné par la justice française, mais il devait comparaître le 18 février 2026 pour des violences par ex-conjoint avec incapacité totale de travail (ITT) de six jours sur la même femme, commises en septembre. Il était sous contrôle judiciaire et avait interdiction d'entrer en contact avec la victime et de se rendre à son domicile.

«Son expertise psychiatrique a conclu à l'absence d'altération du discernement», avait précisé le parquet vendredi. Après l'ouverture d'une information judiciaire pour assassinat, séquestration arbitraire de plusieurs personnes et viol par ex-conjoint, «les investigations se poursuivront désormais sur commission rogatoire du juge d'instruction», avait détaillé cette source.

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