3 JUIN 2007

ALERTE D'ACTION URGENTE POUR LA LIBERTÉ DE SANTÉ :

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L'art de la liberté
Partie 3
Général de division Albert N. Stubblebine III
(Armée américaine, retraité)
Président
Fondation Solutions naturelles
www.HealthFreedomUSA.org
 

LA LIGNE DE VIE DE LA VICTOIRE - "L'APPROVISIONNEMENT"

Dans la première et la deuxième partie de l'Art de la liberté, nous avons parlé de l'"objectif" et de l'"attaque".
Le prochain principe de la guerre est "l'approvisionnement". Une armée doit disposer d'équipements, d'armes, de munitions, de nourriture pour les troupes, de moyens de communication, d'essence pour les véhicules, d'installations médicales tactiques et d'une liste interminable d'autres besoins nécessaires à la conduite des opérations militaires. La liste est longue : au moment où l'on croit avoir pensé à tout, on se souvient des lunettes de vision nocturne !

Dans la deuxième partie, nous avons abordé l'invasion allemande de l'Europe occidentale. Les forces allemandes sont passées à l'offensive, ont contourné la ligne Maginot française et ont capturé la France en 34 jours. Un aspect intéressant de l'invasion est éclipsé par la victoire rapide et décisive de l'armée allemande. À mesure que les Allemands avançaient, les forces alliées reculaient par nécessité. Les Alliés, cependant, ont un énorme problème. Il n'y avait qu'une quantité limitée de terres en Europe occidentale où se replier avant que les Alliés n'aient à affronter la Manche en 1940.

L'"offensive" allemande s'est déplacée vers l'ouest. Les forces alliées se sont défendues en se repliant. Dans cette situation, Sun Tzu dit : "Se retirer de façon à ne pas pouvoir être arrêté, aller si loin qu'on ne puisse pas être atteint". Malheureusement, ils ont fini par se retrouver dos à la Manche à Dunkerque, face à une armée allemande écrasante à l'est et à la Manche à l'ouest. Soudain, le destin est intervenu. Les Allemands ont stoppé leur avance sans raison apparente.

Il s'est avéré que l'ordre d'arrêter l'avance venait directement d'Hitler. Il avait surveillé de près la progression de ses forces. En même temps, il observe l'usure de ses précieuses forces allemandes de Panzer (chars), la principale force de l'assaut allemand. Hitler estime que le nombre de pertes de chars est inacceptable. En conséquence, contre l'avis de son état-major, il a ordonné l'arrêt de l'assaut très réussi que ses troupes menaient contre les forces alliées en retraite.

Ce que Hitler ne savait pas ou ne comprenait pas à propos de son propre système était un fait crucial de "ravitaillement". Les rapports concernant l'attrition de ses panzers étaient vrais ... MAIS ... le système d'approvisionnement allemand faisait des heures supplémentaires pour apporter de nouvelles pièces de réparation ainsi que pour récupérer les pièces des chars endommagés au-delà de toute réparation. La force des panzers était en fait en assez bonne forme pour achever l'attaque de Dunkerque. D'une manière ou d'une autre, Hitler n'a pas compris cette information vitale sur l'approvisionnement... ou... il a refusé de croire son propre état-major. Quoi qu'il en soit, le retard des Panzer a permis aux forces alliées piégées de s'échapper par les plages de Dunkerque pour combattre un autre jour ; et il (Hitler) a "subi la fronde et les flèches d'une fortune outrageante".

Dans la deuxième partie, nous avons également mentionné les châteaux comme un exemple de retranchement en mode défensif. Pensez au "ravitaillement". Une fois à l'intérieur des murs, la porte fermée et barricadée, et le siège lancé, votre ligne d'approvisionnement est coupée. Ce que vous aviez à l'intérieur était tout ce que vous aviez jusqu'à ce que le siège soit levé ou que vous vous rendiez. Chaque château avait des provisions pour les jours de pluie d'un siège. La question, cependant, était toujours de savoir combien de jours de pluie le système pouvait tenir. Pensez un instant aux nécessités : nourriture (humaine et animale), eau, matériaux pour le feu (cuisine et défense du château) et flèches, pour n'en citer que quelques-unes. Le château était un refuge jusqu'à ce que les réserves soient épuisées. Puis il est devenu une prison. ".

En parlant de châteaux, je me souviens très bien d'une manœuvre ou d'un exercice particulier lorsque j'étais un jeune sous-lieutenant dans l'armée d'occupation en Allemagne après la Seconde Guerre mondiale. Tout d'abord, nous avons traversé le Rhin de nuit, dans des conditions de black-out, sur un pont de pontons. Cela semble facile, n'est-ce pas ? Essayez-le dans un char d'assaut sans lumière. Après avoir traversé le Rhin, nous nous sommes dirigés vers les montagnes Taunus, au nord-ouest de Wiesbaden, où nous nous sommes logés (c'est-à-dire que nous avons campé) pour ce qui restait de la nuit. Le matin, nous avons eu un peu de temps libre pour préparer le reste de notre longue marche vers la zone opérationnelle désignée. Pendant ce processus, un de mes sergents m'a dit que je devais l'accompagner au château situé à proximité. J'étais occupé. Il n'a pas voulu me dire pourquoi. J'ai résisté. Il a insisté. J'y suis allé parce que j'avais confiance en lui. Le château était semblable aux autres châteaux que j'avais visités, sauf qu'une pièce était remplie à ras bord de drapeaux nazis, de bannières et d'autres objets nazis. Rappelez-vous, c'était pendant la période d'occupation allemande. L'Allemagne nazie avait été vaincue. Hitler était mort. Que faisaient ces objets nazis interdits dans ce château ? Je ne l'ai jamais su. Cependant, nous sommes retournés à pied d'œuvre à notre zone d'exploitation forestière et avons fait part de nos découvertes à mon commandant et à l'agent de contre-espionnage de l'unité pour qu'ils agissent. Je suppose qu'une enquête a eu lieu. Cependant, j'ai toujours des fantasmes de rassemblements nazis sauvages dans ce château, où les sbires d'Hitler et les "mangeurs d'oie" tenaient des rassemblements ou des fêtes ou, pire encore, commençaient à planifier le nouveau Quatrième, Cinquième ou Sixième Reich. L'attirail nazi que mon sergent et moi avons vu ce jour-là n'était-il qu'une partie des "fournitures" du château menant à un nouveau système nazi ? Nous ne le saurons jamais. Mais alors, qui aurait pu deviner la vérité de la naissance de CODEX avec ses origines profondes dans le génocide nazi. Qui aurait pu deviner le contrôle pharmaceutique de tout ce qui entre dans votre bouche, sauf les médicaments ? Les "ubermenchen" nazis se sont-ils enveloppés dans ces drapeaux nazis pour ensuite créer le Codex ? )

Au cours de cette même manœuvre, alors que nous quittions notre zone d'enregistrement de nuit, mon commandant m'a informé avec désinvolture que je devais prendre mon peloton de chars et me présenter à une unité d'infanterie blindée en tant que soutien direct. Il m'a donné les coordonnées de l'unité et m'a dit de partir au plus vite car ils attendaient mon arrivée maintenant ! Soudain, je me suis retrouvé seul.
 
Alors que je me séparais, moi et mon peloton, de mon environnement opérationnel familier pour la première fois de ma nouvelle carrière militaire, j'ai eu un profond sentiment d'effondrement dans mon ventre. Dès que j'ai rejoint ma nouvelle unité, nous sommes partis pour la phase suivante de la manœuvre. Nous avons passé la majeure partie de la journée sur une longue marche tactique sur route, puis nous avons établi un périmètre défensif et nous nous sommes préparés à un assaut sur l'"ennemi" le lendemain. (Nous étions en pleine guerre froide à l'époque et étions constamment en manœuvre).

Pendant que nos positions défensives étaient établies, j'ai fait ce que tout pétrolier savait qu'il devait faire : Je me suis assuré qu'un guide se rende sur la route principale pour conduire le camion-citerne à chacun de mes réservoirs et faire le plein en priorité. J'ai mangé quelques rations "C" (conserves militaires) et me suis couché pour la nuit.

Nous avons reçu notre plan d'attaque tôt le lendemain matin et nous avons reçu l'ordre de nous tenir en alerte pour recevoir l'ordre de nous déplacer et d'exécuter le plan. À ce moment-là, l'un des chefs de peloton d'infanterie blindée de l'unité que je soutenais a informé avec hésitation son commandant de compagnie qu'il ne pouvait pas exécuter le plan de bataille parce que ses APC (Armored Personnel Carrier) n'avaient plus d'essence. Le commandant est devenu livide et a voulu savoir pourquoi son unité était en panne d'essence ? La réponse les a tous arrêtés net : "parce que les chars du lieutenant Stubblebine (mes chars) ont consommé tout le carburant, Monsieur !". Le commandant s'est tourné vers moi, furieux. Avec un regard qui pouvait tuer et m'envoyer en enfer, il a demandé s'il était vrai que j'avais utilisé tout le gaz. Je ne savais pas si j'avais tout utilisé. Mais je savais que j'avais fait le plein de mes réservoirs.
 
Tout ce que j'ai fait, c'est suivre les procédures normales d'exploitation, une procédure si profondément ancrée dans l'esprit de chaque pétrolier qu'il peut réagir même dans son sommeil et faire le plein. Il m'a jeté le même regard noir et m'a demandé : "Combien de litres d'essence consommez-vous, lieutenant ? Là encore, ma réponse a été simple : "Cinq (5) à six (6) gallons d'essence par mile, Monsieur". (Les TTB d'infanterie blindée utilisaient environ un (1) gallon par mile). J'avais suivi à la lettre les procédures pour faire le plein de mes réservoirs, mais ce faisant, j'avais créé un cauchemar logistique pour les gars de l'infanterie blindée, car ils avaient négligé les besoins en essence supplémentaires nécessaires pour avoir nos réservoirs avec eux. Ils avaient simplement oublié de demander les fournitures (l'essence) dont ils avaient besoin pour leur mission.
Lorsque le commandant s'est rendu compte de mon ratio de consommation d'essence de 5:1 et de l'impact que cela avait sur la capacité de son unité à performer, il était hors de lui. Il a enlevé son casque d'acier et l'a jeté de toutes ses forces sur le sol. Il se trouve que nous étions debout sur une colline, attendant notre ordre de marche. Lorsque le casque a touché le sol, il a rebondi sur un rocher et a dévalé la colline où il s'est complètement perdu dans les buissons.

En rétrospective (la plus exacte des sciences), c'était un moment comique et j'ai eu beaucoup de mal à étouffer mon rire.
Cette expérience, cependant, m'accompagne tous les jours de ma vie, car chaque mission quotidienne comporte une composante d'approvisionnement. C'était vrai à l'époque en tant que jeune lieutenant (encore tout mouillé), c'était vrai tout au long de mes 32 années de service et c'est encore vrai aujourd'hui en tant que président de la Natural Solutions Foundation.

L'"approvisionnement" ne peut pas être une réflexion après coup. Le "ravitaillement" imprègne tous les aspects de la vie quotidienne, qu'il s'agisse de la nourriture pour la table, de l'essence pour la voiture (j'espère que votre voiture a une meilleure consommation que mes réservoirs), du nécessaire à emporter pour le prochain voyage, des vêtements pour les enfants ou des piles pour le téléphone portable.
Dans la première partie de L'art de la liberté, j'ai cité un principe important de Sun Tzu selon lequel un commandant évalue l'armée adverse et ses chefs. (Ainsi, il peut évaluer ses propres chances de victoire).

Selon Sun Tzu, une telle évaluation des chances de victoire tient compte des facteurs suivants :
1) La loi morale - qui signifie que le peuple est en accord total avec son dirigeant, de sorte qu'il le suivra au péril de sa vie.
2) Le Ciel - qui signifie la nuit et le jour, le froid et la chaleur, les temps et les saisons.
3) La Terre - qui fait référence aux distances, grandes et petites, au danger et à la sécurité, aux terrains ouverts et aux passages étroits, à la chance de vie et de mort.
4) Le commandant - qui incarne les vertus de sagesse, de sincérité, de bienveillance, de courage et de rigueur.
5) Méthodes et discipline - ce qui inclut le rassemblement de l'armée dans ses subdivisions appropriées, les gradations de grade parmi les officiers, l'entretien des routes par lesquelles les fournitures peuvent atteindre l'armée, et le contrôle des dépenses militaires.

Considérons à nouveau la décision erronée d'Hitler concernant le statut réel de ses panzers (chars). Soit, au mieux, il a sous-estimé la capacité de ses propres lignes d'"approvisionnement", soit, au pire, il a totalement ignoré les conseils de ses généraux. Il est clair que ce grand Faux Pas a permis le réapprovisionnement et la revitalisation de la force qui a finalement vaincu Hitler et changé le cours de la Seconde Guerre mondiale.
La deuxième partie de L'art de la liberté est consacrée à l'"offensive". L'offensive la plus improbable du général Mac Arthur sur les plages.

 d'Inchon pendant la guerre de Corée a transformé ce conflit en une victoire pour les États-Unis, au lieu de l'horrible parcours qui était sur le point de se produire. Sa brillante manœuvre offensive a permis de soulager la pression sur le périmètre de Pusan, dans le sud de la Corée, et a changé l'histoire.

L'un des principaux impacts de l'assaut de Mac Arthur à Inchon est qu'il a menacé toute la ligne d'approvisionnement nord-coréenne pour toutes les forces faisant face au périmètre de Pusan. Sans leur ligne de ravitaillement, les Nord-Coréens n'avaient pas de balles, pas d'obus de mortier, pas d'armes d'artillerie ou de munitions, pas de fournitures médicales pour les blessés, pas de nourriture, pas de chaussures, rien. En d'autres termes, l'ensemble des forces nord-coréennes au sud de Séoul ont été sérieusement mises en danger. Mac Arthur a créé la même situation qu'une armée assiégeant un château : pas de ravitaillement égale défaite finale.

Comment le concept militaire d'approvisionnement se rapporte-t-il aux attaques multiples et délibérées contre notre/votre santé et nos libertés en matière de santé ?
La Natural Solutions Foundation a besoin de fournitures. N'oubliez pas que l'autre camp a tout l'argent dont il a besoin et bien plus encore pour mener cette bataille. Notre camp dépend de votre engagement à fournir la bataille autant qu'il dépend de notre engagement à la mener.
 
L'argent pour mener cette bataille est un approvisionnement essentiel. C'est aussi simple que cela. Par exemple, il y a six grandes réunions du Codex auxquelles nous devons nous préparer et assister chaque année. Il nous faut des mois pour préparer nos positions, nos documents, etc. Il faut de l'argent pour se rendre à la réunion, y rester, fournir des documents aux délégués, etc.
Ces réunions ont lieu en Italie ou en Suisse (en alternance), au Canada, en Allemagne, au Ghana ou à Oslo (selon l'année), en Chine et au Japon. Il existe d'autres réunions très importantes auxquelles nous devons assister, mais nous manquons actuellement de ressources (personnes, temps, argent) pour le faire.
 
Beaucoup de nos fidèles supporters ont été magnifiques avec leurs dons, leurs compétences et leur temps. Sans ce soutien du cœur, il y a longtemps que nous aurions dû plier bagage dans le combat pour la liberté en matière de santé.
MERCI A TOUS !!!

Votre soutien fait tourner le moteur et alimente les réservoirs. Il maintient l'élan pour nous permettre des victoires comme celles que nous avons déjà obtenues. (Pensez au succès que nous avons remporté en novembre dernier en empêchant l'approbation du fluorure dans les préparations pour bébés).

Voici la prochaine exigence critique en matière d'approvisionnement : un aspect majeur de notre stratégie du Codex, soigneusement conçue, est axé sur la création d'une coalition cohésive des pays en développement qui accordent plus d'importance à la santé qu'aux profits de la mondialisation pour les intérêts multinationaux. Je suis sûr que vous vous souvenez de l'étonnante déclaration du véritable objectif du Codex lors d'une attaque cinglante du Dr Rolf Grossklaus à la réunion 2005 du Comité du Codex sur la nutrition et les aliments diététiques ou de régime (CCNFSDU) à Bonn, en Allemagne.
   
Au milieu de la présentation soigneusement étudiée de l'Afrique du Sud sur les niveaux nutritionnels nécessaires pour atteindre une santé optimale, le Dr Grossklaus lui a brutalement et sauvagement coupé la parole. Il a déclaré "Santé optimale ! Ce serait bien si le Codex concernait la santé, mais ce n'est pas le cas". "Le CODEX", a déclaré le président de l'important CCNFSDU, "ne concerne pas la SANTÉ. Le CODEX concerne le COMMERCE".
 
Voilà, d'un côté comme de l'autre du cheval.
La Natural Solutions Foundation remet la SANTÉ dans l'équation. Les puissantes forces hostiles à la santé ne veulent manifestement pas que la SANTÉ intervienne dans le processus. L'une de leurs tactiques parlementaires au sein du Codex consiste à déplacer toute discussion susceptible d'inclure la SANTÉ du début de l'ordre du jour au dernier point de la réunion. Bien sûr, vous savez ce qui se passe : le temps de discussion est écoulé. Les traducteurs simultanés doivent partir et la SANTÉ prend une autre place à l'arrière-plan pour un voyage dans la " ville des sans-abri ".
Cependant, cette année, le travail acharné et le soin apporté à l'entretien de relations de confiance avec des délégués sélectionnés ont porté leurs fruits : une occasion en or d'organiser une réunion préalable à la CAC (Commission du Codex Alimentarius) avec suffisamment de pays en développement pour déplacer le point d'appui du Codex et faire la différence dans l'issue du processus du Codex.

Le timing est l'élément critique. Le Codex convoque sa grande réunion annuelle dans un mois seulement (le 2 juillet 2007). Les préparatifs de la pré-réunion régionale cruciale avec tous les membres du grand groupe pro-santé doivent avoir lieu MAINTENANT. Les délégués nationaux qui participeront au Codex dans ce bloc viennent de pays dont les gouvernements ne financent pas la participation au Codex en leur nom. Nous devons les financer pour qu'ils soient présents.

Si cette stratégie nouvelle et d'une importance critique doit être exécutée, si le mouvement tournant doit être mis en œuvre, la Natural Solutions Foundation doit disposer de soutiens critiques et les avoir maintenant. Sans cela, le bloc pro-santé, prêt et volontaire, ne pourra pas élaborer sa stratégie et former une coalition efficace lors de la réunion du Codex. Ils ne seront peut-être même pas en mesure de se rendre physiquement à la réunion du Codex, même si leurs pays sont reconnus dans le processus du Codex.

Même s'ils sont prêts à parler d'une seule voix, s'ils ne font pas partie de la planification stratégique au préalable et s'ils ne peuvent même pas se rendre au Codex, nous perdrons leur voix. Petit ou grand, chaque pays peut exiger d'être entendu au Codex. En général, ils ne se soutiennent pas suffisamment pour faire entendre leur voix. Notre coalition est prête à changer cela - si la Natural Solutions Foundation dispose de suffisamment de matériel pour approvisionner l'armée, la former et l'amener là où elle doit aller.

C'est une première dans le Codex. Certains disent que le Codex ne peut pas être modifié de l'intérieur. Ils ont tort. ILS ne peuvent pas le changer de l'intérieur. Les nations participant au Codex le peuvent, cependant.

Et cette opportunité est extraordinairement importante pour le résultat final du Codex. Nous avons besoin de 200 000 dollars pour mener à bien ce projet et nous en avons besoin maintenant. Si vous faites partie de la bataille pour la liberté de santé, fournissez ces fournitures maintenant.
Les troupes attendent de se rassembler.
 
Votre santé et votre liberté en matière de santé (et celle de tous les habitants de la planète) ont besoin de voix vigoureuses, engagées et intrépides pour changer le résultat du Codex. Nos délégués nationaux favorables à la santé doivent participer à une session de stratégie régionale AVANT la Commission du Codex Alimentarius (CAC) à Rome le mois prochain. Ils doivent également être en mesure de se rendre à Rome. Tout cela fait partie des fournitures que nous demandons.

L'argent est la seule chose qui manque. Avec les fournitures, nous pouvons fournir les personnes et les services nécessaires pour atteindre l'objectif. Le plan de bataille existe. Les troupes sont prêtes à se rassembler. Le transport pour déplacer les troupes vers la zone de combat existe, mais il doit être organisé, arrangé et payé. La ligne de ravitaillement est opérationnelle, mais doit être protégée contre les interdictions. Les enjeux sont élevés et l'horloge tourne à l'heure "zéro".

Une pensée, cependant. La Natural Solutions Foundation a des centaines de milliers de supporters actifs. Si chacun d'entre eux s'engageait à verser ne serait-ce que 10 dollars par mois (exonérés d'impôts, bien sûr), nous aurions MAINTENANT les moyens de porter la guerre pour la liberté en matière de santé à un niveau totalement différent. Prenez cette action vitale maintenant et nous aurons les fournitures nécessaires pour assurer un pré-meeting stratégique efficace et le parrainage absolument essentiel de délégués nationaux pro-santé. Nous pourrions nous assurer que tous les délégués pro-santé, bien formés et activés, prêts à parler pour la Santé et la Liberté de Santé avec leurs voix fortes et intrépides soient à Rome le mois prochain.

Nous pourrions commencer à orchestrer l'intégration des aspects sanitaires dans les délibérations du Codex. Nous pourrions faire résonner la liberté sanitaire à l'échelle mondiale.

L'occasion existe maintenant. Napoléon Bonaparte avait raison quand il disait : "L'espace, je peux le récupérer. Le temps, jamais". Hitler a attendu et perdu. La liberté de la santé a besoin des soutiens critiques pour saisir cette occasion exceptionnelle. Le moment est venu.
Cliquez ici pour faire un don de $upplies, déductible des impôts, et construire une coalition pro-santé afin de déplacer l'équilibre du Codex du commerce vers la santé.

Merci pour votre soutien passé, présent et futur. Votre activisme, votre engagement et votre participation PEUVENT déplacer le point d'appui sous le levier du Codex et fournir l'effet de levier nécessaire pour gagner la guerre de la liberté de la santé sans se battre !
 

Liens :

Loi sur la protection de la liberté de choix en matière de santé : http://www.govtrack.us/congress/billtext.xpd?bill=h110-2117

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