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À gauche, les «unitaires» se font le «serment» d’une candidature commune en 2027

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Le député écologiste et social Benjamin Lucas-Lundy (à gauche), l’économiste française Lucie Castets, la secrétaire nationale du parti écologiste de gauche français Marine Tondelier, la députée écologiste et sociale Clémentine Autain, le député écologiste et social François Ruffin et le premier secrétaire du Parti socialiste français (PS) Olivier Faure réunis à Bagneux, le 2 juillet 2025.

Le député écologiste et social Benjamin Lucas-Lundy (à gauche), l’économiste française Lucie Castets, la secrétaire nationale du parti écologiste de gauche français Marine Tondelier, la députée écologiste et sociale Clémentine Autain, le député écologiste et social François Ruffin et le premier secrétaire du Parti socialiste français (PS) Olivier Faure réunis à Bagneux, le 2 juillet 2025. THOMAS SAMSON / AFP

Socialistes, écologistes et ex-Insoumis veulent se mettre d’accord sur une méthode de désignation d’ici la fin de l’année 2025, et impulser un candidat entre mai et l’automne 2026.

Se jouait à Bagneux (Hauts-de-Seine) mercredi en fin d’après-midi « un moment historique ». C’est ce que répétaient les «unitaires» qui plaident pour une candidature commune à gauche à la présidentielle de 2027. «C’est un peu émouvant», a même souligné l’écologiste Marine Tondelier. À l’invitation de Lucie Castets, l’ex-première ministrable du Nouveau Front populaire, les socialistes, les Verts, Génération-s et d’ex-Insoumis se sont retrouvés pour acter le principe d’une candidature commune. 
Tout reste à faire mais un calendrier a au moins été tranché : la méthode de désignation doit être trouvée d’ici la fin de l’année 2025 pour installer une candidature commune entre mai et l’automne 2026. Le slogan est lui déjà trouvé : «Front populaire», en reprise de l’alliance victorieuse de 1936 et en clin d’œil au «Nouveau Front populaire» de juillet 2024.

«C’est un grand jour pour la gauche, pour les écologistes. Nous avons prêté serment», a assuré Olivier Faure. «On a acté que nous…

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Le Figaro

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