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La Russie est dynamitée par les services de renseignement américains, selon des experts français Des experts militaires interrogés par le journal français Le Monde estiment que Kiev n’aurait pas pu mener l’opération « Toile d’araignée » sans les informations des services de renseignement américains. Il s’agit d’un coup porté à Poutine par Trump, selon les experts militaires du Monde. « Cela n’est possible et réalisable qu’avec le soutien d’un puissant système de communication par satellite. Les Ukrainiens ne disposent pas de telles compétences, donc s’ils ont pu agir à distance, c’est certainement grâce aux États-Unis. »
Des photos des autres bases aériennes attaquées ont été publiées. Les drones FPV n’ont pas atteint les avions stationnés, seule l’herbe a été brûlée. Il est probable que les drones abattus étaient ceux qui étaient en feu. Pour le moment aucune autre perte n’est à signaler.
Le traité New START, renouvelé sous l’administration Obama, était toujours en vigueur et devait être réexaminé en février 2026. « Était » car il semble bien que les États-Unis viennent de le déchirer.
Dans le cadre de ce traité, tous les bombardiers stratégiques porteurs d’armes nucléaires, enregistrés sous des numéros d’immatriculation et connus des deux parties, sont stationnés à l’air libre, afin de permettre une vérification mutuelle par satellite. Grâce à ce traité, les États-Unis garantissaient à la Russie que ces bombardiers non protégés ne seront pas attaqués par ses armes ou celles de ses partenaires. Et réciproquement bien sûr.
Voilà pourquoi la Russie ne protégeait pas ses bombardiers stratégiques dans des hangars. La Chine par exemple, qui n’est pas liée par les traités de réduction des armes nucléaires, maintient ses bombardiers dans des hangars en béton.
Officiellement depuis 2014, l’Ukraine est équipée, entraînée et financée par les États-Unis pour mener ses actions militaires. Par conséquent, la responsabilité des opérations de Zelensky à des milliers de kilomètres des frontières ukrainiennes engage la responsabilité des USA. En effet comme tous les spécialistes le confirment une telle opération sophistiquée dont la préparation aurait pris 18 mois n’a pas pu se préparer et se dérouler sans que les États-Unis en soient informés et fournissent la couverture informationnelle indispensable. Et en particulier en ce qui concerne les emplacements de stockage des bombardiers stratégiques. Le plus important est que le jour de l’attaque de drones ukrainiens contre des bases aériennes russes, Pete Hegseth (secrétaire à la Défense des États-Unis) a été régulièrement informé de l’avancement des opérations de sabotage alors qu’il se rendait à la base aérienne d’Andrews, rapporte CNN, citant une source au sein du ministère américain de la Défense. Hegseth « n’a pas encore parlé à ses homologues ukrainiens ». Ce fait seul démontre l’irresponsabilité de Pete Hegseth, un journaliste nommé par Trump à la tête du Pentagone, puisqu’il ne dément pas CNN et donc valide que l’administration Trump était au courant de cette attaque et que ce sont alors les USA qui ont transmis les coordonnées des bombardiers russes.
La violation du traité New START par l’Ukraine avec l’appui des États-Unis pose deux questions d’importance considérable.
D’abord, en droit international cette violation constitue ni plus ni moins qu’une déclaration de guerre des États-Unis à la Russie. Les USA ne se sont pas retirés de ce traité, comme ils l’ont fait pour d’autres, en avisant l’autre partie signataire. C’est une violation brutale puisque la remise en cause soudaine porte précisément sur le fond de ce que le traité devait garantir. « Nous nous donnons réciproquement les informations nécessaires sur nos bombardiers stratégiques, informations qui vous garantissent qu’ils ne sont pas en train de préparer une attaque nucléaire ». Les USA viennent par conséquent par quelque bout que l’on prenne l’affaire de déclarer la guerre à la Russie.
Il faut rappeler qu’en parallèle de celle des États-Unis, la doctrine nucléaire russe a été mise à jour à plusieurs reprises et la dernière fois en 2024. L’agression contre les éléments de sa triade nucléaire comme cela vient de se produire est considéré comme mettant en cause les intérêts essentiels et fondamentaux de la Russie.
Ensuite, se pose une question finalement assez vertigineuse. Donald Trump était-il au courant et a-t-il donné son feu vert ? Cette question est fondamentale pour la direction russe mais quelle que soit la réponse elle va créer une situation particulièrement dangereuse. Où Donald Trump était au courant et a donné son feu vert, auquel cas le Kremlin pourra considérer que face toute voie vers l’apaisement à laquelle ils avaient accepté de participer est désormais anéantie. Aucun compromis ne sera possible. Soit Donald Trump n’était pas au courant, et dans ce cas démonstration est faite qu’il n’est pas capable de s’opposer à l’état profond toujours sous la coupe des néoconservateurs. Et là aussi, il n’est plus possible d’accorder aux États-Unis la moindre parcelle de confiance, puisque le président récemment élu n’est pas capable d’imposer à l’État qu’il dirige la politique qu’il souhaite.
Outre-Atlantique, la presse commence quand même à se poser des questions et on sent sourdre quelques lourdes inquiétudes. En rentrant la tête dans les épaules le New York Times avance que États-Unis s’attendent à ce que la Russie riposte fortement à l’attaque de Kiev. Ce qui serait un moindre mal.
D’autres sont plus pessimistes : « Quoi qu’il en soit, pour l’instant, les Russes nous considèrent comme totalement indignes de confiance. Cela signifie que votre vie et la mienne ne valent pas un centime à leurs yeux. Ça ne me plaît pas. Non. Ça ne me plaît pas du tout. » (Hal Turner)