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Vaccin HPV : la HAS étend le rattrapage jusqu’à 26 ans malgré sa dangerosité

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Les papillomavirus humains (HPV) sont les principaux responsables du cancer du col de l’utérus. Ces virus peuvent infecter tout individu sexuellement actif. Le meilleur moyen de protection est la vaccination. Dans un communiqué, la HAS recommande actuellement l’élargissement du rattrapage vaccinal jusqu’à l’âge de 26 ans révolus. Entre prévention du cancer et controverses sur les effets secondaires, la généralisation du vaccin Gardasil 9 divise les experts et les familles. Le gouvernement vise une couverture vaccinale de 80% d’ici 2030. La bureaucratie sanitaire nous refait le coup du tous vaccinés, tous protégés.

Le papillomavirus humain (HPV) est l’une des infections sexuellement transmissibles les plus répandues au monde. En France, on estime que près de 80 % des personnes sexuellement actives seront infectées par un ou plusieurs HPV au cours de leur vie. Si la majorité des infections disparaissent spontanément, environ 5 à 10 % peuvent persister et entraîner des lésions précancéreuses, voire des cancers. Chaque année, ce virus serait responsable de 6 400 cas de cancers, notamment du col de l’utérus, mais aussi de l’anus, du pénis, de la gorge et de la vulve.L’objectif du gouvernement est d’atteindre 80% de couverture vaccinale à l’horizon 2030. Selon Macron, il faut« aller vite » et réaliser « dès l’école un énorme travail d’information », voire « ne pas exclure qu’on aille vers la vaccination obligatoire quand tout cela sera installé et qu’on aura les bonnes recommandations ».

Élargissement du rattrapage vaccinal jusqu’à 26 ans révolus

Suite à la demande du laboratoire MSD (titulaire de l’autorisation de mise sur le marché du vaccin anti-HPV Gardasil 9) et l’association IMAGYB (Initiative des maladies atteintes de cancers gynécologiques), la HAS vient de recommander au ministère chargé de la Santé l’élargissement du rattrapage vaccinal anti-HPV à l’ensemble des jeunes et jeunes femmes jusqu’à 26 ans révolus.

Cette décision est basée sur des données d’efficacité et  de sécurité du vaccin Gardasil. Elles ont révélé que l’injection est efficace pour prévenir les lésions cervicales précancéreuses chez les femmes et les hommes âgés de 19 à 26 ans au moment de la vaccination, et ce, qu’ils ont été exposés aux infections par le HPV ou non. Mais la HAS a aussi pris en compte les données qui stipulent que le risque d’attraper ces virus et de les transmettre est plus élevé chez les jeunes adultes âgés de 20 à 26 ans.

Le schéma vaccinal recommandé

La HAS recommande aux adolescents de sexes masculins et féminins âgés de 11 à 14 ans de recevoir deux doses espacées de 5 à 13 mois du vaccin anti-HPV Gardasil 9. Un rattrapage vaccinal est recommandé entre 15 et 19 ans révolus.

 A partir de 15 ans, il faut suivre un schéma vaccinal à trois doses. La deuxième et la troisième injection doivent être faites respectivement dans un délai de deux et six mois après la première vaccination.

D’après la HAS, le vaccin Gardasil 9, ciblerait neuf souches de HPV, prévenant les lésions précancéreuses et condylomes chez les 16-26 ans, et chez ceux déjà exposés à certains HPV. Selon HAS, son efficacité persisterait jusqu’à 12 ans post-vaccination, avec un profil de sécurité globalement favorable. Cependant, son efficacité est moindre chez les personnes déjà infectées par rapport à une population non exposée.

Encore des interrogations sur la vaccination HPV

La HAS insiste : le vaccin ne remplace pas le dépistage, notamment pour le cancer du col de l’utérus. Dès 25 ans, les femmes, même vaccinées, doivent continuer les examens réguliers.

Mais au-delà des recommandations officielles, la vaccination anti-HPV n’échappe pas à la controverse. Des effets secondaires graves ont été rapportés, notamment des troubles neurologiques et des maladies auto-immunes. L’un des cas les plus médiatisés est celui de Marie-Océane Bourguignon, atteinte d’une encéphalomyélite aiguë disséminée peu après sa vaccination en 2013. Les victimes ont  poursuivi Sanofi Pasteur MSD et l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) pour « atteinte involontaire à l’intégrité de la personne »

Plus récemment, un adolescent est décédé en 2023 à la suite d’une vaccination contre le HPV, une affaire toujours en cours d’instruction. Ces cas, bien que rares, ravivent les inquiétudes sur la balance bénéfices/risques du vaccin, d’autant plus que certaines études suggèrent un lien paradoxal entre vaccination et apparition de certaines formes de cancer.

Cruelle ironie, certaines études alertent même sur un risque de cancers chez une minorité de jeunes filles vaccinées – un effet contraire à l’objectif premier du vaccin, conçu pour les prévenir.Longtemps, le Japon a été le seul pays industrialisé à ne pas recommander le Gardasil. Mais, début 2022, il s’est rallié à la majorité des recommandations internationales.

Pour mémoire, dans un avis rendu en septembre 2017, la HAS déclare que « les données disponibles à ce jour ne permettent pas de répondre aux interrogations concernant l’efficacité en termes de prévention des cancers, comme pour les vaccins Gardasil ou Cervarix (le vaccin anti-HPV de GSK) ».

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