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L’Université de Pittsburgh vient de publier une étude dans la revue NPJ Vaccines sur l’amélioration des vaccins à ARNm, en particulier face à des virus en mutation rapide comme le H5N1, le SARS-CoV-2 et la grippe aviaire. Cette recherche s’inscrit dans un contexte de remise en question croissante des vaccins à ARNm utilisés contre le Covid-19, notamment en raison de leurs effets secondaires à court, moyen et long termes, dont certains restent encore mal connus.

Une équipe de chercheurs de l’Université de Pittsburgh a mené une étude visant à améliorer le développement des vaccins contre des virus en constante évolution. C’est le cas du H5N1, du SARS-CoV-2 et de la grippe aviaire. Leur recherche pourrait aider les scientifiques à optimiser l’efficacité de la prochaine génération de vaccins à ARNm et à les rendre moins onéreux. Notons que les résultats de cette étude ont été publiés dans NPJ Vaccines.
Un vaccin « transamplificateur » contre les variants
Les vaccins à ARNm actuels doivent être constamment mis à jour pour rester efficaces, ce qui représente une limite importante. Pour y répondre, l’équipe du professeur Suresh Kuchipudi, président des maladies infectieuses et de la microbiologie à la Pitt’s School of Public Health, a développé un prototype de vaccin « transamplificateur ». Cette nouvelle génération de vaccin utilise une double instruction génétique : l’une pour produire une protéine virale, l’autre pour amplifier sa propre production, permettant ainsi une réponse immunitaire plus robuste avec 40 fois moins de matière d’ARNm.
Testé sur des souris, ce vaccin expérimental a induit une réponse immunitaire efficace contre neuf variants différents du SARS-CoV-2. Selon Kuchipudi, cette avancée ouvre la voie à un vaccin universel contre les virus en constante mutation. Autre avantage non négligeable : le coût. Une dose contenant moins de matière génétique est moins chère à produire, ce qui rendrait les vaccins plus accessibles à l’échelle mondiale.
Les auteurs de l’étude ont donc voulu créer un vaccin pouvant offrir une protection durable contre un virus qui mute. Kuchipudi et son équipe ont donc développé un vaccin de preuve qui cible le SARS-CoV-2, le virus à l’origine du Covid-19, en utilisant une plateforme d’ARNM « transamplificatrice ». La méthode déployée permet de réduire la quantité de molécules d’ARNm utilisée, tout en amplifiant l’efficacité du vaccin.
Dans les vaccins transamplificateurs, les instructions génétiques se réalisent en deux parties : création d’un schéma protéique viral, copie de la recette à maintes reprises. Grâce à ce procédé, ils sont plus efficaces. Pourtant, ils utilisent une dose 40 fois inférieure de matière moléculaire à celle des vaccins à ARNm actuels.
Kuchipidi et son équipe ont testé le vaccin preuve sur des souris. Ils ont constaté que les animaux vaccinés étaient capable de développer une réponse immunitaire contre 9 variants du Covid-19. Selon l’auteur principal de l’étude, ces résultats pourraient être exploités pour développer un vaccin universel plus efficace contre les virus qui mutent continuellement.
Des vaccins à ARNm moins coûteux

Selon les chercheurs de l’Université de Pittsburgh, le procédé qu’ils ont mis au point permettrait aussi de réduire le coût des vaccins. « La quantité d’ARNm nécessaire à chaque dose est élevée, ce qui explique le coût élevé de ces vaccins » a indiqué Kuchipudi. En utilisant qu’une faible quantité de matière moléculaire, on peut développer des vaccins à ARNm moins coûteux.
L’auteur principal de l’étude a déclaré que leur objectif en menant cette recherche est de « continuer à développer la biologie et les connaissances sur l’utilisation de ces vaccins, leur actions dans l’organisme et leur protection contre les virus ». Kuchipudi a ajouté que ces informations pourraient « éclairer les décisions prises à un niveau supérieur ». Il a évoqué le scepticisme de l’administration Trump face à la technologie à ARNm et sa décision d’annuler un contrat d’environ 770 millions de dollars avec Moderna pour le développer d’un vaccin à ARNM contre les souches grippales. Quant au secrétaire à la Santé et aux Services sociaux, Robert F. Kennedy Jr., il reste également sceptique sur leur efficacité.
Malgré ces avancées, les vaccins à ARNm suscitent toujours la controverse. Le débat est d’autant plus vif que les effets secondaires des vaccins Pfizer et Moderna commencent à être documentés, parfois de manière inquiétante. Le Professeur Robert Malone, pionnier de la technologie ARNm dans les années 1980, s’est fermement opposé à ces vaccins, qu’il juge précipités et insuffisamment testés. Il alerte depuis plusieurs années sur les risques potentiels à long terme, encore largement inconnus.
Les critiques visent aussi la stratégie vaccinale massive adoptée pendant la pandémie. Initialement réservée aux personnes à risque, l’injection à ARNm a été élargie à l’ensemble de la population, y compris les enfants en bas âge. Une démarche jugée excessive par certains scientifiques et citoyens.
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