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Une étude scientifique révèle un secret du cerveau pour mieux lutter contre l’obésité

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Une hormone produite par le cerveau pourrait jouer un rôle clé dans la régulation de la faim, offrant une nouvelle piste contre l’obésité.

L’obésité est sans doute l'un des plus grands défis sanitaires de notre époque. Selon une vaste étude publiée en mars 2025 dans The Lancet, près de 2 milliards de personnes souffraient déjà de surpoids ou d'obésité en 2021. Et les projections sont loin d'être rassurantes : d'ici 2050, ce chiffre pourrait grimper à 3,8 milliards.

Une équipe de l'université de santé Fujita, au Japon, a récemment mis en lumièrelumière un acteur encore peu connu mais très prometteur : le neuroœstrogène, une forme d'œstrogèneœstrogène produite par le cerveau et susceptible de jouer un rôle clé dans le contrôle de la faim.

Le cerveau, un nouvel allié dans la lutte contre la prise de poids

Contrairement aux œstrogènes « classiques », produits par les ovaires, les neuroœstrogènes sont fabriqués directement dans le cerveau, grâce à une enzymeenzyme appelée aromatase. Jusqu'à récemment, leur rôle dans la régulation du poids restait mal connu.

Les chercheurs japonais, en collaboration avec les universités de Chiba et de Fukuoka, ont découvert que ces hormones cérébrales agissent sur un récepteur bien connu dans le domaine de l’appétit : le MC4R, situé dans l'hypothalamushypothalamus. Chez des souris privées de neuroœstrogènes, ils ont alors constaté une forte augmentation de la prise alimentaire, accompagnée d'un gain de poids rapide.

Mais une fois la production de neuroœstrogènes rétablie, les souris ont commencé à manger moins, avec une activation nette du récepteur MC4R. Encore mieux : leur réponse à la leptineleptine, l'hormone qui signale la satiété au cerveau, s'est nettement améliorée.

« Nous avons observé que les souris dont les neuroœstrogènes étaient rétablis répondaient plus efficacement au traitement à la leptine, explique le Dr Hayashi. Cela pourrait s'expliquer par le fait que les neuroœstrogènes renforcent les mécanismes naturels de suppression de l'appétit. »

Ces résultats, publiés dans la revue FEBS, suggèrent que les neuroœstrogènes pourraient agir comme un frein naturel à la faim, une fonction particulièrement intéressante à explorer.

Une piste pour des traitements plus efficaces et plus ciblés

Cette découverte pourrait s'avérer particulièrement précieuse pour lutter contre le surpoids, notamment chez les femmes en post-partum ou à la ménopauseménopause, deux périodes marquées par une chute naturelle des œstrogènes.

En effet, ces bouleversements hormonaux peuvent entraîner une prise de poids difficile à contrôler. Or, si les neuroœstrogènes produits dans le cerveau jouent un rôle clé dans la régulation de la faim, leur baisse pourrait expliquer cette sensation accrue d'appétit souvent rapportée.

En ciblant directement ces œstrogènes cérébraux ou les récepteurs impliqués, comme le MC4R, il serait alors possible de développer des traitements plus personnalisés, sans recourir à des thérapiesthérapies hormonales lourdes. 

Dans un monde où l'obésité progresse à un rythme alarmant, cette avancée offre une lueur d'espoir. En tenant compte de la complexité hormonale du corps humain, la recherche pourrait enfin proposer des solutions plus justes, plus durables... et surtout plus efficaces.

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