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Une étude récente publiée dans l’International Journal of Innovative Research in Medical Science rapporte des cas de magnétisme iatrogène chez des patients vaccinés contre le COVID-19, avec des objets métalliques collant à leur corps. S’agit-il d’un effet secondaire méconnu ou d’un manque de rigueur scientifique de l’étude? Certains scientifiques dénoncent la validité des conclusions.

Dès 2021, en pleine vague de vaccinations mondiales, des vidéos virales circulaient prétendant que les vaccins à ARN rendaient les gens « magnétiques ». Cette théorie reposait souvent sur l’idée que les nanoparticules lipidiques utilisées pour encapsuler l’ARN pouvaient être dotées de propriétés magnétiques pour améliorer la distribution dans le corps.En réalité, si des nanoparticules superparamagnétiques sont bien utilisées dans certaines technologies médicales (notamment pour le ciblage de médicaments ou l’imagerie), les laboratoires Pfizer, Moderna, … nient avoir intégré ce type de technologie. Une étude menée entre le 15 décembre 2024 et le 30 janvier 2025 a révélé que certaines personnes vaccinées ont développé une force magnétique inhabituelle après avoir reçu des vaccins contre le Covid-19. Selon les chercheurs, le magnétisme peut se résorber spontanément. Toutefois, le protocole de l’étude laisserait sceptique.
Des objets métalliques qui collent à la peau après injection Pfizer
Cette étude menée entre le 15 décembre 2024 et le 30 janvier 2025 a révélé que certaines personnes ont développé une force magnétique inhabituelle. Des objets métalliques comme des cuillères peuvent se fixer sur leur corps. Il se trouve que le phénomène s’est produit après la réception de vaccins à ARNm contre le Covid-19.
L’étude présente ces séries de cas de personnes vaccinées déclarant souffrir de magnétisme corporel. Selon les auteurs, des objets métalliques pouvant peser jusqu’à 70 grammes (équivalent d’un téléphone ou d’une petite clé anglaise) adhéreraient spontanément à différentes parties du corps.Les observations rapportent que le phénomène surviendrait plusieurs mois après l’injection, sans symptôme systématique associé. Ce magnétisme présenterait un risque potentiel si ces individus subissaient des examens IRM, en raison des interactions avec les champs magnétiques.
Des chercheurs ont voulu identifier le lien entre le magnétisme iatrogène et l’usage des vaccins contre le Covid-19. Ils ont alors demandé aux victimes de répondre à un questionnaire structuré. Lors de cette enquête, un homme de 53 ans qui n’a jamais ressenti de magnétisme a révélé qu’un objet métallique de 25g s’est fixé à ses tempes droite et gauche. Ce phénomène s’est produit environ 15 mois après la première injection du vaccin Covid-19 Cominarty de Pfizer/BioNTech. Il a aussi ressenti des douleurs dorsales, de l’arythmie, des douleurs thoraciques, des migraines et de l’insuffisance cognitive.
Une autre participante à l’étude, une femme de 39 ans qui a toujours été en bonne santé a aussi déclaré avoir ressenti un magnétisme dans son lobe frontal et à l’épaule droite, notamment au point d’injection. Ce phénomène est survenu un mois après l’injection du vaccin Cominarty. La femme a signalé que le magnétisme s’atténue après la consommation de boissons alcoolisées. Mais lorsque les résidus d’alcool sont éliminés de son corps, le problème revient.
Une autre femme de 28 a aussi développé une force magnétique inhabituelle 20 mois après la réception de vaccins Cominarty. Pour elle, les objets métalliques se sont fixés à son front, sa tempe et sa poitrine. Mais le magnétisme a progressivement disparu, probablement grâce à son traitement auto-instauré par NAD+. Mais lorsqu’il a arrêté le traitement, le problème est revenu. Une autre femme de 36 ans a également développé des symptômes de magnétisme iatrogène seulement 5 jours après la réception du vaccin Pfizer.
Hypothèses scientifiques avancées mais contestées
Les auteurs avancent plusieurs hypothèses pour expliquer le magnétisme iatrogène :
- Protéines ferromagnétiques : Ils suggèrent que les vaccins à ARNm pourraient produire des protéines de pointe ou des peptides anormaux (via des changements de cadre) ayant des propriétés ferromagnétiques. Cependant, aucune preuve biochimique ou structurale n’appuie cette hypothèse, et les protéines biologiques ne sont généralement pas ferromagnétiques.
- Redistribution du fer : L’homologie supposée entre la protéine de pointe et l’hepcidine est intrigante, mais cette relation est qualifiée de « lointaine » et n’est pas étayée par des analyses bioinformatiques précises. Une perturbation du métabolisme du fer pourrait théoriquement affecter des tissus, mais aucun mécanisme clair reliant cela au magnétisme n’est proposé.
- Nanoparticules magnétiques : Bien que non mentionnée dans l’étude, une théorie relayée sur les réseaux sociaux en 2021 suggérait que des nanoparticules lipidiques magnétisées pourraient être utilisées dans les vaccins pour améliorer leur diffusion. Cette hypothèse, bien que séduisante, n’est pas corroborée par la composition connue des vaccins à ARNm, qui utilisent des lipides non magnétiques.
Les auteurs de l’étude avancent que l’application de nicotinamide adénine dinucléotide (NAD-), une molécule naturellement présente dans le métabolisme cellulaire, pourrait atténuer voire faire disparaître le magnétisme. Cependant,cette affirmation n’aurait été accompagnée d’aucune démonstration clinique rigoureuse, et apparaît davantage comme une spéculation que comme une conclusion scientifique.
Certains dénoncent la rigueur scientifique de l’étude qui apparaît faible : pas de groupe témoin, pas de mesure objective, pas de vérification indépendante. De plus, l’approche méthodologique est peu rigoureuse : un questionnaire envoyé à des participants auto-rapportant l’adhérence d’objets métalliques, parfois jusqu’à 20 mois après la vaccination, accompagné de photos pour documenter le phénomène.Aucun contrôle n’a été mis en place pour éliminer des explications triviales comme la sueur, l’humidité, la tension cutanée ou des effets électrostatiques, connus pour permettre temporairement à des objets légers de tenir sur la peau.
Si le phénomène rapporté mérite une investigation plus rigoureuse, les hypothèses proposées dans cette étude, bien qu’intéressantes, manquent de validation expérimentale et s’appuient sur des mécanismes biologiques incomplètes.