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Un traitement préventif révolutionnaire en deux injections par an : bientôt la fin du VIH ?

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Alors que la lutte contre le VIH peine à atteindre ses objectifs, une nouvelle solution de prévention vient d’être approuvée par la FDA aux États-Unis et cela pourrait bien changer la donne pour des millions de personnes.

Plus de 39 millions de personnes dans le monde vivent aujourd'hui avec le VIH. En 2023, on comptait encore 1,3 million de nouvelles infections, soit plus de trois fois l'objectif mondial : réduire ce chiffre à moins de 370 000 à horizon 2025. Cette semaine, un nouveau pas a été franchi : la FDA américaine a approuvé un traitement préventif innovant contre le virus du sida. Présenté comme une avancée majeure, ce médicament pourrait changer la vie de millions de personnes dans le monde, à condition qu'il soit accessible à celles et ceux qui en ont le plus besoin.

Des moyens de prévention déjà efficaces, mais parfois mal utilisés

Aujourd'hui, plusieurs solutions permettent déjà de se protéger du VIH. Le plus simple et le plus accessible reste le préservatif, qui offre en plus une protection contre toutes les autres infections sexuellement transmissiblesinfections sexuellement transmissibles (IST). Il reste un pilier de la préventionprévention, notamment chez les jeunes et dans les pays à faible revenu.

Autre option, la PrEP (prophylaxie pré-exposition), un traitement préventif qui consiste à prendre un comprimé chaque jour. Très efficace en cas de bonne observance, elle a toutefois ses limites : oublis, contraintes du quotidien, stigmatisation...

Un essai concluant : 99,9 % d’efficacité

Avec le lénacapavir, commercialisé sous le nom de Yeztugo, Gilead Sciences promet une révolution : un traitement administré deux fois par an, avec une efficacité proche de 100 %.

Deux essais cliniques ont été menés auprès de plus de 8 000 personnes. En Afrique subsaharienne, aucune femme parmi les 2 134 participantes sous lénacapavir n'a été infectée, relate The New England Journal of Medicine. Chez les 2 179 hommes et personnes transgenrestransgenres inclus·es dans le second essai, seules deux infections ont été détectées, . L'efficacité dépasse celle du TruvadaTruvada, un traitement oral couramment utilisé pour réduire le risque d'acquisition du VIH chez des sujets contrôlés négatifs. Les effets secondaires sont restés légers (rougeur au point d'injection, nausées...).

La revue Science a même désigné cette avancée comme découverte scientifique de l'année 2024.

« C'est un jour historique dans la lutte contre le VIH qui dure depuis des décennies. Yeztugo représente l'une des avancées scientifiques les plus importantes de notre époque et offre une réelle opportunité de contribuer à mettre fin à l'épidémieépidémie de VIH », a déclaré Daniel O'Day, président-directeur général de Gilead Sciences.

Un médicament prometteur… mais à quel prix ?

Selon une étude parue le 18 juin 2025 dans The Lancet HIV, des experts ont constaté que le lénacapavir générique pourrait être produit pour 35 à 46 dollars par personne et par an. Et si la demande atteignait entre cinq et dix millions de personnes dès la première année, ce coût pourrait même descendre à 25 dollars par an, soit un niveau équivalent, voire inférieur à celui des traitements oraux actuels de PrEP.

Gilead a déjà signé des accords pour produire des versions génériques dans 120 pays à revenu faible ou intermédiaire. Mais ces versions mettront du temps à arriver sur le marché. En attendant, le défi est clair : faire en sorte que cette avancée scientifique devienne une avancée pour tous, pas seulement pour ceux qui peuvent se la payer.

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