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Traduction du livre du Dr Bryan Ardis : « Au-delà des mensonges COVID-19 », 3ème partie : venins de serpent, plasmides ADN, injections ARNm, envenimation mondiale et REMÈDES

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Au-delà des mensonges du COVID-19
Restaurer la santé et l’espoir pour l’humanité

Dr. Bryan Ardis

Larges extraits de son livre essentiel et salvateur : “Moving Beyond COVID-19, Restoring Health and Hope for Humanity” , Harvest Creek,  octobre 2024

Traduit de l’anglais par Résistance 71, juin 2025

1ère partie
2ème partie
3ème partie
4ème partie

Chapitre 9 : un vaccin antiviral qui ne contient aucun virus

Les “vaccins” à ARNm contre la COVID-19 ne contiennent aucun virus SRAS-CoV-2, Le NIH l’a complètement admis dans cette déclaration :

Les vaccins ARNm ne contiennent pas de virus SRAS-cOv-2, vous ne pouvez donc pas contracter la COVID-19 d’un vaccin ARNm.

http://www.genome.gov/about-genomics/fact-sheets/Understanding-COVID-19-mRNA-Vaccines

Cela m’a effaré la première fois que je l’ai lu. Parce que si c’est vrai… Alors qu’y a t’il exactement dans ces injections ?

Vient ensuite une phrase tirée directement du document du NIH afin de vous aider à comprendre ce pour quoi sont fait les vaccins.

Les vaccins à ARNm injecte les cellules (dans votre corps) avec des instructions pour générer une protéine (spike), qui est normalement trouvée à la surface du virus SRAS-CoV-2, qui cause la maladie de la COVID-19.

Ils ont dit au monde entier qu’un virus tuait du monde et que tout le monde sur la planète avait besoin d’un vaccin pour se protéger du dit virus. Mais ils ne vaccinèrent personne contre le virus qui était supposé être une menace. D’après la citation du NIH, ils injectaient les humains avec des instructions génétiques de produire la protéine spike supposément trouvée sur la surface du virus.

Vous avez du maintenant saisir le concept que les gouvernements du monde étaient absolument décidés de nous gaver de ce vaccin et d’en bourrer nos corps par milliards. […] D’après le document ci-dessus (NdT : capture d’écran p.138), les vaccins à ARNm furent développés sur plusieurs décennies !

Attendez un peu ! Quelle information la science aurait eu depuis des décennies leur faisant savoir que la protéine de surface du supposé futur virus SRAS-CoV-2 serait la cause de maladie et de souffrance durant une contagion future ?.. Ils ont commencé à travailler sur des vaccins qui “injecteraient des instructions” dans nos cellules, les instruisant de produire les protéines de surface d’un virus, référées comme protéines spike, ce il y a plusieurs décennies.

[…]

Alors, quelles sont ces “instructions” qui sont dans les injections COVID-19 ?

Ces instructions sont appelées plasmides ADN. Comment est-ce que je le sais ? Le NIH le dit dans cet article trouvé sur son site internet.

http://www.genome.gov/about-genomics/fact-sheets/COVID-19-mRNA-Vaccine-Production

Je cite de ce document :

Une fois que les chercheurs eurent analysé la séquence virale en utilisant de la bio-informatique dernier cri ; ils sélectionnèrent le gène de la protéine spike comme leur candidat pour le vaccin.

Le paragraphe suivant vous explique ce qu’ils ont mis dans les vaccins pour instruire vos cellules de produire de la protéine spike. Je cite :

“Le gène de la protéine spike cible est alors fabriqué synthétiquement et inséré dans un plasmide, ou un tout petit bout circulaire d’ADN. Les plasmides sont utilisés dans la production de vaccins ARNm parce qu’ils sont très faciles à reproduire et contiennent efficacement la séquence génétique cible.

[…]

Saviez-vous que des plasmides ADN ont été mis dans ces injections ? Le comment un plasmide ADN instruit vos cellules de faire de la protéine spike est aussi expliqué dans ce document du NIH.

Une fois que ces plasmides ADN sont injectés dans le corps humain, la pièce circulaire d’ADN infecte vos cellules, les bactéries et fungi, levures de votre corps vont ensuite recevoir les instructions pour que vous produisiez la protéine spike trouvée à la surface du SRAS-CoV-2

[…]

Dans un chapitre précédent, nous avons appris que des chercheurs en France avaient découvert que les protéines spike du SRAS-CoV-2 étaient identiques à trois choses :

  • la cobratoxine (venin de cobra royal)
  • la bungarotoxin (venin du krait)
  • et des parties de protéines de virus variés de la rage

Le NIH affirme qu’ils ont choisi les gènes de protéines spike pour être insérés dans les plasmides ADN et que ces plasmides instruiraient ensuite vos cellules de produire des protéines spike et ces protéines furent prouvées être des protéines de venin de serpents. Donc, si cela est vrai, que pouvons-nous supposer qui soit fabriqué à l’intérieur ?

Résumons-nous :

  • Le NIH a déclaré qu’ils mettaient des plasmides ADN dans les injections à ARNm
  • Ils ont aussi affirmé que ces plasmides contiennent des gènes de protéine spike de la COVID-19
  • des généticiens français ont confirmé que les protéines spike étaient des protéines venimeuses neurotoxiques provenant du cobra royal et de krait rayé. Ensuite des gènes de venin de cobra royal et de krait sont littéralement inclus dans les injections, intégrés dans les plasmides ADN !!
  • DE PLUS, les plasmides ADN, à leur tour, instruisent les cellules du corps des “vaccinés” de fabriquer ces protéines spike, qui furent trouvées être identiques aux neurotoxines de venins de serpents.

[…]

Je me suis alors demandé si la science avait déjà injecté des plasmides ADN dans des mammifères auparavant. La présence de gènes de cobratoxine dans les plasmides ADN en question devrait résulter en ce que les cellules soient instruites de produire cette cobratoxine ou de l’ARNm de cobratoxine, menant à des maladies, des handicaps et même la mort chez l’animal ou la personne injectés. Je me devais de savoir si des scientifiques avaient déjà utilisé cette technologie avec succès avant la pandémie COVID-19.

Certainement puisque le NIH admettait ce type de technologie vaccinale à ARNm avait été prouvée depuis des décennies, alors ils ont déjà du conduire des recherches spécifiques sur des plasmides ADN chargés à la cobratoxine. La première étude utilisant les plasmides ADN avec des gènes de cobratoxine injectés dans des mammifères fut publiée en 2003, près de deux décennies avant que n’apparaisse l’urgence COVID, tout juste comme l’a admis le NIH.

[…]

De mon propre point de vue, les plasmides ADN sont sans aucun doute la plus horrible et terrifiante création de la science moderne. C’est littéralement un Cheval de Troie, une arme invisible, faite avec un cargo qui peut faire que votre corps se supprime lui-même en quelques années. Avant de nous plonger dans les plasmides ADN et de continuer plus avant, je dois ici faire une pause pour vous apprendre ce que la science et la médecine publient maintenant au sujet  de “des souris et des hommes”.

[…]

Savez-vous pourquoi les humains font de la recherche sur des animaux comme la souris avant de passer aux humains ? La réponse peut vous choquer ainsi que quelques médecins du reste.

De cet article : http://www.jax.org/why-the-mouse/test-drugs#

Je cite :

Des scientifiques étudient les maladies incluant le SIDA, le cancer, les maladies cardiaques, la maladie d’Alzheimer et bien d’autres maladies mortelles en utilisant des souris de laboratoire. Les humains et les souris ne se ressemblent certes pas, mais pratiquement tous les gènes d’une souris partagent les fonctions des gènes humains. Ainsi donc, les humains et les souris contractent les mêmes maladies pour les mêmes raisons.

Si cela se produit chez la souris, les scientifiques savent que cela se produira plus que certainement chez l’humain. Je répète ceci car c’est très important : “Les humains et les souris contractent les mêmes maladies pour les mêmes raisons”. Ceci est un FAIT établi. Et ce fait… fait que les laboratoires pharmaceutiques, les chercheurs, scientifiques font leur recherches et testent d’abord sur la souris avant de passer à des essais cliniques sur l’humain.

Maintenant que vous avez une bonne compréhension de cela, je vais vous montrer une recherche faite sur des animaux comme les souris utilisant des plasmides ADN. Ils ont fait cette recherche avant de décider d’injecter des milliards d’hommes, de femmes et d’enfants sur la planète avec des injections anti-COVID contaminées aux plasmides ADN. Ce que ces chercheurs généticiens ont fait en 2003 avec leur recherche démontre parfaitement pourquoi beaucoup d’humains sont décédés dans les 48 heures après leur seconde injection d’ARNm et non pas leur première dose.


Collecte de venin de cobra royal

Voici l’étude la plus importante faite sur les plasmides ADN :

Article peered reviewed, publié en date du 22 août 2003 —

Titre : “Trans-épissure in vivo des segments 5’ et 3’ de pré-ARN dirigé par des séquences correspondantes délivrées par transfert de gène

12 co-auteurs, origine essentielle : Medical College, University of Cornell, New York

On peut trouver et lire cet article (en anglais) sur ce lien :

http://www.cell.com/molecular-therapy-family/molecular-therapy/pdf/S1525-0016(03)00300-9.pdf

En 2003, des scientifiques ont décidé de voir ce qu’il se passerait s’ils injectaient des souris avec des plasmides ADN contenant des instructions génétiques de fabriquer du venin de cobra royal. Est-ce que le corps de la souris commencerait à fabriquer le venin de cobra ? Rappelez-vous, les plasmides ADN sont utilisés pour instruire toute cellule de fabriquer quelque chose d’encoder que la cellule ne produit pas naturellement. Ils voulaient savoir si les plasmides ADN pouvaient faire fabriquer du venin de cobra par des cellules de souris. Pas seulement du venin de cobra royal, ils voulaient savoir si ces souris pouvaient produire de l’ARNm de cobratoxine trouvée dans le venin de cobra. Cette même cobratoxine fut trouvée encore et encore être une des “protéines spike” de la COVID-19.

Au lieu de placer la cobratoxine complète dans des plasmides ADN et les injecter dans les souris, les scientifiques firent quelque chose de complètement différent. Ils prirent la cobratoxine du venin de cobra royal et coupèrent la protéine du venin en deux morceaux. Ensuite, ils prirent ces deux petits morceaux, moitiés de la cobratoxine et mirent chacune des moitiés dans des plasmides ADN différents. Chaque plasmide ne contenant que la moitié de la protéine mortelle de la cobratoxine. Vous me suivez ?

Ensuite, les scientifiques ont pris la première moitié des plasmides ADN qui contenaient disons la première moitié de la protéine de la toxine. En les injectant dans les souris, le but était de voir si le corps des souris pourraient produire la seconde moitié pour compléter la toxine en n’ayant pour “instruction” que la moitié du code.

Ils préparèrent les souris en deux groupes différents. Ils injectèrent les souris avec les plasmides ADN ne contenant qu’une moitié de l’information de la cobratoxine. Après six heures, les souris étaient en excellente santé. Ils tuèrent les souris pour regarder si elles avaient complété de l’intérieur le code de la toxine. Ce ne fut pas le cas. Aucune des souris injectées avec l’une des moitiés de la cobratoxine ne reconstitua la totalité de la protéine. C’est pourquoi toutes les souris étaient encore vivantes six heures après l’injection.

Maintenant, les scientifiques savaient qu’en injectant une moitié de la cobratoxine, le corps des souris ne reçurent pas les instructions pour compléter la toxine au sein des cellules. Temps pour le second test.

Ils prirent un autre groupe de souris et injectèrent les deux plasmides ADN (chacun contenant une des moitiés de la cobratoxine) pour voir si le corps des souris ferait littéralement l’épissure (la jonction) des deux morceaux de cobratoxine pour former la toxine dans sa totalité.

Notez que dans la dernière phrase, j’ai utilisé à dessein le mot “épissure”, à cause du mot “trans-épissure” du titre de cette étude. Ils donnent aussi en référence dans le titre les deux plasmides ADN différents qu’ils étudient. Ils les ont désignés comme “3” et “5”, puis ont stipulé que les deux plasmides contiennent “des segments pré-ARNm”, pré- comme dans “avant” l’actuel ARNm.

Rappelez-vous que les injections COVID-19 sont appelées injections à ARNm. Cette étude était faite pour déterminer si injecter deux plasmides ADN contenant ce qu’ils appelaient de la “pré-ARNm” mènerait à une ARNm complète de cobratoxine fabriquée dans le corps des souris. Les deux premiers mots du titre sont “In vivo”, ce qui veut dire dans le corps d’animaux (ou humains) vivants.

Pour comprendre ce qu’il s’est passé pour tant d’êtres humains dans le monde après qu’ils furent injectés “contre la COVID-19”, vous devez comprendre cette étude. Comprendre le titre est déjà un énorme pas !

Le titre nous dit que : “In vivo”, dans les corps des souris, “trans-épissure”, voulant la reconnexion de deux plasmides ADN appelés “3” et “5” et le mot “pré-ARNm”. Réécrivons le titre maintenant d’une manière que tout le monde puisse comprendre :

Dans le corps de souris, deux plasmides ADN contenant des parties de la cobratoxine appelée “pré-ARNm”, furent injectés et les deux plasmides ADN firent une épissure (une recombinaison) dans le corps des souris avec quelque chose appelé “transfert de gène.

Est-ce plus facile à digérer ? Je l’espère, parce que ce qui va suivre est en prise directe avec un film d’horreur…

TOUTES les souris injectés avec les deux plasmides ADN sont MORTES moins de six heures après injection !!

Les souris commencèrent à fabriquer l’ARNm de venin de cobra royal dans leurs corps quelques minutes après l’injection ! En une quantité telle, que cela tua toutes les souris en moins de six heures !

L’épissure s’est produite dans les corps des souris ! Les corps des souris après avoir reçu deux plasmides ADN différents, fabriquaient la neurotoxine complète du venin  de cobra royal qu’ils appelèrent “cobratoxine ARNm”.

Ces souris produisirent dans leur corps, une ARNm mature d’alpha-cobratoxine ! Ceci est d’une importance capitale !

Le NIH déclare : “Les plasmides ADN sont ce que nous mettons dans les vaccins COVID-19 à ARNm”. Au fait, aux Etats-Unis il y eut trois vaccins utilisés durant la pandémie : Johnson & Johnson, Pfizer et Moderna. De ces trois vaccins lesquels furent appelés “vaccins à ARNm” ? Seulement les vaccins Pfizer et Moderna.

[…]

Vous rappelez-vous que l’injection Johnson & Johnson était unique tandis que Pfizer et Moderna demandaient deux injections espacées de deux semaines ?

Dans cette étude de 2003, tout comme pour les injections à ARNm de la COVID-19, deux injections séparés de plasmides ADN étaient nécessaires. Durant la pandémie on nous a dit de nous faire injecter une fois, plus une seconde fois deux semaines plus tard et que seul être injecté deux fois constituait une “vaccination complète”. Vous vous rappelez que lorsqu’ils injectèrent les souris avec une injection ne contenant qu’un plasmide ADN rien ne se produisit. Ce n’est que lorsque les deux plasmides ADN furent injectés que l’épissure se produisit dans les corps des animaux.

Quand vous regardez les blessures rapportées par ceux qui reçurent les injections ARNm COVID-19, plus de 80% des décès se produisirent dans les 48 heures après avoir reçu la SECONDE INJECTION, c’est à dire après que le second plasmide ADN ait été injecté. Tout comme dans l’étude sur les souris de 2003, la majorité de tous les effets secondaires horribles des injections ARNm-COVID-19 se sont produits APRÈS la seconde injection de plasmides ADN !!

Une autre leçon à tirer de cette étude de 2003 : comme nous l’avons vu, les vaccins Pfizer et Moderna sont appelés “vaccins ARNm”, bien qu’il n’y ait pas d’ARNm dans les injections ! Il y aurait de la “pré-ARNm” dedans et cette étude soutint cette suspicion. Je pense qu’il n’y a pas d’ARNm dans ces injections. Les plasmides des deux injections séparées furent utilisés pour donner les instructions au corps humain de produire l’ARNm de la cobratoxine et autre protéines ARNm de venins impliqués.

Je pense que toutes les agences fédérales américaines étaient au courant de tout cela avant d’injecter les Américains de ces “vaccins” infectés de plasmides ADN. Elles savaient que sans doute beaucoup de personnes allaient mourir dans les heures suivant l’injection si les DEUX plasmides étaient administrés en même temps, tout comme cela s’est produit dans l’étude sur les souris. Comme cette étude fut faite plus de deux décennies auparavant, ils savaient qu’ils devraient administrer deux injections différentes contenant deux plasmides ADN différents. Il y avait trop de risque de les donner en même temps. Ils mirent un délai de deux semaines entre la première et la seconde injection ARNm pour la COVID-19 et ce n’est qu’après la seconde injection qu’ils considéreraient quelqu’un comme “complètement vacciné”.


Paralysie faciale : signe d’envenimation

[…]

Y a t’il des preuves que la première et la seconde injections de Pfizer et Moderna étaient différentes ? C’est ma question suivante… Si le but était que le corps humain fabrique des protéines spike de la cobratoxine par exemple, alors il serait essentiel que les gens reçoivent les deux injections des corrects mais différents plasmides ADN des vaccins ARNm COVID-19.

Est-ce que Pfizer et Moderna ont créé des vaccins différents ARNm et furent-ils clairement marqués dans le style “semaine 1” et “semaine 2” ou quelque chose de similaire ?

Je dois ici donner crédit au Dr Henry Healy et son équipe de recherche. Les documents de Pfizer et de Moderna indiquent qu’en fait ils l’ont fait, ils ont clairement marqué la première et la seconde injection d’une manière spécifique de façon à ce que la personne qui injecte sache rapidement laquelle devait être injectée en premier et laquelle deux semaines plus tard. Les deux labos ont utilisé un système de bouchons colorés avec chaque fiole pour que ce soit facile pour les injecteurs de reconnaître la différence entre la première et la seconde injection.

[…]

Il y a eu d’autres venins découverts dans le sang, les urines et matière fécales des patients positifs ou malades de la COVID-19, autres que la cobratoxine. J’ai voulu savoir si des chercheurs avaient testé des plasmides ADN infusés avec les autres venins découverts chez les patients COVID ; comme la protéine de bungarotoxine du venin de krait, les conotoxines des venins de cônes, mollusques marins ? J’ai utilisé la cobratoxine comme exemple, mais il y a deux recherches qui contiennent les preuves que les animaux et les humains peuvent produire l’ARNm de bungarotoxine et celle des conotoxines, avec des plasmides ADN infusés des mêmes protéines de venins “ Ces études furent également conduite il y a plus de deux décennies.

Voici les deux url pour lire ces deus recherches :

http://www.pubmed.ncbi.ntm.nih.gov/121136173/

http://www.pnas.org/doi/10.1073/pnas.2335845100

j’ai montré ces deux études afin de renforcer le fait que la cobratoxine, la bungarotoxine et des conotoxines furent toutes trouvées Dans les corps des patients COVID-19. Elles furent produites dans le corps de souris et peuvent parfaitement être produites dans le corps humain avec l’utilisation de ces plasmides ADN, et ils savent que cela fonctionne depuis plus de vingt ans avant la COVID. Si vous doutez toujours que du venin de serpent ou la cobratoxine puissent être dans les plasmides ADN trouvés dans les injections COVID-19 ARNm, regardez et lisez le nom de l’entreprise ci-dessous, qui fabrique les plasmides ADN pour les vaccins COVID :

Cobra Biologics — Maintenant partie du laboratoire Charles River — “Des plasmides biologiques de cobra vont commencer la Phase 1 d’essais cliniques pour le vaccin COVID-19” (Technology Network) en date du 2 octobre 2020

[NdT : deux captures d’écran en page 153]

Je ne pourrais pas inventer des trucs pareils même si je le voulais… On dit souvent que la réalité dépasse la fiction. Depuis la fin 2020 de publication de l’article, Cobra Biologics a fusionné avec le labo pharmaceutique Charles River

Cf : http://www.criver.com/cobra-biologics-now-part-charles-river

Vous devez aussi savoir que ce labo est en partenariat en Angleterre avec une entreprise appeléee Venomtech.

Capture d’écran p.154 : “Venomtech annonce une nouvelle collaboration dans le développement de médicaments avec Charles River

Que pensez-vous que cette entreprise Venomtech fait ?

Je cite :

Nous sommes un leader mondial dans les entreprises de recherche sur les venins. Nous avons des laboratoires de réputation mondiale à Discovery Park dans le Kent, GB… Nous sommes dédiés à aider nos clients dans le monde à faire des avancées pionnières dans la découverte médicamenteuse, la protection des cultures agricoles et les cosmétiques…

Donc, des venins de créatures du monde entier sont utilisés dans la production de médicaments, de vaccins, d’insecticides et même de cosmétiques.

[…]

Je pense qu’il est plus que grand temps pour les médecins et personnel médical du monde d’adopter un protocole universel de test de détection d’empoisonnement par venins pour tous leurs patients. Notre nourriture, notre eau, notre air, nos produits pharmaceutiques jusqu’à nos cosmétiques personnels ont été contaminés à dessein avec des protéines de venins. L’envenimation a été un effort mondial depuis bien des années et cela ne fait que s’intensifier. Bien trop peu de personnes en ont conscience.

Début 2022, j’ai fait équipe avec Stew Peters, Mike Adams, Scott McKay et Ann Vandersteel pour dévoiler mes préoccupations, recherches et pensées que la pandémie était délibérément causée par une pollution de notre eau et le système de distribution avec des toxines de venins qui créaient la maladie appelée COVID-19. Je voulais savoir si notre gouvernement fédéral et ses agences avaient testé si les plasmides ADN pouvaient survivre les stations d’épuration d’eau et la chimie impliquée..

[…]

Il s’avère que non seulement ils testaient la survie des plasmides dans les systèmes aquifères dans les années précédentes La COVID-19 (2017-2019), mais que notre gouvernement avait financé des études sur le comment des plasmides ADN réagissaient à différents niveaux de chlore dans l’eau durant ces trois années précédents la pandémie. Ceci fut fait en les exposant à des rayons UV (soleil ou technologie) et en traitant l’au avec du peroxyde d’hydrogène. Ces trois composants sont utilisés pour traiter notre eau de tous les jours.

[…]

Ils devaient s’assurer que leur technologie à plasmide voyagerait dans l’eau des stations d’épuration et survivrait les traitements des eaux très variés.

Quelques recherches effectuées sur le sujet :

http://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pil/S0048969719320868

http://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pil/S0043135417305328

http://www.link.springer.com/article/10.1007/s11783-019-1124-5

Un article produit par Mike Adams :

L’entreprise VenomTech annonce une base de données massive de peptides de VENINS DE SERPENTS pour le développement pharmaceutique ; des “nanocarriers” stabilisent le venin de serpent dans l’eau” (PubMed)

[NDT : capture d’écran p.158]

“L’utilisation de venins de serpent dans les produits pharmaceutiques n’est pas une “théorie conspirationniste”. C’est une pratique très courante, représentant ce que bon nombre d’experts scientifiques qualifieraient de découverte médicamenteuse de pointe… Ce que le Dr Ardis a affirmé n’est en rien de la science fiction. C’est l’état actuel de la bio-science en 2022. Quiconque balaie du revers la théorie du “venin de serpent” en relation aux traitements médicaux ou vaccins pour la COVID-19, est totalement ignorant des ressources utilisées aujourd’hui par les centres de recherche médicamenteuse.” (Mike Adams, Health Ranger)


Time : Futur de la médecine et…
manipulation génétique

Chapitre 10 : mon buisson ardent fut un biscuit de bonne fortune chinois

[…]

Les deux scientifiques qui reçurent le prix Nobel de médecine pour avoir inventé la thérapie génique ARNm COVID-19 travaillent à l’université de Pennsylvanie. Qu’y a t’il dans les injections COVID-19 ? D’après le site internet du NIH, plutôt que d’inclure dans les injections le virus, il n’y a que des plasmides ADN infusés de protéines spike trouvées être par des chercheurs chinois et français de la bungarotoxine obtenue du serpent krait rayé chinois ! Et ça n’est pas la seule connexion avec l’U de Pennsylvanie. Le président Trump a signé le décret de l’Operation Warp Speed, pour la diffusion rapide des injections sous AUU, permettant ainsi la production de masse d’un “vaccin” génétique non prouvé pour tous les Américains durant la “pandémie” COVID-19. De quelle université provient Trump ? De l’U de Pennsylvanie. Plus à venir sur la Pennsylvanie dans cette affaire.

[…]

Il y eut plus de révélations encore dans ce feuilleton de 2016 que nous suivions en corrélation directe avec la COVID-19 [NdT : un feuilleton télévisé que le père du Dr Ardis lui avait conseillé de regarder et appelé : “The Black List”], incluant pourquoi tant de patients de la COVID-19 souffraient d’une sorte de “conjonctivite” ou “yeux rouges”. Dans le même feuilleton, ils démontraient comment rendre des gens malades à la fois en buvant du venin de serpent, mais aussi par contact avec les yeux. Du venin dans les yeux causant une “conjonctivite”… Comment du venin de serpent pouvait-il entrer en contact avec les yeux pendant la COVID, n’est-ce pas ? Vous prenez une douche, vous vous lavez le visage tous les jours avec de l’eau, chez vous… Faites attention à l’eau !

[…]

“Mangeons les desserts en premier !” Est le slogan de mon épouse Jayne. Nous étions dans un restaurant chinois et elle avait déjà ouvert son biscuit de la bonne fortune quand je la rejoignis à la table. “Je pense que je vais faire pareil et lire ce que me dit le biscuit avant de manger !” dis-je.

Je ne suis pas le genre de “la bonne aventure par le biscuit”, mais je jouais donc le jeu. J’ouvris mon biscuit. L’impression au dos du papier du biscuit me faisant face. Quand mes yeux se focalisèrent sur les deux mots inscrits, je ressentis comme si on m’avait frappé violemment à l’estomac.

[…]

Jayne commença à manger mais réalisa bientôt que je ne touchais pas à mon assiette. Elle me demanda : “çà va ? Tu n’as pas faim ?”

“Plus maintenant”, lui répondis-je. Elle voulut savoir ce qui n’allait pas. Je leur dit alors “il y a quelque chose d’écrit de l’autre côté du papier, de l’autre côté de la prédiction du biscuit figurait deux mots “Liu Bing”.

Après avoir lu, elle me dit alors : “Aucune idée de ce que c’est !”

Je lui dis alors : “cherche sur ton portable en ajoutant le mot clef COVID”.

Après avoir visionner la liste des résultas, elle se figea et devint de plus en plus nerveuse et anxieuse. Puis, elle me regarda les larmes aux yeux et dit “Que vas-tu faire ?”

Je lui répondis : “Je vais dire au monde la vérité. Bing Liu a été assassiné avant de pouvoir le faire.”

Ma femme ne dit “OK” puis murmura * “ça fait peur !”

“Oui, mais je ne peux pas ignorer ce signe…”

[…]

Cinq mois avant de me retrouver dans ce restaurant chinois, j’avais lu au sujet du meurtre de Bing Liu et ce sur quoi il focalisait sa recherche au moment de sa mort.

Bing Liu était un scientifique né en Chine, émigré aux Etats-Unis, il faisait partie d’une équipe à l’université de Pittsburg (Pennsylvanie) étudiant les origines de la COVID. Au début de la pandémie, son équipe analysa le sang de beaucoup de patients décédés dans les hôpitaux de New York et l’équipe préparait une conférence de presse pour expliquer au monde ce qu’ils avaient trouvé. En mai 2020, la nuit avant la conférence de presse programmée, il fut retrouvé mort chez lui avec 7 balles dans le poitrine et trois dans la tête.

Pourquoi fut-il tué ? Les médias dirent alors que sa mort était un meurtre-suicide. Une querelle amoureuse. Et bien, lui et son équipe avait trouvé en mai 2020 que les gens ne mouraient pas de complications d’une maladie respiratoire provenant d’un virus de chauve-souris. Tous les patients atteints de COVID modérée et sévère avaient quelque chose de commun que les cas bénins de COVID-19 n’avaient pas. Ceux qui mouraient de cas sévère ou modéré de la “maladie” avaient des niveaux élevés de venin de serpent dans leur sang. Après avoir lu cette histoire de Bing Liu, j’éprouvais pas mal d’anxiété. Son histoire était la raison des mois de silence dans lequel je m’étais enfermé.

Mon anxiété fut palpable pendant les cinq mois qui suivirent jusqu’à.. ce que j’ouvre ce biscuit de fortune. C’est à ce moment que ma peur, angoisse, panique disparurent. Je réalisais que le moment était venu de dire la vérité au monde.

[…]

Je pensais que l’utilisation de venins dans les vaccins et les médicaments était quelque chose de nouveau et seulement relié à cette période COVID. Il ne me prit pas longtemps pour découvrir que des venins de toutes sortes étaient déguisés et empaquetés, intégrés dans des concoctions, vaccins et prescriptions médicales, dans les produits cosmétiques et les insecticides dans le monde entier et ce depuis des décennies. Je n’avais alors aucune idée que la recherche sur les venins existaient depuis les années 1800. Save-vous que des millions de personnes dans le monde, depuis 1981, avalent un médicament prescrit médicalement contre l’hypertension artérielle, fait à base de venin de serpent ? Si vous ou quelqu’un que vous connaissez, prenez un inhibiteur ACE pour l’hypertension artérielle ou un médicament qui se termine avec les lettres “-pril” comme captopril ou lismopril, vous avalez un médicament fait de venin de serpent déshydraté, d’un reptile venimeux de la forêt brésilienne. Si cela vous choque ou est nouveau pour vous, pourquoi ne demandez pas à votre médecin ? J’ai aussi appris que bon nombre de médecins prescrivant des inhibiteurs ACE n’en ont aussi aucune idée !

[…]

Il est important de savoir ceci : le venin de quelque créature que ce soit, qu’il soit ingéré, injecté, avalé, appliqué sur la peau, sème le chaos dans le corps humain. Depuis 1956, la recherche médicale et pharmaceutique et la FDA connaissent un secret mortel quant aux effets des venins sur les humains. Ce que vous avez lu jusqu’ici dans ce livre n’est que la partie émergée de l’iceberg en ce qui concerne les venins en médecine.

Avez-vous entendu parler de l’ozempic et du wegovy ? Deux médicaments que des gens s’injectent hebdomadairement et qui sont faits à base de venin d’un lézard venimeux vivant dans les déserts d’Amérique du nord : le monstre de Gila..

[…]

Chapter 11 : Demandez à votre médecin si le venin est bon pour vous ?

 […]

Je dois vous avertir des dangers de consommer tout médicament, vaccin, cosmétique ou insecticide, faits de venins. Vous devez bien comprendre ce que la médecine connait sur les venins une fois ceux-ci dans le corps humain. En 1956, les Dr Stanley Cohen et Rita Levi-Montalcini firent une étude sur des embryons de poulet en gestation. Cette étude avait pour objectif de trouver ce qu’il se passerait si un embryon de poulet et son système nerveux en développement étaient soudainement exposé à une petite dose de venin de serpent. Que s’est-il passé pour les poulets ? Ils eurent  des cancers du cerveau à développement rapide ! Voici une capture d’écran de l’article résumant cette recherche en 1956 (p.173) :

“Proceedings of the National Academy of Sciences du 15 septembre 1956, titre : “A nerve growth stimulating factor isolated from snake venom”

Auteurs : Dr Stanley Cohen et Rita Levi-Montalcini, factulté de zoologie, université de Washington, St Louis

Dans cette recherche, ils examinèrent l’effet de différentes doses de venin sur les cellules nerveuses cérébrales. Ils prirent 16 cellules nerveuses du cerveau d’embryons de poulet vieux de 7 jours. Ils mirent quatre des cellules nerveuses dans des soucoupes pétri séparées. Puis ils introduisirent trois doses différentes (une soucoupe est témoin et ne reçoit aucun venin) de venins de crotale et de mocassin aquatique.

Toutes les cellules exposées aux venins se sont “hypertrophiées” de manière exponentielle à la dose de venin. Cette croissance agressive s’est produite (in vitro) en 18 heures !

Avez-vous entendu l’expression de “cancer turbo” depuis l’introduction des injections anti-COVID-19 en décembre 2020 ? Et bien, en 1956, ces deux scientifiques avaient prouvé qu’en moins d’une journée (in vitro), vous pouvez accélérer la croissance des cellules nerveuses exponentiellement et problématiquement, c’est à dire favoriser la formation de tumeurs dans les tissus nerveux, en les exposant à du venin de serpent.

Trente ans plus tard, en 1986, ces deux même scientifiques reçurent le prix Nobel de médecine pour leur découverte de 1956 qui démontre que l’exposition au venin de serpent crée des cancers turbo du cerveau et du système nerveux.

Savez-vous quelle organisation a payé la recherche de ces deux scientifiques pour l’étude des effets du venin de serpent sur les cellules nerveuses en 1956 ? Cela pourrait vous surprendre. Mais avant de vous le dire, vous devez aussi savoir que ces deux mêmes scientifiques furent payés cinq ans plus tard pour refaire une étude similaire avec les venins de serpent mais cette fois-ci sur les cellules nerveuses de mammifères et non plus d’oiseaux. Leur recherche subséquente fut publiée en 1961. Ils ont prouvé que le venin de serpent pouvait causer la formation très rapide de cancers et de tumeurs dans n’importe quel organe d’un mammifère et pas seulement dans le cerveau des poulets. Les humains sont des mammifères et en 1961, ils confirmèrent que la eau, le cerveau, les ovaires, l’estomac, les intestins, les reins ou les os d’un mammifère développeraient des cancers si exposés à n’importe quelle quantité de venin de serpent. La communauté scientifique les récompensa de la plus haute distinction possible en médecine : le prix Nobel, pour cette découverte.

Ils n’ont pas reçu la récompense pour avoir guéri le cancer, non, non. Ils reçurent le prix Nobel de médecine pour avoir trouvé que le venin de serpents causaient une augmentation de la croissance des tumeurs cancéreuses chez les animaux et les humains. Ils avaient découvert une méthode pour créer encore plus de cancers chez les humains et les animaux en utilisant du venin se serpent. Voulez-vous savoir qui a payé pour cette recherche en 1956. Lisez-vous même, c’est tiré directement de leur article de recherche de 1956 (NdT : capture d’écran p.176)

Réponse à la question : The American Cancer Society !!

Cela vous choque t’il que l’ACS ait payé pour cette recherche pour savoir si le venin de serpent accélérait la croissance des tumeurs cancéreuses ?

[…]

L’ACS serait financièrement ruinée si elle investissait des milliards pour trouver une cure au cancer et qu’elle dise au monde qu’elle en avait trouvé une. Pourquoi les gens continueraient-ils à donner de l’argent en quantité à cette association ? Une guérison de la maladie poserait un très grave problème à tous ces hommes et femmes qui vivent si bien  de la gestion de ces organisations “à but non lucratif”. Chaque membre des bureaux directeurs, chaque président de ces associations, reçoivent des salaires substantiels et des primes de ces organisations pour qu’ils supervisent les donations et l’expansion entrepreneuriale. Si on trouvait une cure… Fini les milliards annuels de ces sociétés de recherche et donc de lourdes pertes en salaires et revenus.

Laissez-moi vous donner un exemple pour illustrer ce point  avez-vous déjà entendu parler de l’American Scurvy Society ? (NdT : La Société Américaine contre le Scorbut). Vous a t’on déjà demandé de faire un don à cette association ? En avez-vous entendu parlé à la télévision, radio, journaux, magazines ? Avez-vous des galas organisés pour son financement ? Bien sûr que non, pourquoi ?

Pourtant le scorbut a tué des millions de gens dans le monde à une époque. Pourquoi donc ne finance t’on plus la recherche sur le scorbut ?

Parce que la cure a été trouvée chez dame nature : l’acide ascorbique ou vitamine C, contenu en grande quantité dans les fruits de l’espèce “citrus” par exemple, mais aussi dans des plantes ou certaines écorces.

[…]

Il y a quelque chose de très important que vous devez savoir dans cette étude sur les venins de serpent de 1956 : dans l’introduction, les deux scientifiques énoncent quel composant spécifique du venin des serpents ils allaient tester. Ceci a d’énormes implications pour quiconque a reçu les injections anti-COVID-19 créées par Katalin Kariko et Drew Weissman. [capture d’écran p.179]

L’utilisation fut faite de venin brut de serpent comme source de phosphodiesterase… les tests subséquents ont démontré que le venin possédait un très puissant agent de croissance…

La phosphodiesterase de venin de serpent est le même composant de venin mentionné dans les études de vaccins génétiques ARNm anti-COVID-19 de Katalin Kariko et de Drew Weissman !! En 1956, le même composant fut utilisé pour prouver qu’il pouvait créer des cancers turbo du cerveau en moins de 18 heures après exposition à la substance (in vitro) ! Nous voyons maintenant se développer des cancers turbo de partout ! Référencés dans des articles à travers les médias sociaux, les interviews de professionnels de la santé et dans les journaux médicaux. 2 + 2 = 4 non ?

La phosphodiesterase + cellules du corps humain est toujours égale à des cancers turbo ! Et ils savent cela depuis 1956 !

[…]

Résumons donc ce qui fut appris en 1956 et 1961 :

Les Dr Cohen et Levi-Montalcini ont identifié et classifié deux effets secondaires du venin se serpent et il les nommèrent. Ils appelèrent l’effet secondaire de formation de cancer agressif du venin de serpent un “facteur invisible”. L’effet secondaire du venin de serpent causant une croissance de tumeur agressive dans les cellules nerveuses fut appelé “Facteur de Croissance Nerveux” ou FCN (NGF en anglais pour Nerve Growth Factor). Ce FCN provoque une croissance des tumeurs cancéreuses à un rythme accéléré et affecte principalement les cellules du système nerveux, incluant le cerveau, la moëlle épinière et les nerfs dans tout le corps.

En 1961, ils trouvèrent que le venin de serpent avait un autre facteur invisible, qui causait la croissance rapide de tumeurs cancéreuses sur la surface de tous les organes internes et de la peau des mammifères ou humains. Ils appelèrent cet effet secondaire cancérigène du venin de serpent le “Facteur de Croissance Epidermique” ou FCE.

Je désire vous présenter également un autre scientifique du nom de Paul F. Reid. Cet homme vous allez le voir, fut payé par le gouvernement des Etats-Unis au début des années 1990, pour accomplir une tache bien particulière en utilisant du venin de serpent. Je cite de sa biographie :

De 1993 à 1996, le Dr Reid fut employé par l’Institut de Recherche Médicale pour les Maladies Infectieuses des Etats-Unis (plus connu sous l’acronyme américain de USMRIID) à Fort Detrick, Maryland sous financement du Conseil National pour la Recherche de Washington D.C, pour un projet d’expression et de purification d’une variété de composants neuro-actifs de venin de serpents dans des systèmes de bactéries et de levures et la purification de ces matériaux exprimés avec expansion dans le but d’une production vaccinale de grande échelle.

http://www.walkersresearch.com/profilePages/Show_Executive_Title/Executiveprofile/P/Paul_F_Reid_400124957.html

Et oui, le gouvernement des Etats-Unis paya le Dr Reid, 30 ans avant la COVID-19 pour faire une chose : produire de grande quantité de venin de serpent en utilisant des bactéries et des levures, qui pourraient être utilisées pour créer des vaccins anti-viraux. Pas pour un petit projet, non, non… mais pour “une production de vaccin à grande échelle.”

[…]

Le Dr Reid a t’il réussi ? Lui et son entreprise, ReceptoPharm reçurent en fait un brevet en 2020, un brevet pour un vaccin antiviral fait avec du venin de cobra royal.

Voir : http://www.patents.justia.com/patent/7758894

Je cite : “C’est un objet principale de l’invention de fournir une méthode pour prévenir et traiter les maladies infectieuses, comme les rhumes et la grippe, les infections bactériennes et parasitiques et ce qui y ressemble.

Plus loin :

La cobratoxine et l’alpha-bungarotoxin (elapid, krait) ont la plus grande affinité avec les récepteurs cellulaires de nicotine… Donc, on suppose que le vaccin issus du venin de cobra royal pourrait être employé dans le cadre du contrôle d’une infection et dans une stratégie de prévention comme il est actuellement adopté durant la saison de grippe pour les populations de personnes âgées, d’immuno-dépressifs et de nourrissons.

Je me devais d’inclure cette citation de son brevet disant qu’à la fois la cobratoxine et la bungarotoxine ciblent les récepteurs cellulaires de nicotine !!

[…]

Lisez attentivement cette déclaration suivante qui est trouvée proche de la fin de l’énoncé du brevet :

Dans les infections virales telle que la grippe, le vaccin (à base de venin de cobra royal) fournirait des avantages par rapport aux stratégies vaccinales autres dans la mesure où il ne contient pas de virus ou de variant spécifique et serait directement accessible durant les périodes de contagion et les pandémies.

Avez-vous bien saisi cela ? C’est très important. Nous allons effeuiller cette déclaration pas à pas…

[…]

Quand un nouveau virus de grippe va sortir, quelqu’un fait une supposition sur lequel des variants ce sera et dit aux fabricants de vaccins de commencer à les produire environ un an à l’avance. Savez-vous qu’il a été rapporté que les vaccins anti-grippe ont un taux de succès de l’ordre de 4% ?

[…]

Ce que je désire que vous tiriez de ce chapitre est que beaucoup de scientifiques dans le monde créent des médicaments imprégnés de venins ainsi que des vaccins et qu’ils ont déjà tous les brevets et patentes pour leurs inventions médicales. Les brevets vont permettre aux inventeurs de profiter dans le futur de leurs créations de venin, ce que vous venez maintenant d’apprendre, sont prêtes à être utilisées de manière possible dans la prochaine saison de grippe ou la prochaine pandémie, ou peut-être même être suggérées être utilisée pour traiter votre cancer ou celui d’un de vos proches.

[…]

Le dictionnaire American Dictionary of the English Language définit le venin de cette façon : “matière fatale ou dommageable à la vie, poison.”

Soyons bien clairs : les venins ne sont pas thérapeutiques et ils ne protègent ni ne perpétuent l’espèce humaine ! Par leur définition même, ils mettent fin à la vie.

[…]

Ce chapitre a peut-être été une expérience éducative, particulièrement si le sujet des venins, médicaments et vaccins est nouveau pour vous. Voici juste un résumé de quelques médocs faits de venins d’animaux que votre pharmacie locale ou votre hôpital prescrivent déjà et dont vous ne savez rien.

Des exemples de ces médicaments s’ensuivent. Ils sont faits actuellement de venins et des millions de personnes dans le monde les prennent…

  • Les médicaments inhibiteurs ACE pour faire baisser la tension sanguine comme le Lisinopril et la Captopril (venin de vipère Jararacas du Brésil)
  • Ozempic, wegovy, byetta, mounjaro et zepbound pour le diabète et la perte de poids (venin de lézard monstre de Gila)
  • Print/ziconotide contre la douleur (venin de cones marins)
  • AZT pour le HIV/SIDA (venin d’éponge océanique)
  • Aggrastat pour les caillots sanguins (venin de vipère à écailles en dents de scie africaine)
  • Ancrod, médicament post-AVC (venin de vipère fer de lance de Malaisie)
  • Integrilin contre les caillots sanguins (venin de crotale pygmée)

Alors que j’écrivais ce livre, un médicament contre le dysfonctionnement érectile est à l’étude. C’est un gel à appliquer sur le pénis, fait du venin de la tarentule des bananiers brésilienne. Voici ce qui est dit du venin de cette araignée lorsqu’il pénètre dans le corps humain, une de ces choses peut arriver :

  • AVC
  • épilepsie
  • Crise cardiaque et
  • mort

Pour certains, même bander a un prix…

[…]

Pour chaque symptôme néfaste ou maladie qui se soit jamais produit chez l’humain sur cette planète, la science a déjà trouvé des remèdes dans la nature. Et ces remèdes n’incluent pas les venins ! Comme le scorbut qui fut soigné à la vitamine C (acide ascorbique) et non pas au venin, vitamine trouvée dans les fruits de mère Nature, il y a des remèdes connus de la science qu’on trouve dans la nature.

[…]

Chapitre 12 : nettoyage des protéines étrangères

NdT : Ce chapitre fait la revue de détail avec explications, des ingrédients naturels de désintoxication. Nous nous contenterons de les lister ici sans l’info de détail à lire dans le livre. Trop long et trop de termes techniques… Ces ingrédients sont en fait les composants d’un produit de nettoyage de protéines étrangères à l’organisme humain mis au point par l’équipe du Dr Ardis et ne contenant que des extraits naturels et aucune molécule synthétique.

[…]

Il y a plusieurs décennies, j’ai dit adieu à l’industrie vaccinale. Pourquoi ? Parce que j’ai décidé de faire confiance en ce système immunitaire que la nature a placé en moi et j’ai dit “non merci” à Big Pharma et sa litanie d’injections. Point barre.

Voici les composants de notre “nettoyeur de protéines étrangères” fonctionnant si bien contre les victimes de “long COVID” et les multi-injectés ayant jusqu’ici survécus.

Le tout premier ingrédient est la Lobelia sauvage. Cette plante est aussi connue sous le nom de “Tabac Indien”, elle ne contient pas de nicotine, mais une substance chimique naturelle appelé lobéline, qui imite les effets de la nicotine dans le corps.

D’après ce que nous dit la science, la protéine spike de la COVID-19 se lie aux récepteurs nicotiniques des cellules du corps, causant les symptômes. Parce que la nicotine fut prouvée être très efficace pour traiter la COVID-19, nous avons inclus la lobéline parce qu’elle se lie aux récepteurs nicotiniques comme la nicotine. Elle agit à l’instar de la nicotine comme un videur de boîte de nuit. Elle empêche les indésirables de pénétrer les cellules en verrouillant les récepteurs nicotiniques.

L’ingrédient suivant est la réglisse organique. Toutes les plantes de réglisse du monde contiennent une substance, nutrient appelé acide glycyrrhizine (GL), que la science connaît pour sa capacité à dissoudre les caillots de sang dans le corps créées par les venins de serpents. Si vous ne le savez pas,  il y a dans chaque personne au moins 12 facteurs de coagulation et de formation de caillots sanguins. Ils sont numérotés en chiffres romains de I à XII. Ce composant unique de la réglisse est connu pour dissoudre les caillots sanguins résultants de ces 12 facteurs et celui des venins de serpents !

Il n’y a qu’un seul médicament de prescription sur terre ayant le même effet sur les caillots sangs que la substance de réglisse, c’est la suramine. J’ai trouvé un article datant de 2007 intitulé “100 ans de suramine”. Dans cet article, la suramine y est considérée comme un “antidote à l’envenimation par venin de serpent”. L’article révèle qu’un article de 2006 émanant du NIH avait publié des résultats similaires au sujet des effets sur les caillots de l’acide glycyrrhizine trouvé dans les racines de la plante de réglisse. Faisant plus confiance à la nature qu’aux médicaments synthétiques, nous avons introduits la réglisse organique dans notre formule.

[…]


Artemisia absinthium

Vient ensuite l’absinthe sauvage, largement reconnue comme une herbe puissamment anti-parasitique. Elle est utilisé par des millions de personnes pour lutter avec grand succès contre les parasites. Vous rappelez-vous tout ce foin fait autour de l’ivermective pour combattre efficacement la COVID-19 ? Médicament utilisé par des millions de personnes dans le monde et frauduleusement affirmée être un “remède pour chevaux”, pas fait pour les humains ? L’ivermectine et l’absinthe sauvage ont la mienne propriété de se lier aux récepteurs nicotiniques des cellules que ciblent les protéines spike de venin de serpent. Dans mes interventions télévisées, j’avais suggéré aux gens d’utiliser de l’absinthe sauvage s’ils ne pouvaient pas obtenir d’ivermectine. Au moment de la crise COVID, j’avais déjà une très grande expérience dans l’utilisation de cette plante depuis une douzaine d’années, que j’utilisais avec mes patients en tant qu’anti-parasite. J’ai fini par recommander l’absinthe sauvage en lieu et place de l’ivermectine et de l’hydroxychloroquine, mon expérience clinique m’ayant donné d’excellents résultats avec la plante. Les deux médicaments sont sûrs, mais rien en comparaison n’est plus sûr que la plante elle-même. La nature est entièrement préparée et équipée adéquatement pour vous guérir. Pas besoin de médicaments pour virer les parasites de votre corps. La science ne fait que tenter de passer outre la nature et de vous faire croire que vous avez BESOIN de ces médicaments, vaccins et autres concoctions synthétiques. La nature ne fait rien d’artificiel. La science le fait. Les médicaments ne sont pas naturels, ils ne font que tenter d’imiter la nature alors que celle-ci a prouvé encore et encore son processus de guérison.

[…]

Le prochain ingrédient est la cannelle cassia. Il y a plus de cent ans, des chercheurs de l’Institut Pasteur de Paris se rendirent dans la forêt amazonienne et questionnèrent les chamans traditionnels au sujet des plantes qu’ils utilisaient pour traiter des morsures de serpents venimeux et d’autres créatures venimeuses. Les villages étaient très isolés, mais bon nombre de personnes survivaient les envenimations depuis des milliers d’années sans le secours de cliniques ou de services d’urgence médicale. La nature était leur pharmacie.

D’après les soigneurs des villages, si quelqu’un était mordu par un serpent venimeux, il prenait un haricot spécial et une écorce d’une arbre spécial pour faire une infusion. Les haricots utilisés pour cette infusion anti-venimeuse sont des haricots Tonka et l’écorce de l’arbre utilisé est celle de l’arbre de cannelle. Les chercheurs de l’IP analysèrent les ingrédients et trouvèrent une substance active qu’ils appelèrent coumarin. Lorsqu’ils brevetèrent la substance synthétique issue du “coumarin” ils changèrent le “r” pour un “d” et la substance devint le “coumadin”. On ne peut pas inventer un truc pareil : après le lancement du “coumadin” synthétique intégré dans des médicaments de fluidification du sang, la FDA américaine interdit alors l’utilisation du coumarin, la substance naturelle dans toute production alimentaire américaine, ceci est toujours en vigueur aujourd’hui.

[…]

Ainsi le coumadin peut être vendu et générer des millions, milliards de dollars de revenus pour Big Pharma, mais la substance naturelle dont il dérive, le coumarin, est quant à elle interdite !

[NdT : capture d’écran de l’interdiction du coumarin par la FDA en date du 5 mars 1954, p.199 du livre du Dr Ardis]

Il y a plusieurs variétés de cannelle, mais seule la cannelle cassia a le plus de coumarin.

[…]

Suivant sur la liste des ingrédients est l’extrait de mucuna, (mucuna pruriens ou “haricot velours) Il fut ajouté pour une seule raison essentielle, contrer les effets de la bungarotoxine, la protéine mortelle du venin de serpent krait. Rappelez-vos que l’étude originale chinoise sur les patients COVID de Wuhan publiait que la COVID-19 émanait de deux serpents : le cobra royal et le krait chinois et sa bungarotoxine mortelle.

[…]

L’ingrédient suivant est le baume de citron bio., connu aussi sous le nom de melissa officinales ou mélisse en français, une herbe tout à fait remarquable, qui a des propriétés de prévention du cancer. Elle protège des virus et des Herpès Simplex (bouton de fièvre) et de l’herpès zoster (zona).

Puis le turmeric ou curcuma, de la famille du gingembre. […] C’est une plante extraordinaire pour la désintoxication du foie.

[,,,]

Un neuro-transmetteur la citicoline, substance chimique produite par le cerveau, elle facilite la messagerie entre le cerveau et le reste du corps.

[…]

Le C60 surchargé… connu pour la détoxication de l’oxyde de graphène.

[…]

Le Cu1 (acide cuivrique nicotinique) : du cuivre ! Un des gros problèmes des venins de serpents dans le corps est qu’ils pompent tout le cuivre de toutes les cellules, pas seulement le venin a cette propriété, mais aussi un insecticide très toxique appelé glyphosate (NdT : Monsanto RoundUp). Les venins et le glyphosate, qui est sûrement un venin synthétique, ont l’effet identique sur quatre minéraux vitaux du corps humain. Les venins retirent le zinc et le cuivre de nos cellules, les faisant se déverser dans notre circulation sanguine. Les venins pénètrent les cellules avec le fer et le magnésium et lorsque ceux-ci sont dans les cellules, cela attire plus d’oxygène et les oxydes, les “rouillent”. Cela provoque aussi une anémie (carence en fer). La solution à ces n’est pas une supplémentation en fer mais en cuivre. Il y a deux sortes de suppléments de cuivre le cuivre 1 et le cuivre 2. Trop de cuivre peut être toxique, le cuivre 2 est à déconseiller, le cuivre 1 est OK à maximum 1mg/jour.

[…]

Le dernier ingrédient est l’or en nano-particules liquides, connu expérimentalement pour neutraliser le venin de Naja kaouthia (une variété de cobra)

[NdT : capture d’écran article du Journal of Toxins d’août 2015]

[…]

A suivre…

Lire notre page mise à jour depuis 2019 : « Coronavirus, guerre contre l’humanité »

« Le véritable Anthony Fauci, Big Pharma, Bill Gates et la guerre globale contre la santé publique et la démocratie », RFK Jr, traduction R71

« SRAS-CoV-2, COVID-19 et injections ARNm, la guerre nano-biotechnologique contre l’humanité depuis 2019 », Karen Kingston, traduction R71

This entry was posted on 27 juin 2025 at 3:27 and is filed under actualité, coronavirus CoV19, crise mondiale, documentaire, guerres hégémoniques, ingérence et etats-unis, neoliberalisme et fascisme, politique et lobbyisme, politique et social, résistance politique, santé, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , , , . You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0 feed. You can leave a response, or trackback from your own site.

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