Language

         

 Publicité par Adpathway

Traduction du livre du Dr Bryan Ardis « Au-delà des mensonges COVID-19 », 2ème partie : la connexion COVID-19, injections ARNm et toxines de venin de serpents par la recherche scientifique

3 week_ago 21

         

NE LAISSER PAS LE 5G DETRUIRE VOTRE ADN Protéger toute votre famille avec les appareils Quantiques Orgo-Life®

  Publicité par Adpathway

Ce qui suit dans le livre du Dr Ardis est à la fois époustouflant et … diabolique pour le moins. Le plus incroyable est que cette recherche sur les venins de serpents et ces découvertes appliquées en masse à l’échelle planétaire aujourd’hui, existe depuis 1956, complétée en 1961. Tout a été écrit, il suffit de trouver l’info et de lire, nous vous en donnons ici l’opportunité partielle…
Ce que dévoile le Dr Ardis n’est en rien contradictoire avec l’arme nano-biotechnologique qu’est l’ARNm, c’est en fait complètement complémentaire. Karen Kingston a analysé et dévoilé le véhicule via les brevets, le Dr Ardis dévoile le cargo via la recherche scientifique…
~ Résistance 71 ~

Au-delà des mensonges du COVID-19
Restaurer la santé et l’espoir pour l’humanité

Dr. Bryan Ardis

Larges extraits de son livre essentiel et salvateur : “Moving Beyond COVID-19, Restoring Health and Hope for Humanity” , Harvest Creek,  octobre 2024

Traduit de l’anglais par Résistance 71, juin 2025

1ère partie
2ème partie
3ème partie
4ème partie

Chapitre 5 : le texto entendu dans le monde entier

Début décembre 2021, j’ai reçu un texte message d’un ami très cher, médecin dans l’Ouest du Texas, appelé Dr. Richard Barlett. Je pense que les gens, partout, lui doivent énormément.

Avant d’avoir eu l’honneur de connaître le Dr Barlett, je l’avais écouté dans un entretien qu’il avait eu à Dallas, Texas, avec Debbie Georgatos sur son podcast hebdomadaire intitulé “Amérique, peut-on discuter ?” (America can we talk ? de son libellé original). J’ai regardé l’entretien le même jour qu’il fut mit en ligne, super entretien !

Ce fut la toute première fois depuis le début du COVID que j’entendais un docteur en médecine dire : “Personne ne doit avoir peur de la COVID, il y a de l’espoir. Nous avons déjà la réponse pour cette maladie COVID, cela s’appelle le Budesonide et c’est très bon marché.

Il expliqua que ce médicament était approuvé par la FDA depuis bien des années et que c’était un médicament sûr et très doux, qu’il pouvait être utilisé à tous les âges, du nourrisson prématuré aux personnes âgées de plus de 100 ans.

[…]

Il expliqua aussi dans l’émission, qu’il était un médecin d’urgences hospitalières et qu’il avait déjà aidé beaucoup de patients à récupérer de la COVID en utilisant ce médicament bon marché pour l’asthme en inhalateur. Il dit au cours de l’émission que bon nombre de patients se remirent très rapidement, parfois les effets positifs visibles quelques minutes après inhalation voire juste quelques heures.

Le Dr Barlett est un médecin de très grande expérience, il faut aussi le conseiller à la santé publique du gouverneur du Texas Richard Perry et patron d’un groupe médical de terrain spécial. J’ai de suite éprouvé le désir de rencontrer cet homme formidable. En 2021, ma grand-mère âgée de 94 ans fut diagnostiquée avec la COVID-19 et on nous a dit que son niveau d’oxygène baissait considérablement. J’ai téléphoné au Dr Barlett pour qu’il me pilote dans son protocole au Budesonide, ce qu’il fit et en une heure, le niveau d’oxygène de ma grand-mère était repassé au dessus de la barre des 94% et elle se mit à remanger. Un vrai miracle !

[…]

Peu de temps après que l’entretien initial du Dr Barlett se fut répandu sur le Net comme une trainée de poudre, plusieurs articles de journaux affirmèrent que le Dr Barlett exagérait à propos du Budesonide soignant la COVID-19 et que tout cela ne faisait que rendre l’information confuse et qu’il menait le public dans une mauvaise direction. Le fait est que le Dr Barlett avait capté l’attention de millions d’auditeurs et que très vite une armada de “fact checkers” payés par l’industrie écrivirent toute une litanie d’articles en ligne et dans les médias sociaux pour le discréditer le plus rapidement possible.

Un des articles titrait : “Il n’y a pas de preuve qu’inhaler du budesonide pour l’asthme puisse guérir de la COVID-19, disent les experts…

Ce qui suivit est particulièrement délectable : durant toute cette agitation médiatique, l’université d’Oxford en Angleterre, décida de tester le budesonide contre la COVID-19, Oxford conduisit la même étude pas une fois mais deux ! Et qu’ont-ils découvert ? Deux fois Oxford publia que le budesonide avait un succès de plus de 90% à soigner les personnes atteintes de COVID-19. Le Dr Barlett ne fut pas prouvé avoir raison une fois, mais deux !!

[…]

D’où l’importance pour tout le monde de faire ses propres recherches.

[…]

Le texto qui a changé ma vie :

Le 1er décembre 2021, le Dr Barlett m’envoya un message disant simplement ceci : “Hey Doc, si vous vous faites mordre par un crotale (NdT : serpent vulgairement appelé ‘serpent à sonnette’ de son nom anglais de “rattle snake”), iriez-vous à l’hôpital pour avoir de l’anti-venin ?

Et alors Dr Barlett ? Fut ma première pensée, ma seconde fut : “Bien sûr que j’irai à l’hôpital pour avoir de l’anti-venin si je me faisais mordre par un crotale !” Je savais que ceci était une question rhétorique, qui n’avait pas besoin vraiment d’une réponse. Quiconque mordu par un crotale se dépêcherait d’aller à l’hôpital non ?

Le Dr Barlett me connaissait si bien, j’étais certain qu’il y avait une raison pour ce texto… Sur mon sofa, je commençais à me poser des questions comme : qu’est-ce que ça a à voir avec la COVID-19 ? Après plusieurs minutes, je ne pouvais pas trouver de lien logique entre ce texto en apparence anodin et la COVID-19. Puis, j’eus comme un flash : Le Dr Barlett est un médecin d’urgence très expérimenté dans l’Ouest du Texas en plus… Je parie qu’il a dû traiter beaucoup de personnes mordues par des crotales avec de l’anti-venin dans sa pratique et Richard sait que je suis un chiropracteur et que je n’ai jamais traité de morsure de serpent de ma vie.

Je sais que le Dr Barlett assumait que je ne connaissais rien des anti-venins ou du comment traiter des morsures de serpents et il avait parfaitement raison dans cette assomption. Alors me dis-je, que sait-il au sujet des anti-venins que je ne sais pas ? Mais une fois de plus, qu’est-ce que cela a à voir avec la COVID-19 ?

En cinq minutes. J’ai su pourquoi le Dr Barlett m’avait envoyé le texto. Je sautais sur mon ordi et tapait en mots clefs : “qu’est-ce qu’un anti-venin ?” Cela ne me prit pas longtemps pour découvrir que dans le monde entier, la plupart des victimes de morsures de serpents venimeux sont traités avec de l’anti-venin et que la vaste majorité des anti-venins sont appelés “anticorps monoclonaux” ! Je ne pouvais pas y croire. Je n’en avais jamais rien su.

Où avais-je déjà entendu parler d’anticorps monoclonaux au sujet de la COVID-19 avant ?.. Ah oui, dans cet essai clinique en Afrique sur le virus Ebola avec le Remdevisir, ils avaient comparé ses effets, d’un antiviral donc, avec des anticorps monoclonaux comme le ZMapp, le MAb114 et le Regeneron et d’après cette étude, les trois anticorps monoclonaux eurent plus de succès que l’antiviral Remdesivir. Le Regeneron par exemple avait un taux de mortalité de 33% comparé a Remdesivir et ses plus de 53%.

[…]

D’après des recherches publiées, les anticorps monoclonaux utilisés contre la COVID provenaient de cultures de cellules cancéreuses de rate de porc. Dans un entretien que j’ai eu sur InfoWars, je n’ai pas critiqué les anticorps monoclonaux per se, ce que j’ai dit était que “Les anticorps monoclonaux fonctionnent et sauvent des vies dans le monde contre des cas aigus de COVID. Mais six études scientifiques que je tiens en main disent qu’ils étaient des produits dérivés de cellules cancéreuses de porc. Je ne me soucie pas des effets de ces médicaments sur la COVID autant que je me soucie des effets à long terme d’injecter des gens avec un produit dérivé de cellules cancéreuses. Quels sont les effets à long terme d’injection de quelque chose provenant de cellules cancéreuses animales chez l’humain ?” Je disais à l’audience : “si vous voulez utiliser des produits pharmaceutiques pour traiter la COVID-19, alors utilisez l’Ivermectine, l’hydroxychloroquine et le Budesonide qui sont des produits existant, prouvés sûrs et efficaces.

[…]

La question suivante à laquelle je devais répondre était celle-ci :  si les anticorps monoclonaux (anti-venins) sont utilisés avec succès pour traiter les morsures de serpents dans le monde entier, alors pourquoi ces anticorps monoclonaux (anti-venins donc) fonctionnaient quasiment à 100% contre les symptômes de la COVID-19 La COVID-19 n’était-elle pas une maladie provoquée par un virus de chauve-souris ?

Avais-je loupé quelque chose dans les tous premiers jours de la pandémie ?

[…]

En mai 2020, tout ce que je savais était qu’Anthony Fauci avait disséminé de fausses informations et je refusais de rester silencieux à ce sujet. J’étais littéralement consumé jour et nuit par les protocoles hospitaliers de traitement de la COVID et aidais les gens à naviguer ce labyrinthe.

Je voulais néanmoins savoir s’il y avait eu quelque information que ce soit dès le départ de l’affaire concernant la possibilité de l’implication de serpents avec la COVID-19. S’il vous plait, suivez mon cheminement de pensée.

Les victimes de morsures de serpents venimeux peuvent grandement bénéficier de traitement aux anticorps monoclonaux, qui traitent les symptômes létaux liés à l’empoisonnement par morsures. Le même type de médicament protège les gens de mourir de la COVID-19. Est-ce que quelqu’un avait publié dans les premiers jours du COVID quelque chose sur une connexion possible avec d’autres animaux que les chauves-souris et les pangolins et pouvant être à l’origine de la pandémie ? Je voulais savoir si quelqu’un avait mentionné quelque chose au sujet de serpents dans les premiers mois COVID.

[…]

Dans les minutes qui suivirent mon questionnement, mon monde allait se retourner totalement, je pris mon ordi portable et tapais les mots clefs “COVID-19 origine et serpents”. Directement, un résultat parut en provenance du site de CNN / santé. C’était choquant à lire et cela va sans doute vous choquer rien qu’à en lire le titre, article publié le 24 janvier 2020 (NdT : capture d’écran de l’article dans le livre) :

Des serpents pourraient être la source de la contagion de coronavirus de Wuhan

(CNN) — Serpents — Le krait et le cobra chinois peuvent être la source originale du coronavirus nouvellement découvert et qui a déclenché une contagion par une maladie respiratoire mortelle contagieuse en Chine cet hiver.

Quand j’ai vu la date de l’article, j’ai doublement tilté : A ce stade (nous sommes en décembre 2021), la communauté médiatique et scientifique ne parle plus et depuis un bon moment, que de l’origine du virus comme étant de “chauve-souris”. Cet article de CNN ne mentionne en rien les chauves-souris. Si vous lisez l’article complet, il y est dit que l’origine de la COVID-19 était plus que vraisemblablement deux serpents. Si cela vous choque à ce point.. Attendez le reste du livre, vous êtes parti pour un grand tour de montagne russe.

Le second article que je trouvais en ligne émanait de Healthline.com, un journal médical et de santé en ligne très réputé. Cet article fut publié trois jours après l’article de CNN ci-dessus mentionné. L’article mentionne :

Une nouvelle étude a trouvé que le virus ait pu provenir de chauves-souris et s’est projeté sur les humains via un serpent ou un pangolin.

L’auteur veut que vous croyez qu’une chauve-souris ait toussé sur un serpent ou un pangolin et que ce même serpent (ou pangolin) ait ensuite toussé sur des humains en Chine, ce qui a rendu le monde malade. Pour tous ceux qui croient en cette baliverne, rappelez-vous qu’un coronavirus dans des gouttelettes à l’air libre ne peut pas voyager à plus de 1,5-1,8m de son point d’émission.

Le 27 janvier 2020, un autre article fut publié sur le site ScienceTechDaily, le titre :

Pneumonie de serpent — Contagion au coronavirus en Chine tracée aux serpents par une analyse génétique

Pneumonie du serpent ? Avez-vous entendu quiconque dans la profession médicale parler de cela dans les médias, que la COVID-19 était un virus de serpent ou qu’il causait une “pneumonie du serpent” ?

J’étais époustouflé de lire cela, que des généticiens avaient tracé l’origine de la COVID-19 aux serpents ?! 

[…]

Vous êtes sur le chemin du comment comprendre que l’origine de la COVID-19 repose profondément sur les serpents et que ceci explique chaque symptôme de la maladie qui fut jamais documenté et finalement pouvoir expliquer chaque effet secondaire, blessure induite, fausse-couche et décès rapportés comme effets secondaires de tous les “vaccins” anti-COVID-19.

Chapitre 6 : venins de serpents, de cônes marins et d’étoile de mer

Après avoir lu des articles comme ceux du dernier chapitre, qui disaient que “L’analyse génétique” avait tracé l’origine de la maladie COVID-19 aux serpents, beaucoup de nouvelles pensées me venaient à l’esprit. Il était particulièrement surprenant qu’aucun des experts avec lesquels j’ai étroitement travaillé n’avait remarqué cette connexion pourtant publiée, avec les serpents…

Peut-être que le gouvernement était au courant et faisait beaucoup d’efforts pour cacher cette information en continuellement faisant la promotion de ce non-sens de “virus de chauve-souris” dans les médias. Peut-être êtes-vous familier avec cette citation du politicien et idéologue, philologue nazi Paul Joseph Goebbels : “Si vous dites un mensonge suffisamment gros et que vous continuez à le répéter inlassablement, les gens finiront par le croire.

[…] Ainsi la question devenait aussi : d’où ces journalistes tiraient-ils cette connexion entre les serpents et la COVID-19 ? Quelle était la source de l’article de CNN sur cette possibilité que deux serpents puissent être à l’origine de la COVID-19 ? Particulièrement en considérant qu’ils ont obtenu cette information en janvier 2020, le premier mois de la pandémie pour tous les Américains … Où Healthline et ScienceTechDaily.com et autres publications en ligne, ont-ils eu cette information au sujet des serpents ?

Curieux au sujet de la “nouvelle étude” mentionné dans chacun des articles, j’ai fouillé et ai trouvé. Voici une capture d’écran (Cf.livre p.89) de la page titre de cette étude peer-reviewed et approuvée sur la recherche de l’origine de serpent faite par des chercheurs chinois Wei Ji et al., datée du 17 janvier 2020.

Depuis Wiley Médical Virologie : “Transmission cross-espèces du nouvellement identifié coronavirus 2019-nCoV”, les auteurs : Wei Ji, Wei Wang, Xiaofang Zhao, Junjie Zai et Xingguang Li

Les scientifiques chinois ont analysés les données de patients malades à Wuhan à la fin de l’année 2019 (NdT : rappelons qu’officiellement, la contagion a commencé à Wuhan en novembre 2019), essayant d’identifier la source génétique de leur maladie. Des échantillons de sang et de leurs analyses ADN, ils en vinrent à la conclusion :

En résumé, le SRAS-CoV-2 a presque la même information génétique que le coronavirus de chauve-souris, et a le biais d’utilisation de codon le plus similaire au serpent.

Qu’est-ce que c’est que ce charabia ? Plus de recherche nécessaire.

Le premier article listé fut celui d’une définition trouvée sur le site du NIH de la terminologie “codon usage bias” (en anglais) “biais d’utilisation du codon” (en français ?)

Définition : ce biais reflète l’origine de l’espèce ou des gènes.

C’est ce que veut dire ce phrasé scientifique. Maintenant que nous savons ce que cela veut dire, revisitons la déclaration de l’étude chinoise dans sa conclusion du 17 janvier 2020. En remplaçant le phrasé par sa définition :

En résumé, les résultats dérivés de notre analyse évocatrice (analyse génétique) suggèrent que le 2019-nCoV (virus de la COVID-19) possède l’information génétique la plus similaire au coronavirus de la chauve-souris et possède l’origine la plus similaire au serpent.

En terme commun, cela prouve par analyse génétique que l’origine la plus probable de la COVID est le serpent et non pas une chauve-souris ! L’article montre un graphe montrant l’origine animale la plus probable et il fut découvert que cette origine provenait de deux serpents et non pas de chauve-souris comme ce fut pensé auparavant.

[…]

Ces deux serpents ont été identifiés comme :

1- Le krait rayé chinois

2- le cobra royal chinois

Ainsi, les médias et les autorités sanitaires fournirent de fausses informations en disant que l’origine primaire animale de la COVID-19 était la chauve-souris.

Alors vient cette question : Pourquoi diable, médias, autorités sanitaires et professionnels de la médecine nous menèrent en bateau au sujet de l’origine animale de la pandémie COVID-19 ? Cette question est en fait la plus facile de toutes à répondre. Pas besoin de faire de grande recherche pour arriver à la conclusion…

Les médias de masse, la médecine allopathique conventionnelle et les agences de santé fédérales, gouvernementales dans le monde entier ont du enterrer l’origine véritable de la COVID-19 comme étant le serpent, parce que les médecins du monde entier savent comment traiter une morsure de serpent venimeux. Il n’y a pas besoin  d’une nouvelle thérapie génique vaccinale pour soigner les victimes. Tous les mensonges entourant la pandémie, mensonges dits, écrits ne le furent que pour une seule et simple raison : “vacciner”, injecter chaque personne sur la planète !

[…]

Le plan était de vous convaincre vous et vos proches, que seules ces agences et labos avaient l’antidote contre cette nouvelle infection mondiale mortelle.

[…]

Si vous aviez su en janvier 2020, que des scientifiques avaient confirmé que les gènes de deux serpents avaient causé les symptômes de la pandémie mondiale, votre question immédiate aurait été tout naturellement : “Quels sont ces deux serpents ?” Et aussi pourquoi les gènes spécifiques de ces deux serpents faisaient-il que nous étions en train de suffoquer et de perdre nos sens du goût et de l’odorat ? Les médecins du monde entier auraient su quels remèdes appliquer et ils auraient traité leurs patients avec bien plus de confiance et de succès.

[…]

Ils ont menti et trompé le monde à dessein, en toute connaissance de cause, cachant cette réalité de ce qui provoquait la pandémie et rendait les gens malades, résultant en la souffrance de millions et de millions de gens de par le monde. Éventuellement, quand les humains eurent subi suffisamment de maladie, de stress et de peur, les autorités savaient que la plupart d’entre eux tourneraient leur confiance vers une nouvelle thérapie vaccinale génétique et se laisseraient volontairement injecter.

Des stars du cinéma, des personnalités des médias et du sport, des présentateurs de journaux télévisés et même des “fact checkers” se plièrent et jouèrent le jeu de cette histoire. Bon nombre d’acteurs de crise et de taupes grassement payés s’assurèrent que le narratif des manchettes et des infos reste le plus éloigné possible des serpents et ne mentionne que les chauves-souris !

Des articles innombrables circulant dans le monde saturèrent les ondes avec une seule et unique chanson sur laquelle danser. La COVID-19 est une maladie provenant des chauves-souris, point barre.

[…]

Après avoir lu au sujet de la théorie chinoise des deux serpents, une équipe de scientifiques français mena sa propre analyse ADN en avril 2020. Ils firent une découverte choquante qui répondait à deux questions apparemment inexplicables circulant dans le monde durant les quatre premiers mois de la pandémie :

1- Pourquoi tant de fumeurs semblaient immunisés contre ce virus respiratoire ? Il y avait très très peu de fumeurs admis en hôpital après avoir contracté la COVID-19

2- Pourquoi des médecins rapportaient-ils l’incroyable guérison de leurs patients positifs à la COVID lorsqu’il les traitaient avec un médicament appelé Ivermectine ? L’Ivermectine n’est pas un médicament contre les virus de chauve-souris, ni est-il utilisé pour traiter tout virus respiratoire ; c’est un anti-parasite. Pourquoi donc l’Ivermectine aidait-elle à guérir un grand nombre de personnes dans le monde de la COVID-19 ?

Cette étude fut mené en France par l’équipe de Jean-Pierre Changeux et c’est la recherche qui régule tout.

[…]

Leurs tests ADN créèrent un grand doute sur cette assomption du virus de chauve-souris. Voici ce que dit l’étude de Changeux et al. :

Au début de l’année 2020, on nous a expliqué que ce qui rendait ce coronavirus de chauve-souris si différent des SRAS-CoV-1 précédents (des épidémies SRAS et MERS il y a plusieurs années) était deux protéines sur la surface de ce virus. Les humains devenaient infectés avec ce que la science dénommait Les “protéines spike” ou “protéines pointes”, qui se comportaient comme des espèces de clef agissant sur des serrures. Nos cellules humaines et nos poumons contiennent un verrou connu sous le nom de “récepteur”.

Lorsque la protéine spike est insérée dans ce récepteur, elle agit comme une clef qui dévérouille la cellule. Ce n’est qu’une fois le verrou du récepteur ouvert que le virus de chauves-souris SRAS-CoV-2 peut pénétrer dans la cellule, l’infecter en se reproduisant dedans, ce qui rend la personne infectée malade. La communauté médicale a publié très largement que la protéine spike utilisait le récepteur ACE2 pour pénétrer dans nos cellules.

Il n’y avait qu’un seul petit problème, comme prouvé et référencé dans cette étude scientifique française :

“Les récepteurs ACE2 n’existent pas à la surface des cellules pulmonaires des êtres humains !”

Jusqu’a aujourd’hui, certains affirment toujours que la façon dont ce virus de chauve-souris est inhalé et infecte les cellules pulmonaires est après que nous l’ayions inhalé dans nos poumons humains. Là, deux protéines spike sont insérées dans le verrou des récepteurs ACE2 (qui se trouvent soi-disant sur la surface de nos cellules pulmonaires). Lorsque ces protéines spike s’insèrent dans un récepteur ACE2, on nous dit que le virus SRAS-CoV-2 envahit alors nos cellules, il les infecte, nous rendant malades.

Laissez-moi donc résumer simplement la situation étape par étape de ce narratif :

1- Une chauve-souris tousse le virus

2- Le virus à deux protéines spike sur sa surface externe

3- Le virus de la chauve-souris ne peut pas pénétrer une cellule sans d’abord avoir inséré une de ses protéines spike dans un verrou appelé récepteur ACE2, qui se trouve sur la surface de nos cellules pulmonaires.

4- Une fois que la protéine spike déverrouille le récepteur, le virus pénètre, se reproduit dans vos cellules vous rendant malades.

Mais, comme révélé par l’étude française, les récepteurs ACE2 n’existent pas à la surface des cellules pulmonaires humaines. Rappelez-vous : une étude les règle toutes ! La révélation dans cette étude que les récepteurs ACE2 n’existent pas sur la surface des cellules pulmonaires détruit totalement les deux notions primaires en regard de la COVID-19 : 1) le virus doit pénétrer les cellules par les récepteurs ACE2 pour infecter les cellules et 2) le virus entre dans notre corps via nos poumons.

Alors donc pourquoi développe t’on dans le monde toux, fièvre et bien des symptômes de pneumonie si le virus ne peut pas entrer par les cellules pulmonaires pour les infecter ? N’ayez crainte, ces scientifiques français ont aussi trouvé. Une fois de plus fumée et miroir. Lisez par vous même cet extrait d’une autre étude publiée :

“L’ACE2 représente le principal récepteur de molécule pour le SRAS-CoV-2… Pourtant la protéine n’est pas détectée dans le poumon [7]…”

Le numéro “7” à la fin de cette déclaration fournit un lien vers leur affirmation que les récepteurs ACE2 ne sont pas présents à la surface des cellules pulmonaires humaines.

[…]

Par leur test ADN, les scientifiques français ont prouvé que ces protéines spike n’étaient pas nées d’un père (la chauve-souris) mais de deux pères (le krait rayé et cobra royal chinois). Voyez les résultats de leur analyse ADN dans le graphe ci-dessous (cf livre p.97)

De plus, leur test a précisément identifié la protéine de venin produite par chaque serpent. Le test est très technique, mais la bonne nouvelle est qu’ils ont expliqué comment des agents nicotiniques (à base de nicotine), comme des pastilles adhésives cutanés ou des chewing-gum, étaient une cure tout à fait plausible pour la pandémie COVID. Ceci explique maintenant le titre de cette étude “Une hypothèse nicotinique pour la COVID-19 avec ses implications préventives et thérapeutiques

[…]

En regardant le graphique précédent, les scientifiques ont trouvé que la toxine cobra du cobra royal chinois et la bungarotoxine du krait rayé chinois étaient quasi identiques aux “protéines spike” du SRAS-Cov-2. Ces deux protéines de venin sont minuscules et dans le domaine de la science, un petit fragment de protéine est appelé un peptide.

Ces deux protéines de venin sont connues pour être des protéines de venin neurotoxiques et, comme publié dans cet article, peuvent facilement pénétrer la barrière cérébro-sanguine grâce à leur petite taille. Une fois que ces neurotoxines atteignent votre cerveau et votre moëlle épinière, les protéines spike de venin se lient a des récepteurs spécifiques de cellules nerveuses appelés récepteurs nicotiniques que l’on trouve dans toutes les cellules du corps humain.

Le diaphragme et la colonne vertébrale sont affectés par ces deux venins toxiques ; le venin provoque une paralysie et un rythme cardiaque ralenti lorsqu’il atteint le tronc cérébral. Ces venins, dans toutes les proies de ces serpents, sont faits pour déclencher un arrêt respiratoire et une hypoxie, rendant difficile pour la proie de respirer et donc de fuir. Ce furent les symptômes exacts dont souffrirent des millions de gens dans le monde dans leur lutte contre la COVID-19.

Initialement, ces personnes ne furent pas infectées dans leurs poumons pour devenir malades. Le venin de serpent a voyagé vers leur cerveau et moelle épinière et a supprimé le contrôle cérébral du cœur et du diaphragme de ces personnes. La petite mais réelle paralysie fut suffisante pour causer une détresse respiratoire. Et les corps des êtres humains souvent développent fièvre et frissons lorsqu’un venin est introduit. Ces venins neurologiques imitaient les symptômes d’un virus respiratoire ! Le travail de ces scientifiques pour déchiffrer cette arme diabolique est absolument extraordinaire !

Les récepteurs primordiaux que les neurotoxines des venins de serpent ciblaient étaient inconnus de moi jusqu’alors : le récepteur alpha-7 nACHR, ou pour faire bref, le récepteur de nicotine ; et ceci explique parfaitement pourquoi les fumeurs ne tombaient quasiment pas malades de la COVID-19 ! Parce qu’ils avaient déjà de la nicotine circulant dans leur corps, leur sang et les fluides cérébro-spinaux qui entourent le système nerveux. La réponse depuis le départ était la NICOTINE, qui a un bien plus grand effet de liaison avec le récepteur alpha-7 nACHR que toute autre substance, incluant les neurotoxines de venin de serpent.

Lorsque les neurotoxines de venin de serpent et la nicotine confrontent toute cellule du corps humain, celui-ci va toujours tendre à se lier à la nicotine et détacher les protéines de venin et si le venin de serpent ne peut pas se lier au récepteur nicotinique, il ne peut pas vous endommager ou vous causer des symptômes néfastes… Quelle découverte absolument déterminante !

Cette découverte sur la “protéine spike” du venin neurologique répond aussi à la seconde question du début de ce chapitre en ce qui concerne le succès de l’Ivermectine contre la COVID-19. Dans leurs remarques de conclusion, les chercheurs français publièrent ceci :

De manière intéressante, l’Ivermectine, qui a été récemment connue pour annihiler la réplication du SRAS-CoV-2 dans les cellules in vitro, est un modulateur allostérique positif du récepteur alpha-7 nACHR.

Roulement de tambours SVP !! La Nicotine ET l’Ivermectine sont tous deux des antidotes de la COVID-19 et de ses protéines spike, parce que tous deux se lient et protègent les récepteurs spécifiques à la nicotine que les deux protéines de venin ciblent, empêchant donc les symptômes de la COVID. Une fois que l’Ivermectine est administrée, les récepteurs nicotiniques se désengagent des protéines de venin, ce qui a pour effet une amélioration respiratoire immédiate, car les récepteurs se lient de préférence à l’Ivermectine. N’est-ce pas absolument incroyable ?…

La nicotine est en fait plus puissante et plus protectrice que l’Ivermectine, mais pour bon nombre de personnes, l’Ivermectine fut suffisante pour neutraliser et se débarrasser des protéines du venin.

Voyons ce que les chercheurs français ont suggéré comme thérapie contre le SRAS-CoV-2 après avoir compris que les protéines spike de la COVID-19 étaient quasiment génétiquement identiques au venin de ces deux serpents :

En conclusion, nous proposons et essayons de justifier l’hypothèse que les récepteurs nACHR jouent un rôle critique dans la patho-physiologie de l’infection au SRAS-CoV-2 et en conséquence, nous proposons la nicotine et agents nicotiniques comme thérapie possible pour l’infection au SRAS-CoV-2.

Considérez ceci : Il est plus que probable que ce soit la toute première fois que vous entendez que la nicotine est un traitement des plus raisonnable contre la COVID-19. Pourtant, des chercheurs ont découvert cela en avril 2020. Pourquoi donc les communautés médicale et scientifique ainsi que le grand gourou du COVID Anthony Fauci, ne vous ont-ils pas dit tout cela ? Comment se fait-il que ce soit un chiropracteur à la retraite comme moi qui tombe sur cette recherche miraculeuse ?..

La réalité est que Fauci et les gouvernements du monde étaient parfaitement au courant des résultats de cette étude dès avril 2020, mais ils firent la sourde oreille. En lieu et place, ils ont orchestré une campagne de marketing de tromperie de plusieurs millions de dollars.

[…]

En plus des études faites en Chine (origines des serpents de la COVID) et en France (les protéines spike sont des neurotoxines de venin de serpents), une troisième étude allait sortir d’un autre pays. Cette fois-ci, ce fut en provenance d’Italie en octobre 2021 et ce serait la plus étonnante étude sur les symptômes de la COVID-19 et de venins jamais faite. Tandis que vous et moi étions confinés, un chercheur et éminent scientifique italien du nom de Carlo Brogna, mena une équipe de chercheurs dans une étude sur de nombreux patients, certains ayant testé positifs à la COVID, d’autres non.

De ma propre opinion, ce qu’ils firent est la recherche la plus brillante jamais entreprise ! Plusieurs villes d’Italie furent choisies et les chercheurs sélectionnèrent de manière tout à fait inopinée dix individus malades, tous avaient été testés positifs COVID par test PCR (NdT : nous connaissons aussi la valeur bidon de ce test, surtout calibré à plus de 30 cycles de reproduction comme ce fut si souvent le cas, mais soit…). De plus, 10 individus, négatifs au test COVID et n’ayant aucun symptôme furent choisis comme groupe de contrôle. Ensuite, ils collectèrent des échantillons de sang, d’urine et de matière fécale de ces vingt personnes.

Ces chercheurs avaient compilé une liste de tests et de laboratoires pour rechercher et identifier toutes protéines étrangères ou toxines qui pouvaient être identifiées dans les échantillons de tissus et de fluides corporels qu’ils évaluaient. Ce qu’ils trouvèrent devraient transformer le visage de toute recherche en regard des maladies contagieuses et particulièrement sur la façon dont nous regardons et concevons la virologie, l’études des virus.

Les résultats ADN furent très différents de ceux trouvés dans les études précédentes en Chine et en France. Carlo et son équipe de chercheurs ont trouvé et publié la présence de 36 différentes protéines de venins d’animaux dans le sang et les matières fécales des patients qui avaient TESTES POSITIFS à la COVID-19. Ceux qui étaient négatifs n’avaient aucune protéine de venin. Carlo et son équipe appelèrent les protéines de venin “peptides assimilés toxines”. J’ai personnellement rencontré Carlo Brogna et il a partagé avec moi sa recherche et surtout le comment il avait fait cette étude et ce qu’ils avaient appris.

Ce que cette équipe a découvert et que dans chaque patient positif COVID, de multiples protéines (peptides) de venin de serpents, de cônes (mollusques) marins et d’une étoile de mer (Acancasther ou “couronne d’épines”) étaient produites par les bactéries résidant dans les intestins des patients ! Ils pensent alors que la COVID infectait bactéries et fungi/levures, leur faisant produire des quantités continues de ces protéines spécifiques de venins qu’ils appellent “peptides assimilés toxines”.

Ces chercheurs italiens allèrent jusqu’au bout des choses en analysant des tissus corporels en utilisant une forme de test hautement spécifique. Cela pouvait même déterminer le type de peptide de venin présent dans le groupe de patients COVID, s’il s’agissait de protéine de venin de serpent, de scorpion, d’araignée ou de créature marine. Ils mirent tout cela sous forme de tableau (NdT : publié aux pages 104 et 105 du livre). Ils trouvèrent non seulement des peptides de venin de krait rayé et de cobra chez les patients COVID, mais aussi une combinaison de 20 différents venins de serpents et 16 différents venins de créature provenant de l’océan, incluant une toxine d’une étoile de mer et de 15 cônes marins.

[NdT : suit une capture d’écran du titre de l’article de recherche, p.102]

EICCO Research, juillet 2021 “Peptides assimilés toxines dans le plasma, l’urine et les matières fécales de patients COVID-19 (version 2, peer review, approuvée)

Auteurs : Carlo Brogna, Simone Cristoni, Mauro Petrillo, Maddalena Querci, Ornella Piazza, Guy Van Den Eede

Voici la déclaration conclusive :

“Des peptides assimilés toxines presque identiques aux composants toxiques de venins d’animaux, comme les conotoxines, phospholipases, phosphodiesterases, proteinases de zinc et bradykinine, furent identifiés dans les échantillons en provenance des patients COVID, mais pas du groupe de contrôle sain.”

Le tableau 1 de la recherche italienne liste toute une série de protéines de venin ainsi que des animaux de provenance. Le nom de l’animal venimeux se trouve dans la colonne tout à fait à droite du tableau. Les peptides/protéines des venins sont listés dans la 1ère colonne. La table des protéines est la partie la plus révélatrice de l’étude. La cause de chaque symptôme COVID est expliquée par les protéines montrés dans cette colonne. Un animal est totalement absent de la liste des protéines des animaux trouvés chez les malades de la COVID-19 : la chauve-souris ! (NdT : ou le pangolin !)

Je veux ici aussi attirer votre attention sur un point très important. L’équipe de Carlo a collecté des échantillons d’urine, de sang et de matière fécale de dix Italiens testés positifs à la COVID-19. Trois différents laboratoires et tests furent utilisés dans deux pays l’Italie et l’Allemagne et les échantillons de tissus subirent des tests de spectrométrie de masse, de chromatographie liquide et de fractionnement ionique gazeux. Ils ne trouvèrent absolument aucune preuve, trace ou gènes de quelque sorte de chauve-souris de notre planète. Après toute la couverture médiatique sur le narratif de la chauve-souris, cela ne vous parait-il pas bizarre comme cela me le parait de ne trouver aucune mention de traces génétiques ou de protéines en provenance de la chauve-souris dans les échantillons des patient positifs COVID-19 ?

[…]

Maintenant si quelqu’un se demande si les résultats furent jamais confirmés par d’autres études en addition de celle faite en Italie, la réponse est “oui”.

En 2022, le Dr, Sankara Chetty, docteur en médecine en Afrique du Sud, contacta Carlo Brogna après avoir appris de cette incroyable recherche. Pour moi, le Dr Chetty est un de ces héros de la profession médicale qui a lutté pour trouver une cure pour ses patients ayant des symptômes COVID de longue durée, souvent référés comme “symptômes de COVID long”.

Le Dr Chetty a demandé à Carlo de refaire les mêmes tests de laboratoire sur les échantillons des patients du Dr Chetty comme Carlo l’avait fait dans l’étude des “36 peptides assimilés toxines”. Cela fut fait, il fut de nouveau confirmé en janvier 2023 pour l’audience mondiale qu’en fait, les patients de “COVID long” du Dr Chetty avaient de multiples peptides de venins de cônes marins, de serpents et d’étoile de mer qui étaient répliqués dans leurs intestins.

Voilà une autre chose qui fait se gratter la tête. Si ces animaux n’avaient pas physiquement injecté ces venins , alors comment le venin de ces 36 créatures se sont retrouvés dans les corps des positifs à la COVID-19 dans le monde entier ? Comment des bactéries peuvent-elles produire des venins de 20 espèces de serpents différentes, incluant ceux du cobra royal et de krait rayé ? Comme des bactéries dans un corps humain fabriquent-elles du venin d’étoile de mer et de 15 cônes marins différents ? J’expliquera tout cela dans un autre chapitre.

Avant les résultats de la recherche italienne, je n’avais jamais entendu parler des cônes marins ni de “conotoxine”.

[…]

En 2012, le gouvernement des Etats-Unis publia un avertissement au sujet des conotoxines, le venin produit par les mollusques coniques marins. L’avertissement déclarait le danger potentiel que des terroristes utilisent une forme de conotoxine en format aérosol comme “arme”. Une fois que les humains avaient inhalé ce venin de cônes, ceci causerait un “arrêt respiratoire”. Huit ans plus tard, de la conotoxine serait retrouvée dans le sang et les matières fécales de patients malades de la COVID-19

[NdT : suit la capture d’écran d’un document émanant de l’Office of Justice Programs, Journal de bio-terrorisme et de bio-défense, daté de 2012 et intitulé : “Conotoxines : des armes potentielles de la mer”]

L’effet le plus létal des conotoxines sur les humains et la paralysie du muscle du diaphragme causant un arrêt respiratoire…

Vous avez peut-être entendu d’une organisation appelée le Forum Economique Mondial ou FEM (siégeant à Davos en Suisse). Le FEM a publié et soutenu bien des idées, incluant celle d’une surpopulation mondiale. […] Leur mission est très directe car ils sont “impliqués dans l’amélioration de l’état du monde”.

Le 11 septembre 2015, il publiait sur son site internet un article intitulé : “Comment les mollusques marins tueurs peuvent améliorer l’état du monde ?

Ils pensent honnêtement que les mollusques tueurs trouvés dans les mers peuvent impacter positivement sur notre monde. Des publications ont documenté que ces mollusques sont mortels pour les humains et pourtant le FEM veut nous convaincre qu’ils peuvent être utiles à l’amélioration du monde.

C’est une coïncidence que cet article soit publié à peine cinq ans avant la pandémie COVID et que des scientifiques ont découvert que ceux qui testent positifs à la maladie COVID ont des traces de venin de ces mollusques tueurs dans leur sang et leurs selles.

Il n’y a aucun doute que cet article expose de manière ouverte ce que je pense être l’agenda caché derrière cette pandémie. Cela devrait vous ouvrir les yeux et ceux de ceux que vous aimez sur ce qu’il s’est véritablement passé, à savoir une envenimation mondiale.

[…]

En 2024, deux ans après que j’eus rapporté dans les médias que la COVID-19 contenait des venins transformés en arme biologique, je fus introduit à un livre et demandé de le lire. Publié en 1992 par le romancier Richard Parry, le livre s’intitule “Venom Virus”. Parry y décrit dans le détail et de manière très scientifique, comment un “virus de grippe” a été créé en laboratoire pour produire du venin de serpents chez ses victimes.

Malgré que le livre fut écrit trois décennies avant la pandémie COVID, ce livre inclut des références à “Corona”, la “recherche sur les cônes marins”, le “venin de cobra” et un vaccin contre la “maladie” arrivant à temps et constitué d’un anti-venin. J’ai lu avec grande attention ce livre alors qu’il présente l’entière pandémie COVID-19 dans ce travail de fiction daté de 1992.

[…]

Chapitre 7 : l’université d’Arizona

Des chercheurs de l’université d’Arizona ont analysé les échantillons sanguins de 300 personnes qui sont décédés dans deux systèmes hospitaliers en août 2021. Tous ces patients sont décédés alors qu’ils étaient traités pour la COVID-19 et les chercheurs ont essayé de déterminer ce qui pourrait expliquer les causes de leur mort.

Les résultats furent choquants, c’est le moindre qu’on puisse dire.

L’étude cherchait à aider les professionnels des services médicaux à identifier des anomalies dans le système sanguin des décédés avec pour but d’améliorer le taux de survie.

Les chercheurs ont identifié ce qui peut être un mécanisme moléculaire clef responsable de la mortalité COVID-19, un enzyme relié aux neurotoxines trouvées dans le venin de crotale (serpent à sonnette).” (Rosemary Brandt)

Le titre de leur article était choquant et il figure toujours sur le site internet de l’université : “Comme du venin coulant dans le corps : des chercheurs identifient le mécanisme moteur de la mortalité de la COVID-19”. La citation de Brandt qui précède est en page 113 et constitue le sous-titre de l’article. (Article publié le 24 août 2021).

L’article ici :

http://www.news.arizona.edu/story/venom-coursing-through-body-researchers-identify-mechanism-driving-covid-19-mortality

Les patients sont décédés d’un enzyme trouvé en grande quantité dans leur sang et qui est communément trouvé dans le venin de crotales. Une fois de plus, voyez-vous quelque chose qui manque ? Dans cet article, une fois de plus, absolument aucune mention d’une quelconque chauve-souris (ou pangolin). La seule relation est avec du venin de serpent !

[…]

Certaines personnes dans le domaine médical ont balayé d’un revers de la main ces trouvailles, leur faisant dire que cette étude ne prouve en rien l’existence de venin de serpent chez les patients COVID-19, mais que c’est un marqueur biologique trouvé de la maladie.

[…]

Les chercheurs de l’université d’Arizona furent très clairs dans leurs trouvailles. Je cite trois déclaration très importantes de l’article :

  • Dans cette étude, nous sommes capables d’identifier des cycles de métabolites qui furent présents chez les individus qui ont succombé à la maladie”, dit l’auteur principal de la recherche Justin Snider, assistant professeur et de recherche à l’université d’Arizona, Faculté de Nutrition. Les métabolites qui ont été révélées ont montré un mauvais fonctionnement énergétique des cellules  et un haut niveau d’enzyme sPLA2-IIA. Le premier était attendu, pas le second.
  • La plupart des individus en bonne santé ont des niveaux de circulation de l’enzyme sPLA2-IIA de l’ordre de 0,5ng (nanogramme) par ml de sang. D’après cette étude, la COVID-19 fut létale dans 63% des cas chez les patients atteints sévèrement et qui ont eu des niveaux de cet enzyme atteignant 10ng/ml.
  • Beaucoup des patients qui moururent de la COVID-19 avaient un des plus hauts niveaux de cet enzyme jamais rapporté”, a dit Chilton, un chercheur et observateur de l’enzyme pendant plus de trois décennies.

Même si vous n’êtes pas du domaine médical, laissez-moi m’assurer que vous comprenez bien les deux dernières citations ci-dessus. Les humains en bonne santé ont typiquement un niveau d’enzyme sPLA2-IIA de 0,5ng/ml dans le sang, mais le sang analysé de ceux qui sont décédés de la COVID-19 ont montré un taux de cet enzyme supérieur à 10ng/ml, c’est à dire plus de 20 fois la norme chez un humain !!

[…]

Aucun médecin n’avait jamais rapporté des taux aussi importants ce cet enzyme chez des humains, malades ou en bonne santé, que ceux trouvés chez les patients décédés de la COVID-19.

[…]

Plutôt que de lire le résumé de l’article, j’ai de fait lu tout l’article de recherche. Il fut surprenant de découvrir que le même enzyme de venin de serpent trouvé chez les décédés COVID, la phospholipase A2 sécrétée, fut en premier lieu découverte dans le venin de cobra royal.

Lien vers l’étude en question : http://www.jci.org/articles/view/149236/pdf

Une protéine de venin de cobra royal, appelée cobratoxine, fut trouvée être une des protéines spike du virus SRAS-CoV-2. Les chercheurs d’Arizona ont découvert dans le sang de patients décédés de la COVID-19 un enzyme de venin de serpent à des niveaux plus de 20 fois la norme et jamais vu auparavant nulle part ailleurs et cet enzyme, ai-je maintenant appris, fut d’abord découvert dans le venin du cobra royal. Vous pouvez l’appeler protéine spike, venin de cobra royal, vous pouvez aussi l’appeler de son nom sPLA2-IIA… Quelque soit le nom que vous lui donniez, c’est du venin de serpent purement et simplement.

[…]

Cela n’a pas d’importance de la façon dont vous pirouettez le narratif. Les gens sont morts de la COVID-19 parce qu’ils avaient des hauts niveaux d’enzymes de venins de serpent circulant dans leurs corps. Ceci fut une envenimation mondiale, point barre. Appelons un chat un chat. Merci à ces chercheurs de l’université d’Arizona pour votre recherche éthique et honnête. Votre contribution et vos efforts à résoudre ce mystère mondial doivent être à l’honneur ! A mon avis, vous méritez un prix Nobel de médecine !

Alors que je recherchais toujours plus au sujet des venins et de la connexion COVID, je suis tombé sur un entretien avec un des fondateurs originaux de l’entreprise Moderna, Derrick Rossi. Regardez le titre de l’article :

Le co-fondateur de Moderna utilise la technologie ARNm pour traiter les morsures de serpents venimeux

Article publié le 6 juillet 2021 par GlobalNews.com qui mentionne que les vaccins contre la COVID-19 furent annoncés et crédités à une entreprise appelée Moderna. Le co-fondateur de Moderna donna de nombreux entretiens. Citations :

Dans un entretien, il mentionna que l’ARNm pouvait avoir plus d’utilité que les vaccins, comme par exemple avec antisera (anti-venin) utilisé pour traiter les morsures de serpents venimeux.

Ce commentaire attira l’attention de scientifiques dans le domaine des morsures de serpents et ceci mena éventuellement Rossi à devenir un conseiller pour une entreprise appelée Ophirex, qui travaille sur une pilule qui pourrait aider à sauver les vies de gens immédiatement après une morsure de serpent.

Évidemment, je me devais d’en savoir plus sur cette entreprise Ophirex dont je n’avais jamais entendu parlé. Comme vous pouvez le voir sur les captures d’écran de ce même site internet (NdT : dans le livre) Derrick Rossi y est nommé à la fois comme conseiller et comme membre du comité directeur d’Ophirex.

[…] J’ai bien sûr aussi voulu savoir qui les finançait ? Comme très souvent, se rendre sur la page “Financement et collaboration” des sites qu’on recherche. Qui sont les investisseurs d’Ophirex pouvez-vous légitimement vous demander. La réponse est sur leur site avec même les logos des investisseurs :

  • Le ministère de la défense américain
  • Le Wellcome Trust (la machine de financement du Forum Economique Mondial, FEM)
  • L’OMS

Et oui, correct… ces trois organisations financent Ophirex pour qu’elle créée un médicament par voie orale contre les empoisonnement par morsures de serpents. Ceci a commencé cinq ans avant que ne soit lancée la pandémie COVID-19 et là je veux bien absolument dire “lancée” dans le sens de volontairement déclenchée…

[…]

Très peu de temps après que j’eus exposé leur site internet et leur recherche dans le documentaire “Watch the Water” et dans mes entretiens avec le Health Ranger (Mike Adams), toute preuve sur leur site internet au sujet d’une recherche sur la COVID-19 fut effacée scrupuleusement. Cette même recherche qui fut si critique pour le ministère de la défense, l’OMS et le Wellcome Trust, qui leur versaient des millions, fut soudain effacée.

[…]

Le médicament d’Ophirex, que notre ministère de la défense, le Wellcome Trust et l’OMS fiançaient depuis 2015, est fait pour désamorcer le “venin sPLA2-IIA, quelque soit son type ou de quoi qu’il ait l’air de l’extérieur.”

[second paragraphe d’une capture d’écran “La bonne molécule pour inhiber SPLA2” p.121]

Dans les modèles animaux défiés par des venins de serpents du monde entier, varespladib a montré une efficacité sans parallèle, sauvant des animaux de doses à 100% ou plus mortelles de venins. Dans notre étude sur les gros animaux (porc), nous avons vu le varespladib renverser de manière répétitive des paralysies induites par venins, restaurer des situation de caillots sanguins et sauver des vies en cela de manière bien plus efficace que les anti-venins standards.

Plus tôt dans ce chapitre, j’ai expliqué que les chercheurs de l’université d’Arizona avaient trouvé le bio-marqueur sanguin responsable de la mort de tous les patients COVID-19 décédés. Ils trouvèrent qu’un enzyme appelé sPLA2-IIA est responsable des résultats sur la santé et la mortalité des gens infectés. De manière surprenante, pendant des années, l’armée américaine et le Wellcome Trust ont financé la recherche pour avoir une solution à ce même enzyme et créer un antidote par voie orale pour la pandémie COVID-19 à venir. Ils avaient investi dans un médicament oral contre les venins de serpents cinq ans avant la dissémination mondiale de protéines de venin de serpent appelées “protéines spike”.

[…]

L’étude S.T.A.I.R.S d’Ophirex a utilisé leur anti-venin par voie orale pour les victimes de morsure de serpents venimeux et a traité avec ce médicament des patients touchés par la COVID-19 et ça a marché !

L’adresse web de l’article :

http://www.web.archive.org/web/20220416080337/

https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04969991

Citation :

Ceci est une étude en deux parties, multi-centrée, ramdomized, double-aveugle, contrôlée par placebo, phase 2 , faite pour évaluer la sécurité, la tolérance et l’efficacité du varespladib oral, en plus de soins standards, sur des patients hospitalisés sévèrement malades de la COVID-19 causée par le SRAS-CoV-2.

[…]

Le British Medical Journal (BMJ) a diffusé cet article en plein milieu de la pandémie (2021)  [NdT capture d’écran en page 123]

Titre : “Morsures de serpents et COVID-19 : deux crises, une recherche et opportunité de développement

Auteurs : Diogo Martins, Julien Potet, Isabela Ribeiro

Laissez-moi vous mettre en lumière le premier point du résumé en bas à gauche :

Malgré des différences inhérentes, l’envenimation par morsure de serpent et la COVID-19 ont beaucoup en commun en termes de recherche et de développement, de défis et d’opportunités.

Le BMJ dévoile les similarités entre la COVID-19 et les morsures de serpents, une fois de plus : absolument aucune mention de chauve-souris !

[..]

D’après le BMJ, les morsures de serpents et la COVID-19 partagent beaucoup de similarités dans la recherche. En recherchant les morsures de serpent, vous vous rendrez vite compte que les symptômes de la COVID-19 en sont la copie conforme, comme dans un miroir et toutes deux partagent la même cause interne de maladie et de mort. Ainsi donc, la recherche sur les deux a effectivement beaucoup en commun. Les patients de COVID et de morsure de serpent ont de venins variés dans leurs corps, du cobra au krait rayé en passant par le crotale et bien d’autres.

[…:

Dans l’article, le BMJ suggère que l’étude des morsures de serpent et la COVID-19 résultera en des résultats de recherche similaires et difficiles, menant à une cure qui résoudra les deux problèmes.

[…]

Avez-vous entendu des médecins dans le monde entier se référer aux vaccins COVID comme étant des “injections à caillots” ? Il est maintenant temps pour moi de vous expliquer tout ce que vous avez besoin de savoir au sujet de la coagulation du sang menant aux caillots comme problème lié à la fois à la COVID-19 et les “vaccins” et les solutions connues.

Nous allons maintenant faire une plongée profonde dans les vaccins COVID-19 et je vais exactement vous montrer ce que je pense cause tous ces caillots de sang létaux rapportés dans le monde.

Chapitre 8 : Houston, on a un problème de caillot !

La FDA a donné une Autorisation en Utilisation d’Urgence (AUU) pour les vaccins COVID-19 fin 2020 et les Américains ont commencé à recevoir les injections le 14 décembre de cette même année. Pendant l’été 2021, un docteur très courageux de Colombie Britannique au Canada a commencé à exprimer de graves préoccupations concernant ses propres patients. Le Dr Charles Hoffe avait remarqué que beaucoup de ses patients se plaignaient de symptômes qui semblaient indiquer beaucoup de coagulation et de caillots internes.

Agissant seul et dans l’intérêt de ses patients, il fit un test sanguin sur touts les personnes vaccinées contre la COVID-19. Les résultats alarmants firent qu’il les rendit public et révéla que 62% de ses patients injectés montraient un haut niveau de marqueurs de caillots d’après les tests entrepris. Il mentionna aussi que les caillots sanguins furent vérifiés par un test sanguin appelé test D-dimer ou test D-dimère en français, test dont je n’avais jamais entendu parler. Qu’est-ce que c’était et comment ces résultats avaient-ils été interprétés ?

Je voulais savoir ce qu’indiquait un test D-dimère élevé et quelles sont les causes de l’augmentation ?

Je contactais donc un couple de cardiologues que je connaissais personnellement et leur demandais au sujet de ce test D-dimère. Ils confessèrent qu’ils durent aussi regarder ce que c’était à cause des trouvailles du Dr Hoffe, ceci ne devait donc pas être un test très courant.

Dans ma recherche, j’ai tapé “comment interpréter des résultats élevés de D-dimère”. […] Je savais que cela était connecté avec la confirmation de caillots sanguins, mais je ne savais pas l’explication de l’industrie médicale et pharmaceutique sur le pourquoi le sang d’un patient produit ces soi-disants D-dimère élevés. Voici l’explication fournie par un article de Medscape publié en 2019 et révisé en 2022 :

“Interprétation : D-dimère est le produit de la dégradation de fibrine inter-connectée…”

Ceci veut dire que le D-dimère est une façon de mesurer les caillots au sein du corps humain qui sont spécifiquement détruits. Il n’y a que deux choses qui puissent détruire, dissoudre des caillots sanguins ;

  • la substance naturelle du corps qui détruit les caillots sanguins appelée plasmine ou
  • Des médicaments prescrits comme l’héparine, le warfarin ou coumadin qui doivent être prescrits par un médecin.

Quoi qu’il en soit, les D-dimères ne sont élevés dans un test sanguin que si le corps par lui-même ou assisté de médicaments, est en train de dissoudre des caillots sanguins. Ce qu’il est important de bien comprendre c’est que le test D-dimère ne vous dit pas ce qui CAUSE les caillots, il ne fait que vous dire qu’il y a un ou des caillots quelque part dans le corps, qui sont en cours de dissolution.

L’article de Medscape fournissait 5 utilités pour lesquelles le test aurait un résultat élevé. Les quatre premières raisons étaient :

  • évaluer la formation de thrombose (caillots)
  • écarter la possibilité de Thrombose Veineuse Profonde (TVP)
  • évaluer les traitements anti-coagulant
  • évaluer la Coagulation Disséminée Intramusculaire (CDI)

[…]

La réalité des patients du Dr Hoffe est qu’ils ne devraient pas avoir de D-dimère élevé puisqu’aucun n’était sous prescription médicale. C’est de cela qu’il devait avertir le monde au sujet des vaccins ARNm. La plasmine naturelle de ses patients étaient occupée à dissoudre des caillots qui se sont formés APRÈS avoir reçu les injections COVID-19. Les quatre premiers points couvraient une évaluation de prescription médicale.

Mais il y avait un cinquième point !

Ce dernier point (NdT : capture d’écran p.130) indiquait ceci : empoisonnement par venin de serpent.

Combien de médecins savent-ils que lorsque les résultats de labo de vos patients donnent un taux élevé de D-dimère, ils sont supposés cherché un empoisonnement par veni de serpent ? Et quelles sont les chances que 62% des patients du Dr Hoffe aient été mordus par un serpent après avoir été injectés contre la COVID-19 ? Pas besoin de faire les calculs… 0% de chance.

En analysant l’entretien du Dr Hoffe, j’ai rapidement découvert qu’il avait administré à ses patients le vaccin Moderna contre la COVID-19. Si Medscape nous disait de penser à une envenimation par serpent, c’est ce que j’ai fait. Afin de savoir su du venin de serpent pouvait être responsable de ces tests D-dimère élevés trouvés chez les injectés COVID, je devais d’abord savoir qui fabriquait ces vaccins pour que je puisse me plonger dans leurs études de recherche. Je me suis dit qu’ils me diraient ce qu’ils mettaient dans leurs injections. Temps de savoir qui créait les injections COVID-19 de Moderna !

Plusieurs articles mentionnaient les noms des deux scientifiques de l’université de Pennsylvanie qui en étaient les créateurs. Je n’avais jamais entendu parler d’eux. Les deux scientifiques qui ont inventé les injections anti-COVID-19 à ARNm (ARN messager) étaient Katalin Kariko et Andrew Weissman. Ils reçurent le prix Nobel de médecine pour cela en octobre 2023. Leur technologie ARNm fut utilisée pour fabriquer les injections de Moderna et de Pfizer contre la COVID-19.

Bon, la question suivante vient à l’esprit : ont-ils publié des recherches de développement de la technologie ARNm contenant quelque mention que ce soit concernant le venin de serpent ?

Une des premières études sur laquelle je tombais fut : “Les modifications de nucléoside dans l’ARN limitent l’activation de 2-5-oligoadenylate synthétase et augmente la résistance au clivage par NRase L” , août 2011

Auteurs : Bart R. Anderson, Hiromi Muramatsu, babal K. Jha, Robert H. Silverman, Drew Weissman, Katalin Kariko

Je ne devais pas chercher bien loin, dans cette étude, ils expliquaient leur méthode pour fabriquer la technologie ARNm-COVID (NdT : capture d’écran de l’article p.132)

NdT : un passage lit comme suit en anglais : “… was cleaved efficiently by RNase A, RNase H, RNase T1, RNase T2, nuclease P1 and snake venom phosphodiesterase although there is some indication….

Voilà, en pleine vue, les mots très clairs : venin de serpent. Les deux scientifiques lauréats du prix Nobel avaient des composants de venin de serpent listés dans chaque article de recherche entre 2009 et 2020, dans leurs injections. Et qui finançait ces recherches pour faire ces injections de modification génétique à ARNm, qui, je le savais maintenant, pourraient bien contenir de la phosphodiesterase, venin de serpent ?

Le NIH avait financé la recherche de Drew Weissman et de Katalin Kariko, comme décrit dans la section “financement” de la recherche (NdT : capture d’écran en p.132)

[…]

Question : quel est l’effet de la phosphodiesterase du venin de serpent dans le corps humain ? J’ai du aussi faire une recherche là dessus pour voir si cela pouvait aider à expliquer ce qui était maintenant rapporté dans le monde entier : les caillots sanguins dus aux injections COVID-19.

Une publication de 2018 : “Les phosphodieserases de venins de serpents : applications thérapeutiques

Citation depuis la capture d’écran (p.134) :

Les phosphodiesterases de venins de serpents ont plusieurs rôles… incluant l’agglomération des plaquettes sanguines (formation de caillots), qui peuvent mener à la mort par arrêt cardiaque débilitant et AVC.

Ce composant de venins de serpents, prouvé par la science causer une coagulation du sang et donc des caillots internes, est aussi listé dans chaque article de recherche des inventeurs des vaccins anti-COVID-19 à ARNm. Rappelez-vous : des D-dimères élevées peuvent être la preuve d’un empoisonnement par venin de serpent.

Mon boulot suivant fut de voir si je pouvais identifier des fabricants de phosphodiesterase de venin de serpent. Ma recherche me mena à une entreprise appelée Innovative Research, qui soit fabrique synthétiquement soit collecte physiquement les venins de serpents.

L’entreprise dit sur son site internet que la phosphodiesterase de venin qu’elle vend provient de crotales (serpents à sonnette). Sur leur page de produit, ils disent qu’il y a quatre choses connues qui détruisent la toxicité de la phoshodiesterase de venin de serpent qu’ils vendent : le glutathione, NAC, la vitamine C et l’EDTA. Ceci est un grand espoir pour les injectés du monde qui souffrent de caillots sanguins. Ces quatre substances pourraient être la solution pour tous ceux qui luttent contre les caillots sanguins depuis leurs injections COVID…

[…]

Il y a aussi une déclaration dans la description de leur produit que je me dois aussi de partager, voici ce qu’elle dit :

“L’enzyme (de venin) requiert du Mg2+ (magnésium)”.

Pour que cet enzyme de venin soit toxique dans le corps humain, il a besoin de magnésium ! Donc si vous avez été injecté contre la COVID-19 et que vous prenez des suppléments de magnésium, vous pouvez empirer vos symptômes ! De fait, certains patients ont déclaré que leurs douleurs de poitrine, leurs essoufflements, arythmies cardiaques et symptômes cardiaques se sont intensifiés en prenant des suppléments de magnésium. Je conseille un arrêt total des suppléments au magnésium pendant trois mois, le temps de votre détoxication, récupération.

[…]

Notez que le magnésium est un élément clef pour la santé et que bon nombre de personnes en sont déficientes.

[…]

A suivre…

Lire notre page mise à jour depuis 2019 : « Coronavirus, guerre contre l’humanité »

« Le véritable Anthony Fauci, Big Pharma, Bill Gates et la guerre globale contre la santé publique et la démocratie », RFK Jr, traduction R71

« SRAS-CoV-2, COVID-19 et injections ARNm, la guerre nano-biotechnologique contre l’humanité depuis 2019 », Karen Kingston, traduction R71

This entry was posted on 18 juin 2025 at 4:05 and is filed under 3eme guerre mondiale, actualité, coronavirus CoV19, documentaire, guerres hégémoniques, média et propagande, militantisme alternatif, neoliberalisme et fascisme, politique et lobbyisme, politique et social, santé, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , . You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0 feed. You can leave a response, or trackback from your own site.

read-entire-article

         

        

NE LAISSER PAS LE 5G DETRUIRE VOTRE ADN  

Protéger toute votre famille avec les appareils Quantiques Orgo-Life®

  Publicité par Adpathway