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Technologie et cerveau : l’avis du public révélé

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PARIS – 7 mai 2024 – Une nouvelle étude explore les opinions du public américain envers les 5 W des neurotechnologies, révélant des inquiétudes et des préférences. Qui perçoit comment les neurotechnologies ? Où est menée cette étude ? Quand évalue-t-on ces technologies ? Quoi concerne-t-il les interventions et pourquoi ces résultats sont-ils cruciaux ? Ces recherches, d’après une source fiable, mettent en lumière des informations importantes sur l’acceptabilité des différentes interventions, tout en offrant une outlook éclairée pour les patients et les professionnels de la santé, alors plongez-vous dans les détails de cette analyse passionnante.

Une nouvelle étude explore les attitudes du public américain envers les neurotechnologies ciblant les troubles de l’humeur, de la mémoire et de la motricité.

Comprendre les perceptions des neurotechnologies

Avec l’augmentation des affections cérébrales et le développement croissant des neurotechnologies, il est crucial de comprendre comment le public perçoit ces interventions et s’il serait disposé à les utiliser. Une étude récente menée auprès de plus de 1 000 adultes américains s’est penchée sur cette question, en examinant les perceptions de quatre neurotechnologies différentes.

Les neurotechnologies à l’étude

L’étude a comparé directement quatre neurotechnologies :

  • Stimulation cérébrale profonde (SCP) : Une intervention chirurgicale impliquant l’implantation d’électrodes dans le cerveau.
  • Ultrasons focalisés guidés par IRM (MRgFUS) : Un traitement non invasif utilisant des ondes sonores à haute fréquence pour cibler les tissus cérébraux.
  • stimulation magnétique transcrânienne (TMS) : Une procédure non chirurgicale utilisant des impulsions magnétiques pour stimuler les cellules nerveuses.
  • Pilules : Médicaments traditionnels.

L’étude a également varié les symptômes ciblés par ces technologies (humeur, mémoire ou motricité) pour évaluer l’influence du type de symptôme sur les perceptions du public.

Ce qui a été mesuré

Pour chaque neurotechnologie, les participants ont évalué :

  • Le niveau de bénéfice perçu.
  • L’acceptabilité.
  • Le niveau de risque perçu.
  • Le potentiel de changement de la personnalité.
  • La probabilité d’envisager l’utilisation en cas de symptômes.

Principales découvertes

L’étude a révélé plusieurs points clés :

  • La familiarité avec les neurotechnologies était généralement faible, à l’exception des pilules.
  • Il y avait une certaine ouverture à les envisager en cas de symptômes graves.
  • La probabilité d’utilisation variait considérablement : 61% pour les pilules, 41% pour la TMS, 29% pour le MRgFUS et 21% pour la SCP.
  • Les pilules étaient considérées comme les plus bénéfiques, acceptables et susceptibles d’être utilisées.
  • La SCP était perçue comme la deuxième plus bénéfique, mais aussi la plus risquée, invasive et la moins susceptible d’être utilisée.

Le saviez-vous ? Même si une intervention est perçue comme potentiellement bénéfique, les préoccupations concernant l’invasivité et le changement de la personnalité peuvent entraîner une hésitation.

L’étude a également mis en évidence l’impact significatif du type de symptôme sur les perceptions. Les participants considéraient la modulation pour les symptômes moteurs comme significativement plus acceptable et bénéfique que celles pour les symptômes de l’humeur, qui étaient également considérées comme plus invasives et plus susceptibles de changer qui quelqu’un est.

Implications des résultats

Ces résultats offrent des informations précieuses pour :

  • Comprendre les facteurs qui influencent les attitudes du public envers les neurotechnologies.
  • Orienter la interaction et la mise en œuvre éthique des neurotechnologies.
  • Informer les développeurs de dispositifs sur les formes de neuromodulation les plus acceptables.
  • Aider les cliniciens à mieux communiquer sur les risques et les avantages des interventions disponibles.

Prochaines étapes

les recherches futures se concentreront sur l’analyze des interrelations entre les perceptions de risque,de bénéfice et d’acceptabilité,et sur leur impact combiné sur l’ouverture à l’utilisation des neurotechnologies. L’objectif est de soutenir le développement éthique et la communication de neurotechnologies qui répondent mieux aux valeurs et aux besoins des patients.

FAQ sur les neurotechnologies et l’opinion publique

Qu’est-ce que la stimulation cérébrale profonde (SCP) ? La SCP est une intervention chirurgicale où des électrodes sont implantées dans le cerveau pour traiter certains troubles neurologiques et psychiatriques. Les ultrasons focalisés guidés par IRM (MRgFUS) sont-ils invasifs ? Non, le MRgFUS est un traitement non invasif qui utilise des ondes sonores pour cibler les tissus cérébraux sans incision. La stimulation magnétique transcrânienne (TMS) est-elle douloureuse ? La TMS est généralement indolore, bien que certaines personnes puissent ressentir un léger inconfort ou des contractions musculaires pendant la procédure. Pourquoi les pilules sont-elles plus acceptables que les autres neurotechnologies ? Les pilules sont généralement plus familières et moins perçues comme invasives ou risquées par le public. Comment le type de symptôme affecte-t-il la perception des neurotechnologies ? Les interventions pour les symptômes moteurs sont souvent perçues comme plus acceptables que celles pour les symptômes de l’humeur, reflétant des croyances sur les maladies mentales et physiques.

Question pour les lecteurs : Seriez-vous prêt à envisager une neurotechnologie pour traiter un trouble de l’humeur, de la mémoire ou de la motricité ? Pourquoi ou pourquoi pas ?

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