En juin 2025, une affaire bouleversante secoue l’israël suite à des témoignages à la Knesset. Des survivantes, comme Yael Ariel, dénoncent des abus sexuels rituels dans des communautés religieuses de haredim. Elles décrivent des actes atroces perpétrés dès l’enfance sous couvert de cérémonies religieuses sacrées dirigées par des rabbins. Ainsi, les auditions révèlent un réseau impliquant rabbins, médecins et même politiciens.

Par ailleurs, ces révélations mettent en lumière une culture de silence oppressante. Les victimes subissent des pressions pour taire leurs souffrances, souvent sous menace depuis des décennies. Cependant leur courage brise ce tabou, poussant les autorités à agir (rien n’est moins certain…). En conséquence, des enquêtes s’ouvrent pour identifier les coupables présumés après des décennies de chape de plomb avec la complicité des autorité policières et judiciaires.

Il est question d’abus sexuels, incluant viols et tortures, dès l’âge de trois à cinq ans, d’une grande violence sadique. On parle également de sacrifices d’animaux dans des endroits sombres (caves, forêts…) et de cérémonies avec ingestion de sang menstruel…

L’affaire soulève des questions sur la protection des enfants. Les communautés ultra-orthodoxes, très fermées, compliquent les signalements d’abus. Pourtant les survivantes exigent des réformes pour protéger les plus vulnérables, des débats émergent sur le rôle des institutions religieuses. En outre, les allégations incluent des figures influentes comme des membres passés ou actuels de la Knesset.

Ces actes sont connus depuis longtemps dans la communauté délirante sabbataïste. Il s’agit du fameux concept de la rédemption par le péché et la souillure popularisé par le psychopathe de Sabbataï Tzevi. C’est une mise en pratique de la kabbale lourianique déviée qui n’est rien d’autre que du pur satanisme destructeur. Sous couvert de mystique du secret de la création, ces malades mentaux violent leurs propres enfants et commettent des monstruosités difficilement concevables par le cerveau humain.

On se demande du coup quel est le véritable ennemi de la société israélienne : l’Iran et les musulmans ou bien elle-même. À ce niveau de violence et de sauvagerie envers ses propres enfants, personne ne peut les dépasser. On comprend également le pourquoi de la violence extrême de cette société militarisée qui manque tellement d’empathie, comme tout le monde l’a constaté avec le génocide à Gaza. Il est extrêmement important de comprendre la gravité de cette affaire afin de saisir les événements actuels.