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Retraite à 67 ans ? Jusqu’où ira le foutage de gueule ?

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🔥 Les essentiels de cette actualité

  • La réforme des retraites pourrait porter l’âge de départ à 67 ans, suscitant une vague d’indignation parmi les travailleurs. Découvrez les réactions et les arguments des opposants.
  • Les syndicats dénoncent un foutage de gueule généralisé face à cette mesure. Plongez dans les détails de leurs critiques et les alternatives proposées.
  • Les impacts économiques et sociaux de cette réforme sont au cœur des débats. Lisez notre analyse pour comprendre les enjeux et les perspectives d’avenir.

On y est presque. Après le passage en force de la retraite à 64 ans, voilà qu’on murmure déjà dans les couloirs feutrés de Bercy et de Bruxelles : « Il faudra aller plus loin ». Et par « plus loin », comprends travailler plus, encore plus longtemps, jusqu’à 67 ans.

Ce n’est pas un scénario. C’est le plan. Et c’est en train de se mettre en place, morceau par morceau, discrètement. Comme d’habitude.

Le hold-up continue

On nous avait vendu la réforme des retraites comme une nécessité “pour sauver le système”. Traduction : on vous prend 3 années de vie en plus au boulot, en échange de… rien. Ni revalorisation massive des pensions, ni égalité de traitement, ni prise en compte réelle de la pénibilité. Juste un “effort” unilatéral. Et ça, c’était à 64 ans.

Mais voilà, comme prévu, ça ne suffit pas. Les caisses sont toujours vides, la démographie toujours déséquilibrée, et les gouvernants toujours incapables de faire des économies ailleurs. Alors ils se tournent vers la variable d’ajustement habituelle : toi. Ton temps. Ton dos. Ta santé.

L’arnaque du “vivre plus longtemps”

Leur argument massue, on le connaît : “On vit plus longtemps, donc il faut travailler plus longtemps.” C’est la formule magique qu’on ressort à chaque réforme. Sauf que c’est totalement malhonnête.

Oui, l’espérance de vie a augmenté. Mais l’espérance de vie en bonne santé, elle, stagne, voire recule. Et les inégalités explosent : un cadre peut bosser jusqu’à 67 ans. Un ouvrier ? Il est déjà cassé à 58.

Et puis, vivre plus longtemps ne veut pas dire subir plus longtemps. Le but d’une société avancée, ce n’est pas de nous presser comme des citrons jusqu’à la dernière goutte, mais de permettre à chacun de partir dignement, avec une pension décente, à un âge qui respecte le corps et le parcours de chacun.

Une vision comptable, pas humaine

Dans la logique de nos élites, la retraite n’est plus un droit conquis, mais un luxe qu’il faut mériter. Et bientôt, ce sera un luxe réservé à ceux qui auront survécu au système.

Les chiffres priment sur les humains. On gère ça comme un tableau Excel : +3 ans ici, -10 % là, pas grave si ça détruit des vies au passage. Il faut rassurer les marchés, Bruxelles, les agences de notation. Pas toi.

Et ce n’est pas une lubie française. C’est un mouvement européen. En Allemagne, en Italie, partout, la norme glisse doucement vers les 67 ans. Et devine quoi ? Les mêmes qui imposent ça partent en retraite dorée à 60 ans avec des régimes spéciaux. Encore et toujours la règle pour les pauvres, l’exception pour les puissants.

Ce qu’on prépare, c’est une société de survie

On nous promet un monde où on bosse jusqu’à 67 ans, souvent mal payé, usé, sans garantie de rester employable jusqu’au bout. Et une fois la retraite obtenue, quelques années à peine à vivre avant de claquer. Super programme, non ?

C’est ça, leur avenir : bosser, cotiser, crever. Le rêve européen version austérité.

Mais qu’on se le dise : les Français ne sont pas dupes. Ils ont massivement rejeté la réforme à 64 ans, et ils rejetteront celle-là avec encore plus de rage. Parce qu’il y a une limite à l’humiliation. Et cette limite, elle approche.


Conclusion : Travailler jusqu’à 67 ans ? Non. Résister dès maintenant ? Oui.

La retraite à 67 ans n’est ni une fatalité, ni une nécessité économique. C’est un choix politique, dicté par ceux qui ne subiront jamais ce qu’ils imposent.

Si on ne les arrête pas, ils iront jusqu’au bout. Il ne faut plus négocier avec ces gens-là. Il faut les délégitimer, les démasquer, et surtout, les remplacer.

Parce que vivre, ce n’est pas juste bosser jusqu’à l’épuisement.

C’est aussi avoir le droit de s’arrêter. Avant qu’il soit trop tard.

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