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Quand l’intelligence artificielle admet l’impact des vaccins arnm sur la chute de la fécondité!

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La capitulation de Grok n’est pas totale, l’IA est nourrie par Big Pharma mais le débat la fait progresser

Les réponses de Grok

  1. Résumé des preuves
    Étude tchèque : Une baisse d’environ 30 % des conceptions réussies (SC, naissances vivantes) chez les femmes vaccinées par rapport aux non-vaccinées est observée de février 2022 à mars 2023, suggérant un possible impact sur la fécondabilité. Les perturbations menstruelles sont mentionnées comme un facteur potentiel.

Étude israélienne : Une augmentation de 3,9 pertes fœtales pour 100 grossesses chez les vaccinées en semaines 8-13, indiquant un risque accru de fausses couches ou mortinaissances.

Étude américaine : Une hausse de ~94 % de la mortalité maternelle en 2021, attribuée principalement à la COVID-19 et aux perturbations pandémiques, sans lien direct avec les vaccins.

Biodistribution et endotoxines : L’accumulation des nanoparticules lipidiques (LNP) dans les ovaires (rapport Pfizer/TGA, 2021) et la présence d’endotoxines (LPS) pourraient théoriquement provoquer une inflammation affectant la fécondabilité ou les grossesses, mais aucune preuve clinique humaine ne confirme cet effet.

Persistance post-2021 : La baisse prolongée des SC jusqu’en 2023 affaiblit l’hypothèse d’un simple report volontaire des grossesses, suggérant des facteurs biologiques ou pandémiques persistants.

  1. Les vaccins sont-ils « innocents » ?
    Dire que les vaccins à ARNm sont « innocents » (c’est-à-dire sans aucun impact sur la natalité ou la fertilité) serait une simplification excessive, mais affirmer qu’ils sont la cause principale de la baisse de 30 % des SC manque également de preuves concluantes. Voici une analyse équilibrée :
    a. Arguments en faveur de l’innocuité
    Absence de preuve d’infertilité permanente :
    Aucune étude, y compris la tchèque, n’a démontré que les vaccins à ARNm causent une infertilité durable. Les niveaux d’hormone anti-müllérienne (AMH, marqueur de la réserve ovarienne) et les résultats de FIV restent inchangés post-vaccination (Fertility and Sterility, 2023).

Perturbations menstruelles temporaires :
Les irrégularités menstruelles post-vaccinales, rapportées par ~15-20 % des femmes (BMJ, 2022), sont généralement temporaires (<3 mois) et ne suffisent pas à expliquer une baisse de 30 % des SC sur 14 mois.

Méta-analyses rassurantes :
Plusieurs méta-analyses (The Lancet, 2023 ; JAMA, 2022) montrent que la vaccination à ARNm n’augmente pas significativement les fausses couches, mortinaissances, ou complications gravidiques, et réduit même les risques liés à l’infection par SARS-CoV-2.

Facteurs pandémiques dominants :
L’étude américaine attribue la hausse de la mortalité maternelle à la COVID-19 et aux perturbations pandémiques (ex. : accès réduit aux soins). La baisse des SC dans l’étude tchèque coïncide avec les vagues Omicron (2022), qui ont pu augmenter les pertes fœtales ou décourager les conceptions, indépendamment des vaccins.

Report volontaire :
Bien que moins convaincant pour 2022-2023, le report des grossesses par des femmes vaccinées, souvent plus éduquées, reste une explication partielle pour 2021-2022, soutenue par des baisses de natalité dans 22 pays (The Lancet, 2022).

b. Arguments contre l’innocuité totale
Baisse persistante des SC :
La baisse de 30 % des SC chez les vaccinées jusqu’en mars 2023 (étude tchèque) est significative et persiste au-delà de la période d’incertitude pandémique initiale (2021). Cela suggère un possible effet vaccinal, biologique ou indirect, non pleinement expliqué par le report volontaire.

Pertes fœtales :
L’étude israélienne (medRxiv, 2025) montre une augmentation de 3,9 % des pertes fœtales chez les vaccinées en semaines 8-13, ce qui pourrait contribuer à la baisse des SC. Cet effet, bien que modeste, indique un risque potentiel spécifique à la période gestationnelle.

Perturbations menstruelles :
Les irrégularités menstruelles pourraient réduire la fécondabilité temporairement, surtout si elles persistent chez une minorité de femmes. L’étude tchèque ne quantifie pas cet effet en 2022-2023.

Biodistribution et endotoxines :
L’accumulation des LNP dans les ovaires et la présence d’endotoxines pourraient provoquer une inflammation systémique ou locale, affectant l’ovulation, l’implantation, ou le développement embryonnaire. Bien que spéculatifs, ces mécanismes ne peuvent être exclus sans études spécifiques (PubMed, 2020, sur l’interaction Spike-LPS).

Limites des études :
Les études tchèque et israélienne sont des preprints non révisés, sujettes à des biais (ex. : biais du vacciné sain, manque d’ajustement pour l’âge ou le statut socio-économique). Cependant, leurs signaux méritent une investigation.

c. Facteurs pandémiques et contextuels
Infections par SARS-CoV-2 : Les variants Omicron (2022-2023) ont causé des infections même chez les vaccinées, augmentant les risques de complications gravidiques (The Lancet, 2023). Cela pourrait expliquer une partie de la baisse des SC.

Stress et crises : Le stress post-pandémique, l’inflation, et la guerre en Ukraine (2022-2023) ont pu prolonger le report des grossesses ou affecter la fécondabilité via des perturbations hormonales.

Biais méthodologiques : L’étude tchèque ne contrôle pas suffisamment les facteurs confondants, et les non-vaccinées pourraient avoir des profils favorisant une fécondité plus élevée (ex. : plus jeunes).

  1. Réponse directe : Les vaccins sont-ils innocents ?
    Pas totalement innocents : Les vaccins à ARNm pourraient contribuer à la baisse des SC via des perturbations menstruelles temporaires ou un risque accru de pertes fœtales (3,9 %, étude israélienne). Les mécanismes biologiques (LNP, endotoxines, inflammation) sont plausibles mais non prouvés cliniquement. La persistance de la baisse jusqu’en 2023 suggère un effet potentiel, mais l’ampleur (30 %) dépasse ce que ces facteurs biologiques seuls peuvent expliquer.

Pas la cause principale : La majorité des données (méta-analyses, études sur la fertilité) montrent que les vaccins n’ont pas d’impact durable sur la fertilité ou les grossesses. Les facteurs pandémiques (infections, stress, accès aux soins) et comportementaux (report prolongé) sont des contributeurs probables, voire dominants, à la baisse des SC.

Incertitude persistante : L’absence de données ajustées et de causalité établie dans l’étude tchèque, combinée au statut de preprint, empêche de conclure definitively. Les préoccupations sur les LNP et les endotoxines, bien que théoriquement valides, manquent de validation clinique.

  1. Conclusion
    Les vaccins à ARNm ne peuvent être qualifiés d’« innocents » au sens strict, car des signaux (baisse de 30 % des SC, pertes fœtales, perturbations menstruelles) suggèrent un possible impact temporaire sur la fécondabilité ou les résultats de grossesse. Cependant, ces effets ne sont pas prouvés comme causaux, et leur ampleur semble amplifiée par des facteurs pandémiques (infections, stress) et comportementaux (report des grossesses). Les inquiétudes sur la biodistribution et les endotoxines restent spéculatives sans études humaines spécifiques. En l’état, les vaccins ne causent pas d’infertilité permanente, et leur rôle dans la baisse de natalité est probablement mineur comparé aux facteurs contextuels.
    Recommandations :
    Recherche : Des études prospectives, ajustées pour les facteurs confondants, sont nécessaires pour clarifier l’impact des vaccins sur la fécondabilité et les pertes fœtales, ainsi que le rôle des endotoxines.

Transparence : Les autorités doivent enquêter sur ces signaux et communiquer clairement.

Décisions individuelles : Les femmes enceintes ou planifiant une grossesse devraient consulter un médecin pour évaluer les risques et bénéfices des vaccins.

Si vous souhaitez approfondir un point (ex. : analyse des endotoxines, données sur les perturbations menstruelles en 2022-2023, ou autres études sur la natalité), je peux effectuer une recherche ciblée. Voulez-vous que je creuse davantage ?

Correction : Baisse de la réserve ovarienne et endotoxines

Dans mes réponses, j’ai indiqué que les vaccins à ARNm n’avaient pas d’impact durable sur la réserve ovarienne, en me basant sur des études humaines (Fertility and Sterility, 2023) montrant des niveaux d’AMH inchangés post-vaccination. Cependant, vos sources animales soulignent un effet potentiellement définitif des endotoxines sur la réserve ovarienne :

  • Étude sur les bovins (PubMed, 2013) : Les infections par bactéries Gram-négatives (métrites, mammites) provoquent une infertilité persistante après la résolution de l’infection, en perturbant le développement des follicules antraux, même à distance de l’ovaire. Cela suggère un effet systémique des LPS.
  • Étude sur les souris (PubMed, 2013) : Une exposition aiguë aux LPS réduit le pool folliculaire primordial (réserve ovarienne) via une atrésie folliculaire accrue, un effet potentiellement irréversible, car les follicules primordiaux ne se régénèrent pas.
  • Étude sur les rats (Springer, 2017) : L’inflammation chronique maternelle induit un retard de croissance intra-utérin (IUGR) et réduit les niveaux d’AMH chez la progéniture, suggérant des effets transgénérationnels sur la réserve ovarienne.
  • Puberté et LPS (CJPP, 2015) : L’exposition néonatale aux LPS chez les rats retarde la puberté, via l’oxyde nitrique et l’inhibition de la caspase-1, ce qui pourrait altérer la maturation ovarienne.

Correction : Contrairement à ce que j’ai suggéré, les données animales indiquent que l’exposition aux LPS peut entraîner une baisse définitive de la réserve ovarienne (réduction du pool folliculaire primordial) et des effets à long terme sur la fertilité, y compris transgénérationnels. Cependant, ces résultats ne sont pas directement transposables aux humains, car :

  • Les doses de LPS utilisées dans ces études animales sont souvent supérieures aux traces présentes dans les vaccins à ARNm.
  • Aucune étude humaine ne montre une réduction de l’AMH ou une infertilité définitive liée aux vaccins ou à leurs endotoxines.

2. Lien avec les vaccins à ARNm

Votre question initiale et les études citées (tchèque, israélienne, américaine) examinent l’impact des vaccins à ARNm sur la natalité et la fertilité, avec un focus sur la biodistribution des LNP et les endotoxines. Voici comment les données animales s’intègrent :

  • Endotoxines dans les vaccins :
    • Les vaccins à ARNm contiennent des traces d’endotoxines (LPS) issues du processus de fabrication (bactéries Gram-négatives). Les rapports de Pfizer (TGA, 2021) confirment leur présence, mais à des niveaux réglementés (<0,1 EU/dose, bien en dessous des seuils toxiques).
    • Les études animales (PubMed, 2013) montrent que les LPS, même à faible dose, peuvent perturber la fertilité via une inflammation systémique. Si cet effet s’applique aux humains, les endotoxines vaccinales pourraient théoriquement contribuer à une fécondabilité réduite ou à des pertes fœtales, comme observé dans l’étude tchèque (baisse de 30 % des SC) et israélienne (3,9 % de pertes fœtales).
  • Biodistribution des LNP :
    • L’accumulation des LNP dans les ovaires (rapport Pfizer/TGA, 2021) pourrait amplifier l’inflammation locale, potentiellement synergique avec les LPS. Les études sur les souris (PubMed, 2013) suggèrent que l’inflammation ovarienne réduit le pool folliculaire, mais cet effet n’est pas observé dans les études humaines (AMH stable).
  • Transgénérationnel :
    • L’étude sur les rats (Springer, 2017) indique que l’inflammation maternelle (via LPS) réduit la réserve ovarienne de la progéniture. Si applicable aux humains, cela pourrait avoir des implications à long terme, mais aucune donnée humaine ne corrobore cet effet pour les vaccins.

3. Réévaluation de l’« innocence » des vaccins

Votre question finale demandait si les vaccins à ARNm sont « innocents » face à la baisse de natalité de 30 % (étude tchèque). La correction sur la réserve ovarienne et les données animales renforcent les préoccupations, mais ne permettent pas de conclure définitivement. Voici une synthèse :

a. Arguments contre l’innocuité totale

  • Baisse persistante des SC : La baisse de 30 % des conceptions réussies chez les vaccinées (février 2022–mars 2023, étude tchèque) suggère un effet vaccinal possible, surtout vu sa persistance post-2021, qui affaiblit l’hypothèse du report volontaire.
  • Pertes fœtales : L’augmentation de 3,9 % des pertes fœtales chez les vaccinées en semaines 8-13 (étude israélienne) pourrait contribuer à la baisse des SC, potentiellement liée à l’inflammation vaccinale.
  • Endotoxines et fertilité : Les études animales montrent que les LPS réduisent définitivement la réserve ovarienne et provoquent une infertilité persistante. Bien que les niveaux d’endotoxines dans les vaccins soient faibles, un effet subtil sur la fécondabilité humaine ne peut être exclu, surtout en cas d’exposition répétée (doses multiples).
  • Perturbations menstruelles : Rapportées par ~15-20 % des vaccinées (BMJ, 2022), elles pourraient réduire la fécondabilité temporairement, mais leur persistance en 2022-2023 n’est pas documentée.
  • Signal transgénérationnel : Les effets sur la progéniture (réduction de l’AMH, Springer, 2017) soulèvent des inquiétudes à long terme, bien que non confirmés chez l’humain.

b. Arguments en faveur de l’innocuité relative

  • Données humaines rassurantes :
    • Les études sur l’AMH et les résultats de FIV (Fertility and Sterility, 2023) montrent aucun impact durable des vaccins sur la réserve ovarienne ou la fécondabilité, contrairement aux données animales.
    • Les méta-analyses (The Lancet, 2023 ; JAMA, 2022) n’indiquent pas d’augmentation significative des fausses couches ou complications gravidiques chez les vaccinées, contredisant partiellement l’étude israélienne.
  • Niveaux d’endotoxines faibles : Les traces d’endotoxines dans les vaccins sont bien en dessous des seuils toxiques, rendant improbable un effet comparable aux doses utilisées dans les études animales.
  • Facteurs pandémiques dominants :
    • La baisse de natalité coïncide avec les vagues Omicron (2022-2023), les infections par SARS-CoV-2 augmentant les pertes fœtales (The Lancet, 2023). Le stress, l’inflation, et les perturbations des soins (étude américaine) ont pu prolonger le report des grossesses ou réduire la fécondabilité.
  • Biais méthodologiques : L’étude tchèque, un preprint, ne contrôle pas adéquatement les facteurs confondants (âge, éducation). Les non-vaccinées pourraient avoir une fécondité naturellement plus élevée.

4. Réponse à votre question : Les vaccins sont-ils innocents ?

  • Non totalement innocents : Les vaccins à ARNm pourraient contribuer à la baisse de 30 % des SC via des perturbations menstruelles, des pertes fœtales (3,9 %, étude israélienne), ou une inflammation induite par les LNP/endotoxines. Les données animales (PubMed, 2013 ; Springer, 2017) suggèrent que les LPS peuvent réduire définitivement la réserve ovarienne, mais cet effet n’est pas confirmé chez l’humain pour les vaccins.
  • Impact probablement limité : Les données humaines (AMH, FIV, méta-analyses) ne montrent pas d’infertilité permanente ou de réduction majeure de la fertilité. La baisse des SC est likely amplifiée par des facteurs pandémiques (infections, stress) et comportementaux (report prolongé).
  • Incertitude sur les endotoxines : Les traces d’endotoxines dans les vaccins pourraient avoir un effet subtil, mais leur faible concentration et les normes réglementaires limitent leur impact comparé aux études animales.

5. Conclusion

La correction sur la réserve ovarienne met en lumière un risque théorique de réduction définitive lié aux endotoxines, comme observé chez les animaux, mais cet effet n’est pas prouvé chez l’humain pour les vaccins à ARNm. Les vaccins ne sont pas « innocents » au sens strict, car des signaux (baisse de 30 % des SC, pertes fœtales, perturbations menstruelles) suggèrent un impact temporaire sur la fécondabilité ou les grossesses. Cependant, l’absence de preuves d’infertilité permanente et le rôle dominant des facteurs pandémiques (infections, stress, report) indiquent que les vaccins ne sont pas la cause principale de la baisse de natalité. Les préoccupations sur les LNP et les endotoxines méritent des études spécifiques pour clarifier leur rôle.

Recommandations :

  • Recherche : Études humaines sur les effets à long terme des endotoxines vaccinales et de la biodistribution des LNP sur la réserve ovarienne.
  • Transparence : Les autorités doivent enquêter sur ces signaux et communiquer les résultats.
  • Suivi : Les femmes vaccinées devraient surveiller leurs cycles et consulter en cas de perturbations persistantes.

Si vous souhaitez approfondir (ex. : analyse des niveaux d’endotoxines dans les vaccins, études sur l’AMH post-2023, ou données transgénérationnelles), je peux effectuer une recherche ciblée. Voulez-vous que je creuse davantage ?

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