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Quand l’Assemblée veut encadrer les faits divers pour contrer la “panique morale” sur l’immigration

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🔥 Les essentiels de cette actualité

  • Découvrez comment l’Assemblée nationale cherche à encadrer les faits divers pour lutter contre la panique morale liée à l’immigration. Une initiative qui pourrait changer la donne.
  • Apprenez quelles mesures sont proposées pour modifier la couverture médiatique et réduire les préjugés. Des solutions concrètes à explorer.
  • Comprenez l’impact de ces nouvelles règles sur la perception publique et l’avenir des politiques migratoires. Un sujet brûlant à ne pas manquer.

Un amendement explosif a été déposé le 25 juin 2025 à l’Assemblée nationale par un groupe de députés écologistes et de gauche. Leur cible : la manière dont certains médias et figures politiques exploiteraient les faits divers pour, selon eux, alimenter une « panique morale » liée à l’immigration.

Faits divers sous surveillance

Le texte exige que les médias du service public “mènent une réflexion éditoriale” sur la place accordée aux faits divers dans leur traitement de l’actualité. Derrière cette formulation apparemment anodine, se cache une offensive directe contre ce que les auteurs appellent l’instrumentalisation idéologique des crimes violents.

Deux exemples sont cités : l’affaire Lola (Paris, 2022) et le meurtre de Thomas à Crépol (2023). Selon les députés, ces drames auraient été utilisés par Éric Zemmour et d’autres personnalités de la droite radicale avec une “sémantique racialiste”, pour imposer dans le débat public des termes comme “francocide” ou “ensauvagement”.

Vers une police du récit ?

L’amendement va plus loin en désignant clairement les “coupables” médiatiques : CNews, Valeurs Actuelles, et ce qu’ils appellent la “fachosphère”. Ces médias et courants d’opinion sont accusés de construire un imaginaire identitaire et sécuritaire, au mépris de la neutralité journalistique.

La logique est claire : il s’agit de contrer la montée d’un “espace médiatique structuré à l’extrême droite”, qui utiliserait les faits divers comme levier politique. Les auteurs du texte dénoncent une “récupération politique” systématique, une stratégie de polarisation visant à criminaliser l’immigration et imposer une grille de lecture ethnique aux violences.

Une offensive idéologique déguisée en réforme médiatique

Derrière les grands mots, une question de fond : doit-on encadrer le traitement médiatique des faits divers sous prétexte qu’ils servent un agenda politique ? Ou cherche-t-on à imposer un filtre idéologique dans les rédactions, en prétendant lutter contre la “panique morale” ?

Cet amendement, s’il était adopté, ouvrirait une brèche majeure dans la liberté éditoriale des rédactions, notamment dans le service public. Il poserait aussi un précédent dangereux : celui d’un pouvoir politique qui juge du bien-fondé des émotions populaires et tente d’orienter le récit autour des violences qui frappent le pays.

Plutôt que de questionner pourquoi certains faits divers provoquent une onde de choc nationale, les députés préfèrent criminaliser la manière dont ils sont racontés. Comme si la réalité devenait insupportable… dès qu’elle dérange.

IMPORTANT - À lire

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