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Psychologie. La dissonance cognitive : de quoi s'agit-il exactement ?

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La notion de dissonance cognitive a été décrite en 1957, par le psychologue américain Leon Festinger. Elle se caractérise par une sensation d’inconfort psychologique dû à une forme de contradiction ressentie par une personne confrontée à deux représentations (« cognitions ») incohérentes.

Festinger évoque ainsi une « inconsistance » entre deux éléments provoquant une situation où « l’inverse de l’un découle de l’autre ».

Un exemple de cette inconsistance et autre contradiction ? Celles-ci peuvent naître à la suite d’un comportement que nous pouvons avoir alors que notre pensée, n’est pas en accord en psychologie et en psychanalyse, il est ainsi question de « duperie de soi » voire de « refoulement ».

Des préférences guidées par nos… actions

Il s’ensuit donc un véritable malaise interne avec des velléités de… justifier notre comportement. De quelle façon ? En modifiant après-coup nos idées dans le sens de l’acte en question. Comme une volonté de « résoudre » cette inconsistance, comme le précisait Leon Festinger.

Dans un ouvrage collectif français de référence, La dissonance cognitive : quand les actes changent les idées, les psychologues le résument ainsi : « Puisque j’ai agi ainsi, c’est donc que je suis en accord avec ce que j’ai fait ». Et d’ajouter : « La théorie de la dissonance montre que, souvent, c’est la situation qui détermine nos comportements et que c’est après-coup que nous justifions nos actes, à nos propres yeux et à ceux des autres ».

En 2017, une étude réalisée par des chercheurs de l’hôpital de La Pitié-Salpêtrière (Paris), a mis en évidence le fait que nos préférences étaient « modifiées par nos choix passés, exclusivement lorsque nous nous souvenons d’eux ».

Selon les scientifiques, « une fois que nous choisissons l’objet A plutôt que le B – alors même que A et B nous semblaient tout aussi désirables – nous avons tendance à augmenter notre préférence pour A et à diminuer celle attribuée à B ». L’illustration, encore une fois, que nos préférences et nos valeurs sont parfois transformées par nos actions. Et non l’inverse, qui voudrait logiquement, que nos actions soient déterminées par nos préférences.

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