Preuves : inquiétudes antérieures sur le traitement du tireur de l’hôpital NH

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Des documents récemment déclassifiés révèlent des inquiétudes antérieures concernant le traitement du tireur de l’hôpital.

Ces documents, comprenant deux évaluations de compétence ordonnées par le tribunal suite à une confrontation de Madore avec la police en 2016, dressent un portrait complexe d’un homme présentant des problèmes psychologiques émergents et une méfiance envers la police. Ils montrent également qu’après un séjour de neuf mois en tant que patient à l’hôpital,un établissement psychiatrique sécurisé,Madore était

In June 2019,New Hampshire Hospital‘s coordination of his outpatient mental health treatment was set to expire,according to court records. It isn’t clear what, if any, support or treatment Madore may have received after this period.

NHPR spoke with mental health experts who noted that these types of situations can be complex for both relatives and community mental health providers. Despite his past history of violence, Madore no longer presented an imminent threat to himself or others, meaning he couldn’t be mandated to receive care. And yet, his past treatment providers warned that without proper treatment, he could backslide.

Some states and municipalities have programs aimed at assisting people who have been found incompetent to stand trial, known as restoration programs. but the creation of a pilot program in New Hampshire that had bipartisan backing was voted down last week by a New Hampshire Senate committee, citing budget constraints.

The Attorney General’s report following the 2023 shooting at New Hampshire Hospital provides some details about Madore’s life and whereabouts following the end of his criminal case. According to interviews with Madore’s father and sister, he lived in several hotels and other residences, and for a period, moved back in with his mother.

There is little details in the report, or in the newly unsealed court records, about any psychiatric care Madore may have been receiving in recent years.

There are few other publicly available details about his life until the morning of Nov. 17, 2023, when police say Madore checked out of a Concord motel and rented a U-Haul truck. That afternoon, he entered the lobby of New Hampshire Hospital and promptly opened fire with a pistol, striking Haas, who was stationed at a metal detector and unarmed. Madore then continued to fire at windows and locked doors inside the empty lobby before he was ultimately shot and killed by a state trooper.

The state initially declined to release surveillance footage from inside the lobby – a break in practice from other officer-involved shootings. The New hampshire Department of Justice did ultimately provide NHPR with partial video footage in response to a right-to-know request, which corroborated the state’s narrative of the shooting.

At the time, Madore was prohibited from possessing or buying guns under federal law because of his 2016 involuntary admission to New Hampshire Hospital. But due to what some gun safety advocates consider a glaring loophole in state policies,New Hampshire is one of only a handful of states that doesn’t share involuntary commitment information with the FBI.

That meant when Madore purchased the gun he used to kill Haas from a Barrington gun dealer in 2020, his name did not raise any red flags during a background check.

In the wake of the killing of Haas, a bipartisan group of lawmakers proposed a sweeping overhaul of the state’s background check system that would have shared certain records with the FBI, and created a process for the restoration of gun rights for those who recover. But that legislation failed to find support among top republicans in the state Senate in 2024. Earlier this year, House Majority Leader Jason Osborne led his chamber in tabling a similar measure that also was backed by a bipartisan group of lawmakers.

In the wake of the 2023 shooting, New Hampshire Hospital upgraded its security features, including installing new doors, and hiring armed guards to protect the entryway during visiting hours. But the state has so far failed to complete other recommendations for increasing security at other government buildings.

New Hampshire Hospital, which provides acute, inpatient psychiatric services, is located at 36 Clinton St. in Concord, NH. Todd Bookman photo / NHPR.

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En juin 2019, la coordination du traitement ambulatoire de santé mentale de Madore par l’hôpital devait expirer, selon les documents judiciaires. Le soutien ou le traitement que Madore a pu recevoir après cette période n’est pas clair.

Des experts en santé mentale ont noté que ces situations peuvent être complexes pour les familles et les prestataires de santé mentale communautaires. Malgré ses antécédents de violence, Madore ne présentait plus de menace imminente pour lui-même ou pour les autres, ce qui signifie qu’il ne pouvait pas être contraint de recevoir des soins. Ses anciens prestataires de soins avaient averti que sans traitement approprié, il pourrait rechuter.certains États et municipalités ont des programmes visant à aider les personnes jugées inaptes à subir leur procès,appelés programmes de rétablissement. La création d’un programme pilote a été rejetée par une commission du Sénat, invoquant des contraintes budgétaires.Le rapport du procureur général suite à la fusillade de 2023 à l’hôpital fournit des détails sur la vie et le lieu de séjour de Madore après la fin de son affaire pénale. Selon des entretiens avec le père et la sœur de Madore, il a vécu dans plusieurs hôtels et autres résidences, et pendant un certain temps, il est retourné vivre chez sa mère.

Il y a peu d’informations dans le rapport,ou dans les dossiers judiciaires nouvellement descellés,sur les soins psychiatriques que Madore a pu recevoir ces dernières années.

Il existe peu d’autres détails publiquement disponibles sur sa vie jusqu’au matin du 17 novembre 2023, lorsque la police a déclaré que Madore avait quitté un motel et loué un camion. Cet après-midi-là, il est entré dans le hall de l’hôpital et a immédiatement ouvert le feu avec un pistolet, frappant Haas, qui était posté à un détecteur de métal et non armé.Madore a ensuite continué à tirer sur les fenêtres et les portes verrouillées à l’intérieur du hall vide avant d’être finalement abattu par un policier.

L’État a initialement refusé de publier les images de surveillance de l’intérieur du hall, une rupture avec la pratique d’autres fusillades impliquant des policiers. Le ministère de la Justice a finalement fourni des images vidéo partielles en réponse à une demande d’accès à l’information,qui a corroboré le récit de l’État sur la fusillade.À l’époque, Madore était interdit de posséder ou d’acheter des armes à feu en vertu de la loi fédérale en raison de son admission involontaire à l’hôpital en 2016. En raison de ce que certains défenseurs de la sécurité des armes à feu considèrent comme une lacune flagrante dans les politiques de l’État, l’État ne partage pas les informations sur l’engagement involontaire avec le FBI.Cela signifiait que lorsque Madore a acheté l’arme qu’il a utilisée pour tuer Haas auprès d’un armurier en 2020, son nom n’a soulevé aucun drapeau rouge lors d’une vérification des antécédents.

À la suite du meurtre de Haas, un groupe bipartite de législateurs a proposé une refonte du système de vérification des antécédents de l’État qui aurait partagé certains dossiers avec le FBI et créé un processus de rétablissement des droits aux armes à feu pour ceux qui se rétablissent. Cette législation n’a pas trouvé de soutien parmi les principaux républicains du Sénat en 2024. Plus tôt cette année, le chef de la majorité à la Chambre, Jason Osborne, a mené sa chambre à rejeter une mesure similaire qui était également soutenue par un groupe bipartite de législateurs.

À la suite de la fusillade de 2023, l’hôpital a amélioré ses dispositifs de sécurité, notamment en installant de nouvelles portes et en embauchant des gardes armés pour protéger l’entrée pendant les heures de visite. L’État n’a pas encore achevé d’autres recommandations visant à accroître la sécurité dans d’autres bâtiments gouvernementaux.