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Des médicaments utilisés contre le VIH et l’hépatite B pourraient aider à prévenir la maladie d’Alzheimer,selon une étude récente.
Les inhibiteurs de la transcriptase inverse analogues nucléosidiques (ITIN) sont utilisés pour empêcher le VIH et l’hépatite B de se reproduire et de se propager dans l’organisme.
Une nouvelle analyze révèle que les personnes prenant des ITIN présentent un risque réduit de développer la maladie d’Alzheimer, avec une diminution allant jusqu’à 13 % par année de prise de ces médicaments.
« On estime que plus de 10 millions de personnes dans le monde développent la maladie d’Alzheimer chaque année. »
Les résultats suggèrent que ces médicaments pourraient prévenir environ un million de nouveaux cas d’Alzheimer chaque année.
L’équipe de recherche demande des essais cliniques pour prouver l’efficacité des ITIN dans la prévention d’Alzheimer.
Les ITIN agissent en bloquant une enzyme dont le VIH a besoin pour se répliquer. Parmi ces médicaments, on trouve le ténofovir, l’entécavir, la lamivudine, l’abacavir, la zidovudine, l’emtricitabine et l’adéfovir.
des études antérieures ont démontré que les ITIN préviennent également l’activation des inflammasomes, des protéines du système immunitaire impliquées dans le développement de la maladie d’alzheimer.Pour évaluer si cette action pouvait protéger contre Alzheimer, des chercheurs ont examiné les données de patients sur 24 ans provenant de l’management américaine de la santé des anciens combattants, ainsi que 14 années de données d’une base de données de patients bénéficiant d’une assurance privée.Les deux groupes de données comprenaient 11 millions de patients de l’administration des anciens combattants (VA) entre 2000 et 2024, et 158 millions de patients ayant une assurance médicale fournie par leur employeur entre 2006 et 2020.Les chercheurs ont identifié plus de 270 000 patients âgés d’au moins 50 ans qui prenaient des ITIN pour le VIH ou l’hépatite B. Ils ont ensuite comparé les taux d’Alzheimer de ce groupe avec ceux du reste des groupes de patients.
Les résultats ont montré que pour chaque année de prise d’ITIN, il y avait une réduction « significative et substantielle » du risque d’Alzheimer :
* 6 % de risque en moins par an chez les patients de la VA.
* 13 % de risque en moins par an chez les patients couverts par une assurance santé fournie par l’employeur.
Cette réduction s’est maintenue même après ajustement pour d’autres facteurs susceptibles d’augmenter le risque d’Alzheimer.
« Nous avons également développé un nouveau médicament bloquant l’inflammasome appelé K9, qui est une version plus sûre et plus efficace des ITIN. Ce médicament est déjà en essais cliniques pour d’autres maladies, et nous prévoyons également d’étudier le K9 dans la maladie d’Alzheimer. »
Les inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse (NRTI) pourraient réduire le risque de développer la maladie d’Alzheimer [[3]]. Une étude a révélé que les patients qui prenaient des NRTI avaient des taux de maladie d’Alzheimer sensiblement plus bas que ceux qui n’en prenaient pas [[3]]. Une nouvelle étude suggère qu’une classe de médicaments contre le VIH, appelés inhibiteurs nucléotidiques de la transcriptase inverse (INTR), pourrait aider à prévenir la maladie d’Alzheimer, réduisant ainsi le risque jusqu’à 13 % [[1]].
Des médicaments contre le VIH et l’hépatite B pourraient-ils prévenir Alzheimer ?
Introduction
Une récente étude suggère une lueur d’espoir dans la lutte contre la maladie d’Alzheimer. Des médicaments couramment utilisés pour traiter le VIH et l’hépatite B, les inhibiteurs de la transcriptase inverse analogues nucléosidiques (ITIN), pourraient offrir une protection contre cette maladie neurodégénérative.Découvrons ensemble les résultats de cette étude prometteuse.
Comment fonctionnent les ITIN ?
Les ITIN, tels que le ténofovir, l’entécavir et la lamivudine, bloquent une enzyme essentielle à la réplication du VIH et de l’hépatite B. Ils sont utilisés depuis des années pour empêcher ces virus de se multiplier et de se propager dans l’organisme.
| Médicament | Utilisation Principale |
|—|—|
| Ténofovir | VIH, Hépatite B |
| Entécavir | Hépatite B |
| Lamivudine | VIH, Hépatite B |
| Abacavir | VIH |
| Zidovudine | VIH |
| Emtricitabine | VIH |
| Adéfovir | Hépatite B |
L’étude et ses résultats
L’étude a analysé les données de millions de patients provenant de deux bases de données :
Administration des anciens combattants (VA) : 11 millions de patients entre 2000 et 2024.
Assurance privée : 158 millions de patients entre 2006 et 2020.
Les chercheurs ont examiné le lien entre la prise d’ITIN et le développement de la maladie d’Alzheimer. Les résultats sont encourageants :
Réduction du risque d’Alzheimer :
6 % par an chez les patients de la VA.
* 13 % par an chez les patients couverts par une assurance santé privée.
Ces réductions ont été observées même après avoir pris en compte d’autres facteurs de risque d’Alzheimer.
pourquoi cette découverte est-elle importante ?
La maladie d’Alzheimer touche des millions de personnes dans le monde. Si les ITIN peuvent réellement aider à prévenir la maladie, cela pourrait avoir un impact significatif sur la santé publique. L’étude suggère que ces médicaments pourraient potentiellement prévenir environ un million de nouveaux cas chaque année.
L’étape suivante : les essais cliniques
L’équipe de recherche appelle à des essais cliniques pour confirmer ces résultats et déterminer l’efficacité des ITIN dans la prévention de la maladie d’Alzheimer.
FAQ
Q : Quels sont les médicaments utilisés dans l’étude ?
R : L’étude porte sur les inhibiteurs de la transcriptase inverse analogues nucléosidiques (ITIN), tels que le ténofovir et la lamivudine.
Q : Comment les ITIN pourraient-ils protéger contre Alzheimer ?
R : Les ITIN pourraient empêcher l’activation des inflammasomes, des protéines du système immunitaire impliquées dans le développement d’Alzheimer.
Q : cette étude prouve-t-elle que les ITIN préviennent Alzheimer ?
R : Non, l’étude suggère une corrélation, mais des essais cliniques sont nécessaires pour le prouver.
Q : Y a-t-il un nouveau médicament en développement ?
R : Oui, les chercheurs ont développé un nouveau médicament appelé K9, qui bloque également l’inflammasome. Il est en cours d’essais cliniques.
Q : Où puis-je trouver plus d’informations sur cette étude ?
R : Vous pouvez trouver des informations sur les ressources mentionnées dans le texte.