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PÉTITION : URGENT : Non à la culture de mort ! Exigez de l’ONU qu’elle mette fin à la loi française sur le « droit de mourir » avant le 27 mai !

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Dans quelques jours seulement, la France pourrait adopter une loi légalisant l’euthanasie — sans jamais consulter des citoyens comme vous et sans garanties suffisantes.

Le projet de loi prévoirait un « droit de mourir » aux contours très larges, s’appliquant non seulement aux personnes en phase terminale, mais à toute personne souffrant d’une maladie grave. Les amendements raisonnables visant à protéger les plus vulnérables, à garantir un consentement éclairé et à renforcer les soins palliatifs ont été systématiquement écartés.

Plus grave, le texte inclut déjà un délit d’« entrave à l’aide au suicide », ce qui permettrait aux lobbies pro-euthanasie de poursuivre en justice toute personne — y compris les pharmaciens — tentant d’empêcher un suicide assisté.

Contrairement aux médecins et infirmiers, les pharmaciens ne pourraient pas invoquer l’objection de conscience : ils seraient désormais tenus de préparer la substance létale. Autrement dit, ce qui constitue aujourd’hui un crime pourrait devenir, pour eux, une obligation.

Les personnes vulnérables risquent de subir une pression insidieuse pour préférer la mort plutôt qu’un véritable accompagnement. Imaginez l’impact sur vos proches âgé·e·s, vos ami·e·s en situation de handicap ou quiconque traverse une phase de précarité financière ou émotionnelle — la Belgique et le Canada en témoignent, avec des milliers d’euthanasies chaque année, parfois motivées par la pauvreté ou l’absence de soutien.

Voici trois témoignages marquants de personnes qui, à titre personnel ou professionnel, se sont élevées contre la pratique de l’euthanasie en France :

  • Claire Dierckx, juriste et auteure, dont le père a été euthanasié en Belgique en 2020 :
    « J’ai besoin d’avoir des personnes en face qui aient l’audace d’espérer, m’écoutent dans ma souffrance, mais qui me disent : ce n’est pas une solution, la mort. »
    Elle dénonce la « violence » ressentie par les proches devant une mort médicalement programmée et plaide pour un accompagnement axé sur l’espérance et le maintien du lien.
  • Bertrand, atteint de sclérose latérale amyotrophique (maladie de Charcot), qui avait sérieusement envisagé l’euthanasie, avant de changer d’avis grâce aux soins palliatifs :
    « Si j’avais été conforme à ce que je pensais avant ma maladie, j’aurais peut-être pris la décision en janvier d’aller en Suisse ou en Belgique… Une décision radicale et trop rapide. »
    Son parcours témoigne de l’importance de renforcer l’accès aux soins palliatifs pour offrir un réel choix de vie jusqu’au bout.
  • Hervé Messager, kinésithérapeute de Vincent Humbert, tétraplégique et aveugle après un accident :
    « Il riait, dialoguait, et ne manifestait pas le désir de mourir. (…) Vincent Humbert est une victime que l’on a tuée, et qui n’est pas mort dans la dignité. »
    Il met en garde contre la manipulation médiatique et militante de la souffrance pour en faire le cas emblématique d’une prétendue « dignité à mourir ».

VOTRE voix peut changer la donne.

L’ONU a le pouvoir d’exiger de la France qu’elle suspende ce projet de loi irréfléchi et qu’elle s’engage plutôt en faveur de soins de fin de vie véritablement compatibles avec la dignité humaine. Mais elle n’agira que si des citoyens comme vous et moi se mobilisent maintenant.

Merci de vous lever pour la vie,

Anne et toute l’équipe de CitizenGO

P.S. Le vote approche à grands pas. Ne laissez pas l’euthanasie devenir une réalité tragique. Votre soutien est urgent !

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