« À force de monter le son de la télé, de faire répéter à mes interlocuteurs ce qu’ils venaient de dire, de ne plus pouvoir suivre une conversation au restaurant, j’ai dû me rendre à l’évidence  : il était temps de songer à m’appareiller. L’ORL  me l’a confirmé, et il m’a prescrit une aide auditive . Comme je suis un fana de technologies et que je voulais avoir l’appareil le plus performant en gain d’audition, j’ai interrogé l’ORL sur les marques proposées sur le marché, et sur leurs avantages comparés. J’ai été très surpris quand il m’a avoué qu’il ne pouvait pas me répondre : l’important, c’était de choisir un bon audioprothésiste  », raconte Bruno, sexagénaire parisien.

Face à une perte d’audition, le médecin établit classiquement un diagnostic. Il prescrit un appareillage à partir d’une perte auditive de 30 décibels, d’une perte importante dans les aigus, ou encore de difficultés de compréhension importantes. Mais contrairement à l’ophtalmologue qui détermine le niveau…