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La protection des enfants contre les abus et les viols, notamment en ligne, est une urgence morale et sociétale majeure. Aucun enjeu ne devrait primer sur la sécurité des plus vulnérables, aucun. Pourtant les moyens alloués aux policiers sont ridicules, indignes d’un pays comme la France. Le sous-financement des unités luttant contre la pédocriminalité en ligne reflète parfois un manque de priorisation politique ou une sous-estimation de l’ampleur du problème. Des ressources accrues, des lois plus strictes et une sensibilisation publique sont essentielles pour replacer les enfants au cœur des priorités. Reste à savoir si c’est un manque de volonté politique ou une complicité…
REPORTAGE — Alors que les images d’abus sexuels sur des enfants inondent l’Internet européen, à la brigade des mineurs de Paris, une unité spéciale traque inlassablement les pédocriminels sur la Toile.
Situé derrière le palaisde justice de Paris, immense bâtiment ressemblant à une botte, le siège de la police judiciaire a des airs de blockhaus. Rien à voir avec l’illustre et antique bâtiment du fameux 36, quai des Orfèvres, posé en bord de Seine. Au sein de la PJ, la brigade de protection des mineurs (BPM) occupe la moitié d’un étage.
Célébrée par le film Polisse de Maïwenn en 2011, ayant pour champ d’action Paris et trois départements limitrophes (Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis et Val-de-Marne), la « brigade des mineurs », avec ses 70 fonctionnaires (dont, fait unique au sein de la police parisienne, une majorité de femmes), se charge de traquer et d’interpeller toute personne ayant commis des faits graves sur des mineurs. On parle ici de violences physiques mais aussi, et surtout, de violences sexuelles. Dans les deux cas pouvant entraîner la mort de la victime…