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Le site du patrimoine mondial et la Société du patrimoine d’Anticosti sont deux choses à la fois distinctes et intimement liées. « Le site du patrimoine mondial, c’est un territoire géographiquement délimité qui jouit maintenant d’une inscription sur la liste du Patrimoine mondial », résume Caroline Cloutier, directrice de la Société du patrimoine d’Anticosti.
Contrairement à ce qu’on pourrait penser, ce territoire ne couvre pas la totalité de l’île, mais influence bel et bien tout le territoire.
« À la base, c’est l’ensemble du pourtour de l’île, en excluant Port-Menier. On y ajoute le lit majeur des deux principales rivières, Jupiter et Vauréal, des noms évocateurs dans notre imaginaire collectif. Ce sont des aires protégées qui viennent assurer la pérennité du bien, donc du site du patrimoine mondial », résume Mme Cloutier.
Bernaches au Cap-Blanc. Photo Emelie Bernier
L’ensemble de ce qui porte également le nom de « bien » est en cogestion. « Le ministère de l’Environnement, la Sépaq et la Société PMA sont les co-gestionnaires. Et toute une gouvernance est associée à cette co-gestion, qui implique les Premières Nations d’Ekuanitshit et de Nutashkuan, ainsi que la municipalité », ajoute Mme Cloutier.
La Société du patrimoine mondial d’Anticosti (Société PMA) doit veiller au maintien de l’inscription d’Anticosti sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO en assurant la protection, la conservation, la mise en valeur et la transmission aux générations futures de la valeur exceptionnelle de l’île, en concertation avec les communautés locale et régionale.
Le village de Port-Menier est exclus de la réserve de biodiversité. Photo Emelie Bernier
Les activités d’interprétation, d’éducation et de recherche seront les moyens utilisés pour atteindre ces objectifs.