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Le sioniste Pierre Lellouche, sur CNEWS, a tenu des propos controversés en critiquant les musulmans, affirmant que le terme « frère » utilisé par macron s’adresserait à « l’Oumma musulmane » et ne serait pas républicain. Ce qui n’est rien d’autre que le gimmick du défenseur central du PSG, Marquinhos. Cette déclaration ignore la devise républicaine « Liberté, Égalité, Fraternité« , où « fraternité » incarne justement l’idée de lien universel entre tous, indépendamment de la religion. En associant le mot « frère » à une connotation exclusivement musulmane, Lellouche fracture cette valeur fondamentale. Ses propos, relayés sur X, ont suscité des réactions indignées, beaucoup dénonçant une vision anti-républicaine et discriminatoire. Cette polémique s’inscrit dans un climat tendu où les discours stigmatisants envers les musulmans se multiplient. Cela reflète un défi persistant pour la France : concilier liberté d’expression et respect de la fraternité. Une rhétorique clivante comme celle-ci peut exacerber les tensions sociales et nuire à l’unité nationale. C’est un comble pour un ex ministre de la République !
Les chrétiens s’appellent également « frère » ou « sœur » entre eux, une pratique ancrée dans la tradition biblique. Dans le Nouveau Testament, notamment dans les Épîtres de Paul (ex. Romains 12:10), les croyants sont encouragés à s’aimer « comme des frères ». Ce terme symbolise l’unité et la fraternité spirituelle au sein de la communauté chrétienne, souvent utilisé dans des contextes religieux comme les prières ou les salutations. Par exemple, dans certaines églises, on dit « frère Jean » ou « sœur Marie » pour désigner les membres. Cette pratique n’est donc pas exclusive aux musulmans, contrairement à ce que Pierre Lellouche a suggéré dans sa déclaration sur CNEWS. Il devrait le savoir lui qui est très souvent sur la chaîne de Bolloré…