Dans un monde où les médias façonnent l’opinion, un incident récent soulève des questions cruciales. En novembre 2024, Erwan Davoux, personnalité politique, a dénoncé un appel menaçant de Pascal Praud. Ce présentateur de CNEWS/Bolloré aurait exercé une pression après des critiques sur son travail autour du génocide à Gaza. Par ailleurs, Praud a évoqué Bernard-Henri Lévy, suggérant un avenir compliqué pour Davoux !

Ainsi, cette affaire met en lumière les dérives possibles des figures médiatiques. Utiliser son influence pour intimider devient inacceptable dans un cadre démocratique. D’autant plus que le droit international, défendu par Davoux, reste un sujet sensible. 

Par conséquent, les régulateurs comme l’Arcom doivent agir. Ils pourraient imposer des sanctions contre les abus de pouvoir médiatique. À cet égard, le public soutient Davoux, comme le montrent les réactions sur X, ce qui est une bonne nouvelle car malgré la propagande folle des Bolloré boys, ça ne prend pas..

En outre, les intellectuels influents comme Lévy posent problème. Leur réseau peut étouffer les voix dissidentes, selon des études récentes. De plus, les réseaux sociaux révèlent ces dynamiques au grand jour. Il faut dire, pour finir, qu’il n’y a qu’un vulgaire journaliste sportif, laquais de son état, pour être impressionné par une escroquerie intellectuelle comme Botul…