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La meilleure preuve de Dieu est sans aucun doute cet extraordinaire et miraculeux être vivant qu’on appelle : l’être humain.
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Certains êtres humains sont la preuve de Dieu, d’autres la preuve du Diable… Et d’autres encore, nombreux, ne sont la preuve que de leur vanité, ou de leur misère intérieure.
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La création du monde est un miracle divin, la création des êtres vivants est un autre miracle, et la création de l’être humain en est encore un autre. Finalement, ça ne se voit pas tout de suite, mais l’être humain est un miracle dans le miracle du miracle. Il s’agit donc pour lui d’assumer simplement ce miracle trinitaire. Ceux qui ne l’assument pas partent en quête de reconnaissance…
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La soif insatiable de reconnaissance ce n’est pas vouloir être reconnu par les autres comme leur égal, c’est plutôt vouloir être reconnu comme leur étoile, leur idole, leur maître, leur dieu…
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L’assoiffé de reconnaissance ne cherche pas des égaux, il veut être reconnu comme unique, il cherche son unicité, sa singularité, son originalité, son origine… et lorsqu’il n’y parvient pas, il tue l’autre, dont il désirait pourtant la reconnaissance, il tue l’humanité. Israël…
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La quête de reconnaissance aboutit à la quête de connaissance de son origine, qui est le point ultime de la sagesse.
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Mon crédo : cheminer jusqu’à être gorgée de sagesse, jusqu’à induire un nectar qui seul assouvi la soif de reconnaissance.
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Longtemps on a pris le sage pour un fou au milieu d’un monde où tout est chaos, lutte acharnée et haine mortelle…
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« Une petite flamme de folie, si on savait ce que la vie s’en éclaire ! », disait Henri de Montherlant. Alors une grande flamme… À condition d’être prudent, une grande flamme nous illumine de clarté, de sagesse… sinon, elle nous dévaste.
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Il n’y a pas de vie sans passion, et il n’y a pas de passion sans folie. Et les passions religieuses peuvent être des folies intégrales…
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Assumer sa folie sans en être possédé. Définition du sage. Ou du génie.
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Le plus souvent, l’homme résiste à la vie primordiale en lui – la vie divine, pourtant souverainement bienveillante -, et cette résistance est qualifiée de « normale », et ce à quoi cette « normalité » résiste est appelé « folie ». Et lorsqu’un individu y résiste mal et en est particulièrement perturbé, il est considéré comme atteint par cette « folie », et est appelé « fou », et il l’est. Mais lorsqu’un homme n’y résiste pas et l’assume complètement, il est désigné, dans le meilleur des cas, comme sage, génie ou prophète – le prophète de l’Islam se demandait lui-même s’il n’était pas devenu fou après la toute première révélation -, et dans le pire des cas, comme fou, ce qu’il n’est pas.
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La folie est le délice du sage, chez qui elle n’est pas apprivoisée mais complètement assumée.
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Qui n’a pas goûté à cette douce et exquise extase de vie qu’est la folie n’a goûté à rien. Précisons quand même que goûter à la folie ce n’est pas en être possédé. Nuance.
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« La plus subtile folie se fait de la plus subtile sagesse », disait Montaigne. Et inversement.
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Le secret d’une vie réussie consiste à assumer sa folie, qui n’est folie qu’aux yeux des autres.
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Ne plus calculer son intérêt, voilà la vrai liberté, qui est folie pour certains… les rats humains…
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L’homme qui le premier marcha avec ses deux jambes seulement fut considéré comme fou par tous les autres, qui marchaient à quatre pattes, mais qui peu à peu l’imitèrent, tous. Le premier homme qui voulut monter sur un cheval sauvage fut aussi jugé fou, tout comme le premier qui voulut voler comme l’oiseau en se confectionnant des ailes. Cependant, après plusieurs tentatives ratées, un homme réussit à monter un cheval sauvage, et, après plusieurs siècles, un autre homme réussit à voler dans les airs, perfectionnant l’invention de son prédécesseur. Les tentatives ratées furent donc jugées comme folies, et celle réussie comme relevant du génie. Finalement, est considéré comme fou celui qui ne réussit pas, et comme génie celui qui réussit ; les deux étant pourtant animés de la même inspiration.
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Chez la plupart des gens, la folie est un péril, une aliénation sans retour ; chez le sage, la folie est le souffle, l’inspiration infaillible vers le salut. « Ô le plus fou de tous les hommes, toi qui aspires à la sagesse », disait Érasme.
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Aux fous, on envie leur liberté, on aimerait être aussi libre mais sans être fou ; eh bien tel est le sage, ou le génie.
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La société moderne n’est pas une société où la folie est apprivoisée, et encore moins assumée, c’est bien plutôt une société où la folie est totalement, intégralement et absolument contrôlée, et où la conformité à ce contrôle absolu est appelée « normalité psychique ». Et où donc la sagesse est morte, tout comme le génie, car si on en croit Salvador Dali, le génie c’est la folie assumée.
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Il faut être malade pour se sentir heureux dans cette société malade moderne, mais les psychanalystes sont là pour vous aider à vous y sentir heureux. Heureux d’être malade. La psychanalyse est une magie noire.
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Les rêves dans notre sommeil ne sont que l’expression déformée de notre folie, qui n’est elle-même qu’une expression déformée de la vie souveraine en nous.
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Apprendre à mourir passe pour une folie, tant il est vrai que nous cherchons plutôt à apprendre à vivre, puisque nous sommes vivants. Pourtant, la sagesse consiste précisément en cette folie ; « être sage c’est apprendre à mourir », disait Platon…
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Les sages apprennent à mourir. Les guerriers n’ont pas peur de mourir. Les laborieux ne veulent pas mourir. Et la vermine de l’humanité veut abolir la mort… les ennemis de l’humanité… les transhumanistes… héritiers de Caïn… la science de Caïn tue la sagesse d’Abel.
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Abolir la mort est le plus grand des crimes, car c’est abolir la sagesse.
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Ce n’est pas la folie qui entraîne la violence, c’est exactement l’écrasement social de la folie, ou plus précisément, c’est l’écrasement de la vie primordiale en nous, dont les « échappés », qualifiées socialement de « folie », peuvent être violentes.
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Il y deux sortes de folie, celle, saine, qui mène à la création (qui n’est finalement pas une folie), et celle, malsaine, qui mène à la dévastation. Il faut bien sûr réprimer celle-ci mais sans réprimer celle-là. Le grand art de vivre.
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Assumer la vie primordiale en nous apparaît aux autres comme une folie, mais ce n’est pas une folie. Mal y résister mène à la folie. Mais y résister obstinément, s’en rebeller est la pire folie… la rébellion contre la vie divine, la rébellion de Caïn… l’autre nom d’Israël… Caïn, dont Netanyahu semble être la dernière réincarnation.