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Nicole Gosling, la nouvelle joueuse ambitieuse de la Victoire de Montréal

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En étant le premier choix au repêchage de la Victoire de Montréal, Nicole Gosling est bien consciente que les attentes seront grandes à son endroit. La défenseuse de 23 ans est sûre qu'elle a les atouts pour aider sa nouvelle équipe dès la saison prochaine.

Gosling a été sélectionnée au 4e rang par la directrice générale Danièle Sauvageau. La joueuse originaire de London, en Ontario, commence à saisir l'ampleur de ce qui lui arrive. Dans les rues de Montréal, les partisans l'arrêtent pour prendre des photos.

Je ne savais pas si Montréal allait me choisir, mais j’ai eu une conversation avec Kori Cheverie et Danièle Sauvageau le matin du repêchage et ça s’est très bien passé, raconte-t-elle lors d'un entretien avec Radio-Canada Sports. Il n’y avait rien de certain, mais je suis vraiment contente qu’elles m’aient finalement choisie.

Elle connaissait déjà l'entraîneuse Kori Cheverie pour l'avoir côtoyée à quelques reprises avec l'équipe canadienne. Avant le repêchage, elle a reçu des messages de celle qui allait devenir sa coéquipière à la ligne bleue, Erin Ambrose.

Elle me disait qu'elle allait parler en ma faveur, qu’elle voulait vraiment que je vienne à Montréal. C’est agréable d’entendre ça, évidemment.

Après le repêchage, les Montréalaises qui étaient présentes à la séance ont pris la peine de venir à sa rencontre et à celle de sa famille, un geste qui a été grandement apprécié.

Nicole Gosling connaît déjà Ambrose, Laura Stacey, Marie-Philip Poulin et Ann-Renée Desbiens pour avoir joué à leurs côtés dans l'équipe nationale et avoir gagné la médaille d'or avec elles au mondial en 2024.

C’est bien d’avoir ce côté familier, mais je pense que j’ai juste été avec elles pendant un maximum de 14 jours, alors de pouvoir être avec elles à temps plein, ça va me prendre un certain temps d’adaptation. Pour moi, ce sont des modèles, dit-elle.

J’espère un jour être leur coéquipière, de réussir à percer la formation. Honnêtement, j’ai juste hâte de pouvoir apprendre d’elles tous les jours, en tant que joueuse, mais aussi en tant que personne.

La Victoire a perdu les services des défenseuses Cayla Barnes, Anna Wilgren et Mariah Keopple au cours du processus d'expansion et dans le marché des joueuses autonomes. Montréal était cruellement à la recherche de renfort pour épauler Erin Ambrose. Nicole Gosling croit qu'elle a ce qu'il faut pour avoir un impact avec cette équipe.

J’ai vraiment confiance en mes habiletés et en qui je suis en tant que joueuse. Mon but premier est de venir au camp d’entraînement, de travailler fort et de me faire une place. Mais ensuite, le travail n’arrêtera pas. Ça va continuer tout au long de ma carrière. J’ai hâte d’avoir cette chance.

De pouvoir apprendre d'Erin Ambrose en tant que personne et en tant que joueuse sera géniale. On a souvent comparé mon style de jeu au sien. De comprendre comment elle voit le jeu va beaucoup m'aider, ajoute-t-elle.

Une joueuse polyvalente

La défenseuse de 1,68 m (5 pi 6 po) a démontré au cours de sa carrière universitaire qu'elle avait un excellent flair offensif. Elle est la meilleure pointeuse parmi les défenseuses dans l'histoire de l'Université Clarkson avec 148 points, dont 44 buts, en 176 matchs.

Je suis une défenseuse qui joue dans les deux sens de la patinoire. J’aime le jeu offensif, mais je comprends l’importance du jeu défensif et que c’est ce que je dois prioriser. Pouvoir participer offensivement est aussi plaisant, mais mon entraîneur à l’université, Matt Desrosiers, m’a appris que la défense mène à l’attaque et c’est quelque chose qui me tient à cœur, assure-t-elle.

Gosling provient d'une famille de hockey. Sa cousine, Julia Gosling, avait été repêchée par les Sceptres de Toronto, mais jouera pour la nouvelle équipe de Seattle. Elles ont été coéquipières dans l'équipe canadienne et la saison prochaine, elles s'affronteront à nouveau après avoir été adversaires dans les rangs universitaires.

Je préfère jouer dans la même équipe qu’elle que contre elle, mais c’est toujours spécial quand nous jouons l’une contre l’autre, lance Gosling.

L'Ontarienne ne fait pas de cachette. Elle a toujours été une partisane des Maple Leafs de Toronto, mais maintenant qu'elle est membre d'une équipe montréalaise, elle est prête à ouvrir ses horizons.

Je suis partisane réaliste des Maple Leafs. Je les trouve plaisants à regarder, mais maintenant que je suis ici, ça va peut-être changer un peu, avance-t-elle.

Je suis venue assister à un match de la Victoire de Montréal l’an dernier en tant que partisane. J’ai vécu l’atmosphère dans les gradins. Les partisans sont bruyants, passionnés. J’ai vraiment hâte de le vivre en tant que joueuse, alors que je serai sur la patinoire. C’est vraiment emballant.

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