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Les stations météo sont majoritairement en ville et même sur des terrains d’aviation bêtonisés , telle serait une explication essentielle de la hausse des températures.
S’il en fallait une preuve, Météo France vient de la donner: le minimum nocturne fut de 27° 0 Lariboisiere et de 17° à la même heure au jardin du Luxembourg
Une nouvelle étude publiée dans la revue scientifique à comité de lecture Climate , réalisée par 37 chercheurs de 18 pays, suggère que les estimations actuelles du réchauffement climatique sont contaminées par des biais liés au réchauffement urbain.
Cette étude aboutit à des conclusions similaires à celles d’une autre étude récemment publiée dans une revue scientifique à comité de lecture distincte, Research in Astronomy and Astrophysics
Les températures observées dans les seules stations rurales font apparaitre un refoidissement après 1870, un réchauffement de 1885 à 1938, un nouveau refroidissement de 1938 à 1972puis un réchauffement .De 1850 à 2020 un degrès seulement en plus Les données du Giec (stations urbaines ) montrent un réchauffement continue de 2 degrès
Il est bien connu que les villes sont plus chaudes que les campagnes environnantes. Alors que les zones urbaines ne représentent que moins de 4 % de la surface terrestre mondiale, de nombreuses stations météorologiques utilisées pour calculer les températures mondiales sont situées dans des zones urbaines. Pour cette raison, certains scientifiques craignent que les estimations actuelles du réchauffement climatique aient pu être contaminées par des effets d’îlots de chaleur urbains. Dans son dernier rapport, le GIEC estime que le réchauffement urbain représente moins de 10 % du réchauffement climatique. Cependant, cette nouvelle étude suggère que le réchauffement urbain pourrait représenter jusqu’à 40 % du réchauffement depuis 1850.
Pour la plupart des parisiens, la nuit fut pénible. Toutes les zones urbanisées – qui représentent l’immense majorité du territoire parisien – n’ont pas connu de fraîcheur. Il n’a pas fait moins de 26,9°C à notre station de Saint-Germain-des-Prés et même 27,2°C à la station de l’hôpital de Lariboisière (10ème arrondissement) ! En revanche, on respirait bien mieux dans les parcs. La station installée dans le Parc Montsouris a mesuré 22,6°C en fin de nuit. Référence pour la capitale, elle n’est pourtant pas représentative du ressenti des parisiens, car personne n’habite dans un parc… Au jardin du Luxembourg, il a fait 21,1°C et le mercure a même chuté à 17,9°C sur l’hippodrome de Longchamp, en bordure du bois de Boulogne. Un écart de 9,3°C avec Lariboisière !
En campagne, les températures descendent davantage la nuit grâce aux espaces verts ou aux plans d’eau, qui rejettent de la fraîcheur. À l’inverse, la température peine à descendre dans les villes. Les revêtements des sols et les bâtiments retiennent la chaleur le jour et la restituent la nuit (béton, brique ou pierre sont doués pour capter la chaleur). De plus, le manque de végétalisation ou d’eau ne permet pas de rejet de fraîcheur. Par ailleurs, les hauts immeubles freinent la circulation de l’air et donc le rafraîchissement. Tous ces facteurs cumulés rendent les nuits de canicule éprouvantes en zone fortement urbanisée.

Ces études scientifiques qui prouvent que c’est le soleil et l’urbanisation , pas les vaches ou le CO2 !les 188 études du débat, le consensus est une invention
Publié le 26 août 2024 par pgibertie
D’après l’étude évaluée par des pairs The Detection and Attribution of Northern Hemisphere Land Surface Warming (1850–2018) in Terms of Human and Natural Factors: Challenges of Inadequate Data Soon et al (2023) : La majorité des stations utilisées pour comparer … Lire la suite →
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