Méningite à Pérouse : Nouveau Cas et Mesures Prises

Un nouveau cas de méningite a été détecté à Pérouse, suscitant des inquiétudes et nécessitant une action rapide des autorités sanitaires. après un étudiant de 18 ans hospitalisé récemment, une jeune femme d’une trentaine d’années est actuellement en traitement pour une méningite méningococcique.

L’Épidémie en Détail

Détection et Intervention: L’alerte a été donnée le samedi 17 mai. L’Usl Umbria 1 a immédiatement notifié le service d’hygiène et de santé publique.

Patient: Il s’agit d’une Pérugine hospitalisée dans le service des maladies infectieuses de l’hôpital Santa Maria della Misericordia. son état clinique ne suscite pas d’inquiétude.

Enquête Épidémiologique: Une enquête a été lancée pour identifier les contacts proches de la patiente.

Prophylaxie Antibiotique: Les membres de la famille cohabitant et deux connaissances ont été contactés et ont commencé une prophylaxie antibiotique.

Transmission: La méningite méningococcique se transmet par contact aérien rapproché.

Cas Précedent: Fin avril, un étudiant de 18 ans a également été hospitalisé pour une méningite méningococcique.Des mesures similaires ont été prises à cette occasion.

FAQ sur la Méningite

Qu’est-ce que la méningite méningococcique ?

C’est une infection bactérienne grave des membranes entourant le cerveau et la moelle épinière.

Comment se transmet la méningite méningococcique ?

Elle se transmet par contact aérien rapproché, d’une personne à l’autre.

Quels sont les symptômes de la méningite ?

Les symptômes peuvent inclure une forte fièvre,des maux de tête sévères,une raideur de la nuque,et des vomissements.

Quel est le traitement ?

Le traitement principal est l’governance d’antibiotiques.

Qu’est-ce que la prophylaxie antibiotique ?

C’est un traitement préventif aux antibiotiques administré aux personnes ayant été en contact étroit avec une personne infectée.

Faut-il désinfecter les lieux ?

non, aucune désinfection environnementale n’est nécessaire car le germe est très fragile en dehors du corps humain.

Résumé des Informations Clés

| Aspect | Détail |

| :——————– | :————————————————————————————————————————— |

| nouveau Cas | Pérugine, trentaine |

| Type de Méningite | Méningococcique |

| Transmission | Contact aérien rapproché |

| Traitement | Antibiotiques et prophylaxie pour les contacts étroits |

| Mesures Actuelles | Enquête épidémiologique, identification des contacts, prophylaxie antibiotique |

Un nouveau cas de méningite a été détecté à Pérouse. Après l’étudiant de 18 ans hospitalisé ces dernières semaines,une jeune femme se retrouve également à l’hôpital. L’alerte a été donnée dans la soirée du samedi 17 mai. Plus précisément, l’Usl umbria 1 a notifié au service d’hygiène et de santé publique de l’USL Umbria 1 un cas de méningite méningococcique. La patiente, une Pérugine d’une trentaine d’années, est actuellement hospitalisée et son état clinique ne suscite pas d’inquiétude.Elle se trouve dans le service des maladies infectieuses de l’hôpital Santa Maria della Misericordia.Suite à ce signalement, une enquête épidémiologique a été immédiatement menée par le service de la société de soins de santé. Elle a permis d’identifier les contacts étroits déclarés, à savoir les membres de la famille cohabitant et deux connaissances rencontrées dans l’intervalle de temps potentiellement à risque. Toutes ces personnes ont été contactées et ont commencé une prophylaxie antibiotique. L’Usl Umbria 1 rappelle que la méningite à méningocoque est une maladie infectieuse qui se transmet par contact aérien rapproché de personne à personne. C’est un germe très labile en dehors du corps humain et aucune désinfection environnementale n’est nécessaire.

Comme mentionné précédemment, il s’agit du deuxième cas en peu de temps. Fin avril, un étudiant de 18 ans avait également été hospitalisé, également atteint de méningite méningococcique. Cette infection avait nécessité l’hospitalisation de la jeune fille dans le service de réanimation. Son état clinique s’était ensuite progressivement amélioré dans les jours suivants. À cette occasion également, le service d’hygiène et de santé avait reconstitué la chaîne des contacts possibles pendant les jours les plus à risque.Il avait été établi que la jeune fille avait eu plusieurs occasions d’être en contact avec d’autres personnes, de la salle de sport à la paroisse. L’enquête et les traitements préventifs qui ont suivi ont permis d’éviter d’autres infections. L’implication d’un camarade de classe qui s’était senti mal en même temps que la découverte du cas avait été écartée, les enquêtes ultérieures ayant exclu la méningite.

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