Pendant que nous, Français, plions sous le poids des taxes et de l’inflation, Emmanuel Macron continue ses manœuvres diplomatiques inutiles. Notre « Jupiter » a fièrement proclamé que l’Europe allait « intensifier » les discussions avec l’Iran pour tenter d’éteindre le feu au Moyen-Orient et « éviter de plus graves dangers ». C’est après avoir téléphoné au président iranien Masoud Pezeshkian qu’il nous l’annonce, comme si sa seule voix suffisait à calmer les tensions.

Plus d’une semaine après l’éclatement du conflit entre l’Iran et Israël, notre président a jugé bon d’exprimer sa « profonde inquiétude » concernant le programme nucléaire iranien dans un message publié sur X. Comme si les Iraniens attendaient l’avis de Macron pour décider de leur politique nucléaire !

Ces grandes déclarations diplomatiques sonnent creux quand on voit l’impuissance de la France et de l’UE sur la scène internationale. Emmanuel Macron, qui n’a pas su protéger les intérêts des Français chez eux, prétend maintenant résoudre les conflits à l’autre bout du monde. Encore une belle opération de communication qui ne changera rien à la réalité géopolitique, mais qui permettra à notre président de se pavaner dans les médias.

Macron s’oppose à l’Iran sur l’arme nucléaire

Le locataire de l’Élysée a tapé du poing sur la table concernant l’Iran, déclarant que le pays « ne devait jamais avoir l’arme nucléaire ». Il a même sommé Téhéran de « donner toute garantie que ses intentions sont pacifiques ».

C’est facile de jouer les gros bras avec l’Iran quand on est à des milliers de kilomètres. Les tensions au Moyen-Orient s’intensifient, et notre gouvernement s’empresse d’y mettre son grain de sel. On se demande bien pourquoi notre pays doit toujours se mêler de conflits qui ne nous concernent pas directement, alors que tant de priorités nationales sont ignorées.

Une chose est sûre : pendant qu’Emmanuel Macron s’inquiète des armes nucléaires iraniennes, les Français, eux, se demandent comment boucler leurs fins de mois.

Emmanuel Macron tente de jouer au médiateur entre Israël et l’Iran, alors que son pays est au bord du gouffre économique.

Je me demande bien ce qu’il cherche au Moyen-Orient. Peut-être des électeurs de substitution ? Ou simplement à faire plaisir à Bruxelles et Washington ?