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Revue de presse du débat du 13 mai entre Emmanuel Macron et la « société civile »:
Florian Philippot et Nicolas Dupont-Aignan ont vivement critiqué l’émission de Macron sur TF1 comme une opération de communication déconnectée des véritables préoccupations des Français. Philippot dénonce une mise en scène visant à séduire les jeunes via Tibo InShape, sans débat contradictoire, où Macron esquive des enjeux cruciaux comme le pouvoir d’achat ou la souveraineté pour se concentrer sur des sujets secondaires comme le sport à l’école. Il souligne que les questions préenregistrées, comme celle de Tibo, servent les intérêts de l’Élysée en évitant toute critique incisive. De son côté, Dupont-Aignan reproche à Macron de promettre plus de sport à l’école sans moyens pour l’Éducation nationale après huit ans de mandat, voyant dans l’émission une diversion des enjeux de souveraineté (UE, OTAN) et une « discussion arrangée » sans contradicteur réel.
Le Cercle Aristote et Alexis Poulin partagent une vision similaire, dénonçant un exercice de propagande et un manque de fond. Pour le Cercle Aristote, l’émission est un outil pour un président en difficulté, manipulant l’opinion via des figures comme Tibo InShape, choisi pour son audience plutôt que pour sa pertinence, tandis que les annonces de Macron (sport, fin de vie) ignorent les crises structurelles comme l’économie ou l’immigration. Poulin, quant à lui, qualifie l’émission de « show » orchestré pour donner l’illusion d’un Macron proche du peuple, esquivant les vrais enjeux de santé publique, comme la crise hospitalière, au profit de discussions superficielles sur le sport. Il critique la complaisance de TF1 et voit dans la promesse vague d’un référendum sur la fin de vie une manœuvre pour apaiser les tensions sans engagement concret.
Didier Maïsto et François Asselineau ciblent le format biaisé et la déconnexion élitiste de l’émission. Maïsto dénonce un débat truqué, avec des questions filtrées pour protéger Macron, qui ignore les luttes des classes populaires (inflation, précarité) au profit de sujets comme la fin de vie, tandis que le choix de Tibo InShape renforce la méfiance envers les élites. Il juge les promesses de Macron creuses face aux coupes budgétaires passées. Asselineau, fidèle à sa ligne souverainiste, voit dans l’émission une censure médiatique orchestrée par TF1, marginalisant les voix anti-UE comme la sienne. Il critique le format anti-démocratique, où des intervenants comme Tibo sont choisis pour leur médiatisation, et accuse Macron d’utiliser des sujets sociétaux pour détourner l’attention des enjeux de souveraineté, comme le Frexit, dans une collusion avec les élites atlantistes.
Arguments de Rémy Watremez contre le projet de loi sur la fin de vie:
Risque de dérives éthiques : La légalisation de l’« aide à mourir » pourrait conduire à des abus, notamment pour les personnes vulnérables (âgées, handicapées), comme observé dans des pays comme la Belgique.
Pression sociale implicite : Les patients pourraient se sentir obligés de choisir la mort par manque de soutien ou pour ne pas être un « fardeau » pour leurs proches.
Insuffisance des soins palliatifs : Avec 180 000 patients sans accès à des soins palliatifs de qualité, l’État pousse l’euthanasie comme une solution de facilité au lieu d’investir dans l’accompagnement.
Méfiance envers l’État : Watremez, critique des politiques macronistes, voit dans ce projet une volonté de l’État de contrôler la vie et la mort, au détriment de la liberté individuelle.
Ambiguïté du texte : Les termes flous (« aide à mourir ») et les amendements comme celui sur les souffrances psychologiques risquent d’élargir l’application de la loi de manière incontrôlée.