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DÉCRYPTAGE - Et si les drogues, en vogue dans les années 1970, se réincarnaient en médicaments pour lutter contre la dépression, les addictions ou le stress post-traumatique ? Des recherches scientifiques affichent des résultats prometteurs.
Va-t-on soigner les individus accros à une drogue par une autre drogue ? Traiter des dépressifs par une défonce sous surveillance médicale ? La démarche peut paraître déconcertante mais de nombreuses équipes de recherche travaillent sur le pouvoir thérapeutique des psychédéliques : la psilocybine, un des composés des champignons hallucinogènes ; la DMT qu’on trouve dans l’ayahuasca, boisson consommée par des chamans ; la mescaline extraite de certains cactus ; ou encore le LSD, fabriqué à partir de l’ergot de seigle…
« Ces substances activent un récepteur particulier de la sérotonine dans le cerveau. La kétamine , anesthésique connu, est considérée comme un apparenté des psychédéliques : comme eux, elle provoque des modifications de la conscience, des hallucinations, des intensifications des émotions et des sensations. Bref, tous ces produits font planer », explique le Pr Luc Mallet, psychiatre au CHU Henri-Mondor à Créteil et chercheur à l’Institut du cerveau *…