Le 29 mai à 17h, Mike Borowski interroge les manifestants rassemblés devant l’Assemblée nationale pour dénoncer la loi sur l’euthanasie, perçue comme un outil de contrôle social soutenu par Emmanuel Macron et inspiré des loges maçonniques.

La loi euthanasie : un projet idéologique sous couvert d’humanité

Présentée comme une avancée sociétale, la loi sur “l’aide à mourir” soulève de vives inquiétudes. Derrière le discours compassionnel, de nombreux citoyens dénoncent une logique dangereuse : celle d’une société qui institutionnalise la mort au nom de la dignité.
Cette législation, selon ses opposants, n’est pas seulement médicale. Elle s’inscrit dans un projet politique plus large, piloté en sous-main par certaines obédiences maçonniques, visant à déconstruire les repères fondamentaux de notre civilisation.

Franc-maçonnerie et fin de vie : une influence occultée mais structurante

L’influence des réseaux maçonniques dans les grandes réformes sociétales est une réalité souvent minimisée. Plusieurs parlementaires et soutiens de la loi sont membres d’obédiences connues pour leurs positions favorables aux “progrès sociaux”. Après l’avortement et le mariage pour tous, l’euthanasie apparaît comme le dernier volet d’un processus de transformation radicale.
Les critiques évoquent une stratégie en trois temps : désacraliser la vie, valoriser l’individualisme absolu, et éradiquer toute forme de transcendance.

Emmanuel Macron : un président aligné sur les loges

La prise de parole d’Emmanuel Macron à la Grande Loge de France pour évoquer la fin de vie n’est pas un simple hasard. Ce choix d’intervention montre un alignement assumé avec certaines forces qui influencent les orientations sociétales du pays.
Ce discours, prononcé à quelques semaines du vote, est interprété comme une validation symbolique et politique. Le président incarne une vision du monde où la mort devient une option légitime de gestion sociale, dans un cadre institutionnel.

Euthanasie et exclusion sociale : une fracture dénoncée par les manifestants

Sur le terrain, les manifestants alertent sur les conséquences concrètes de cette loi. Derrière le concept de “mourir dans la dignité”, ils voient un mécanisme de pression implicite sur les plus fragiles : personnes âgées, handicapées, malades chroniques.
Le risque, selon eux, est de transformer l’exception en norme et d’encourager les plus vulnérables à choisir la mort par sentiment de culpabilité ou d’inutilité. Frigide Barjot parle d’une “euthanasie économique”, révélatrice d’un système qui trie plutôt qu’il ne protège.