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Pierre E. fidèle lecteur de Profession-Gendarme nous a écrit cette lettre ouverte destinée à l’ensemble de nos camarades en activité de service.
Nous le remercions vivement.
Chers Gendarmes,
Depuis la création de votre corps militaire, venant du peuple, vous avez, par votre engagement, parfois vos sacrifices, été la barrière nécessaire à toute démocratie pour endiguer les délinquances, et vous faisiez respecter les lois de la République afin que vive en paix ce peuple français qui vous a toujours rendu hommage et aimé.
Souvenons-nous de ces gendarmes de campagne qui n’étaient pas forcément là pour sévir, ce qu’ils faisaient dans les cas extrêmes, mais ils étaient là pour rassurer, et permettre à la population de vivre de leur travail.
Les choses ont beaucoup changé ces dernières décennies, je ne reviendrai pas sur les causes de ces changements, mais l’observation est tellement flagrante de la déviation de vos engagements, que nous sommes bien obligés d’y revenir.
Lorsque nous avons des dirigeants devenus avec le temps corrompus, parfois malades mentaux, ou sous psychotropes et accrochés à leurs prérogatives et à leurs intérêts personnels, la distance entre eux et la population s’éloigne au point que ni les uns ni les autres ne vivent dans le même monde.
Ces dirigeants corrompus, aujourd’hui en place, ne sont là que grâce à votre protection. Car vous êtes par essence le dernier rempart qui nous sépare d’eux.
Les gendarmes sont-ils issus des populations qu’ils doivent protéger ou de cette caste ultra riche et déviée qui commande sans compétence aucune ?
Vous avez comme nous tous, des femmes et des enfants, qui côtoient les nôtres à l’école ou sur le terrain de sport, et ceci rejoint la base de votre travail pour lequel votre corps a été formé et a si bien été accepté.
Vous êtes, vous aussi le peuple. Bien entendu, votre métier vous permet de vivre avec un salaire, que vous octroie le gouvernement, mais d’où vient donc cette manne financière ? Du peuple bien entendu, juste récompense de cette protection que vous lui octroyez.
Vous avez vu se dégrader la situation dans votre mission avec la situation d’insécurité de la France ces dix dernières années, mais aussi ce laxisme des tribunaux qui sabotent le travail harassant et difficile que vous aviez mis en place pour contrecarrer les actions des malfaiteurs, et cela depuis très longtemps.
Messieurs les gendarmes vous êtes aujourd’hui devenus le seul véritable rempart derrière lequel se réfugient les corrompus, les traîtres à la France et les voleurs, qui, leur forfait accompli s’évadent à l’étranger avec leur butin. En avez-vous conscience ?
Sans vous, ces gens corrompus auraient peur de la réaction nécessaire et utile de remise en ordre de notre démocratie, mais pensant que c’est votre devoir et votre gagne-pain, vous faites votre travail qui devient néfaste à la majorité de cette population honnête.
Les dernières décisions qui proviennent de cerveaux malades vont encore vous mettre en opposition avec la majorité travailleuse avec cette scandaleuse mise en place des ZFE…
Je sais que vous ne pouvez en déduire comme nous, à cette impossibilité de la mettre en place pour le bien de tous. Ce sera une véritable catastrophe sociale et économique. Et vous devriez en être les protecteurs ?
La France aujourd’hui est dans une situation extrêmement difficile sur le plan économique et social, nos gouvernants corrompus n’ont rien compris aux changements en train de s’opérer, notamment lorsqu’ils en appellent à reprendre les armes contre ce grand pays qu’est la Russie, celle qui vient de mettre à bas cette coalition inique de l’OTAN en Ukraine.
Nous risquons à tout moment une mobilisation des jeunes français pour aller sur un front à l’Est se faire tuer par des amis. Si je les appelle les amis, c’est qu’ils nous fournissaient auparavant des moyens stratégiques de fonctionnement à bas prix, qui permettaient une économie normale. Et je rappelle ici qu’ils ne nous ont jamais attaqué où que ce soit.
Vous serez alors en première ligne pour garantir ce recrutement odieux, pour une guerre qui n’est pas la nôtre, et que la majorité de notre population n’a pas envie d’accepter.
Je pense qu’avec vos officiers vous devez vous poser la question maintenant : Allons-nous agir contre ce peuple que nous avions ordre de protéger ?
C’est la vie de la Nation, qui est en jeu.
Pierre

Commentaire d’un ami lecteur de Profession-Gendarme (Ultrak) :
Nous n’avons et n’aurons pas de preuve d’un AVC provoqué. Cela reste du domaine de l’hypothèse. Le plus important maintenant, après l’hommage et le deuil, est le message que laisse le général Delawarde.
Gendarmes et autres militaires sont tenus à l’obéissance à un pouvoir supposé légitime. La légitimité du pouvoir est difficile à apprécier. Maintes décisions paraissent contestables, mais sont prises en fonction d’informations que le grand public ignore, et dont parfois seul un cercle très restreint a connaissance. Le devoir du gendarme ou du militaire est néanmoins d’examiner les décisions du pouvoir d’un œil critique, et d’adapter son degré d’obéissance en conséquence.
On imagine que le gendarme ou le militaire ne peut agir que de façon binaire. « Réfléchir, c’est déjà désobéir », selon une maxime qu’ils connaissent bien. Or justement, la réflexion s’impose plus que jamais à eux à l’époque que nous vivons, époque marquée par l’irruption de technologies propices à l’exercice tyrannique du pouvoir. J’aime citer en exemple l’adjudant François Le Jeune, qui a laissé son nom à la caserne de gendarmerie de Plourin-les-Morlaix. Cet adjudant a su démontrer qu’il était possible de concilier obéissance formelle et résistance à la tyrannie.
La boussole ultime du gendarme, du militaire, doit être sa conscience. L’exercice de la conscience exige à la fois l’introspection et un éclairage extérieur. Le général Delawarde nous apportait à tous cet éclairage indispensable sur les évènements du monde. Il rejetait le prêt à penser servi à longueur de temps par les outils de propagande. De par son rang dans l’armée, il était plus audible que quiconque par ses frères d’arme, par l’ensemble des militaires et des gendarmes. Cette tâche qu’assumait le général Delawarde, d’autres militaires se doivent de la poursuivre aujourd’hui.
Je considère le métier militaire, en particulier celui de gendarme, comme l’un des plus beaux métiers qui soient. Il s’agit d’un métier d’engagement, par le corps et par l’esprit. Sa dimension morale ne doit jamais être oubliée. L’époque est dure, et ce sont précisément de telles époques qui révèlent les grands hommes, au sens inclusif du terme. Nous retiendrons le général Delawarde comme l’un d’entre eux. Qu’il soit désormais un exemple.