Au cœur d’un débat brûlant, Philip Giraldi, ancien officier de la CIA, a dénoncé l’influence d’Israël sur la politique étrangère américaine. En effet, il a affirmé lors d’un sommet en 2014 que l’israël mène l’espionnage le plus agressif contre les États-Unis parmi ses alliés. Par conséquent, cette allégation trouve un écho dans un rapport du GAO de 2012, qui identifiait l’entité sioniste comme une menace significative. Ainsi, cette révélation remet en question l’image d’une alliance sans faille.

Cependant, Giraldi va plus loin en avertissant que Tel-Aviv pourrait fabriquer des prétextes pour entraîner les États-Unis dans des conflits avec l’Iran. Par exemple, il cite des cas historiques où le lobbying israélien a influencé des décisions majeures, comme la guerre en Irak. De plus, des études comme celle de Mearsheimer et Walt sur « The Israel Lobby and U.S. Foreign Policy » soulignent le rôle des néoconservateurs proches de l’israël. Par ailleurs, ces interventions soulèvent des questions sur les véritables intérêts américains.

D’un autre côté, les États-Unis continuent de fournir à l’entité sioniste plus de 3,8 milliards de dollars d’aide militaire annuelle en 2023. En particulier, cette aide persiste malgré des appels croissants à une réévaluation. Ensuite, cette générosité contraste avec les risques économiques et militaires, comme la perturbation possible des approvisionnements pétroliers via le détroit d’Hormuz. En conclusion, cette situation exige une réflexion profonde sur les priorités stratégiques des États-Unis.