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Par Brandon Smith − Le 26 juin 2025 − Source Alt-Market
Voici à quoi une féministe ressemble.
Une règle est restée immuable depuis des générations en matière de division entre les sexes : les hommes sont tenus responsables de tout, les femmes n’acceptent aucune responsabilité.
Il existe bien sûr des exceptions à la règle, mais dans la plupart des cas, il est vrai que les femmes occidentales modernes ont beaucoup de mal à assumer leurs responsabilités lorsque les choses tournent mal. On leur a appris dès leur plus jeune âge qu’elles sont des victimes : victimes des hommes, victimes de la société, victimes du « patriarcat », victimes de la religion, victimes de la biologie, victimes des circonstances, etc.
Le mouvement féministe repose entièrement sur l’idée que les femmes peuvent utiliser leur statut de victime comme une arme pour contrôler la société.
Je continue de penser que le féminisme est le mouvement CLÉ qui a sapé le succès de la culture occidentale. Leur fanatisme a conduit à la destruction de la famille nucléaire (le facteur le plus important dans une nation saine). Elles ont contribué à faciliter l’effondrement quasi total de l’Occident et ce problème doit être résolu avant qu’il ne soit trop tard.
Je suis récemment tombé sur un article du New York Times qui explique le déclin des relations occidentales d’une manière à la fois hilarante et déprimante. L’essai s’intitule « « Men, Where Have You Gone? Please Come Back » (Hommes, où êtes-vous passés ? Revenez, s’il vous plaît). L’auteur (une femme d’une cinquantaine d’années originaire de Chicago) se souvient de l’époque où les hommes étaient des proies faciles pour les femmes.
Nous savions ce qui marchait. Nous savions comment mettre en valeur un visage, un geste, un moment d’implication, juste assez pour enflammer l’imagination et ouvrir le portefeuille. J’ai fini par comprendre exactement quels sont les signaux qui attirent les hommes hétérosexuels cisgenres âgés de 18 à 36 ans. Ce qui les attire. Ce qui les fait revenir. Ce n’est pas l’intimité. Ce n’est pas la réciprocité. C’est l’accès à une simulation propre, rapide et sans friction…
… Cette dynamique s’est discrètement effondrée. Nous sommes entrés dans une ère où de nombreux hommes ne recherchent plus les femmes pour impressionner d’autres hommes ou pour créer des liens malgré leurs différences. Ils se défoulent ailleurs. Seuls. Ils nous ont éliminées.
L’auteur insinue que l’ère de l’argent facile et du sexe facile pour les femmes était le produit de la dynamique masculine de la compétition et du statut social (la faute aux hommes). Pourtant, elle semble également nostalgique, aspirant à ce que ces jours reviennent. C’était l’époque de « Sex And The City », à la fin des années 1990 et au début des années 2000, née de la révolution sexuelle de la deuxième vague du féminisme. C’était l’époque où la promiscuité et la cupidité féminines étaient glorifiées comme l’expression ultime de l’émancipation des femmes.
L’idée était de transformer les premières années de l’âge adulte des femmes en une orgie dionysiaque, en offrant leur corps à n’importe quel homme beau et riche dans l’espoir de finir par piéger un homme qui subviendrait à leurs besoins toute leur vie. Le mariage et peut-être la famille viendraient à la trentaine (ou peut-être à la quarantaine), mais pas avant d’avoir profité autant que possible de cette débauche.
Le problème, c’est que les femmes ont une horloge biologique, c’est pourquoi, pendant des milliers d’années, le mariage a été LA principale préoccupation du sexe faible. Gâcher sa vingtaine en offrant son corps pour rien ? C’était une folie impensable. Cela les condamnait à des décennies de misère, à vivre seules, vieilles filles, dépendantes de la charité d’autrui, et franchement, rien n’a changé. Les vieilles filles sans enfants existent toujours et elles sont toujours aussi embarrassantes.
Ce n’est que dans les pays développés que ces femmes peuvent survivre.
Personne ne regarde une vieille fille et la considère comme « puissante » ou libre. Tout le monde sent son échec. Son désespoir. Sa façon de faire face. C’est pourquoi, de plus en plus, nous commençons à voir un sentiment de panique chez les femmes qui ont adhéré au mensonge féministe. Elles se rendent compte que les hommes ne leur courent plus après.
Tout a commencé comme une blague parmi les gauchistes éveillés qui se moquaient de la « montée des incels ». Le nombre d’hommes célibataires refusant d’entrer dans le monde des rencontres explosait et les féministes disaient que c’était une bonne chose. Laissons les « moches » se vautrer dans leur solitude pendant que les femmes sortent et profitent de leur liberté et de leur plaisir jusqu’à en être malades. Cependant, la tendance s’est poursuivie au point que la majorité des hommes se désengagent complètement.
Des enquêtes récentes révèlent que 63 % des jeunes hommes âgés de 18 à 29 ans sont célibataires. Environ 30 % des hommes n’ont pas eu de relations sexuelles depuis un an ou plus. En 1980, 60 % des adultes étaient mariés à l’âge de 25 ans. Aujourd’hui, seuls 20 % sont mariés à cet âge. Les hommes quittent les relations et le mariage à un rythme record, et comme ce sont eux qui prennent l’initiative dans les relations (les hommes sont biologiquement programmés pour prendre des risques et aller de l’avant), les femmes commencent à en ressentir les effets.
Les dernières données prévoient que 45 % des femmes âgées de 25 à 44 ans seront célibataires et sans enfant d’ici 2030, et pas nécessairement par choix. Si une femme est célibataire et sans enfant à l’âge de 35 ans, ses chances de fonder une famille diminuent de manière exponentielle, tout comme sa fertilité.
On parle d’épidémie de solitude féminine, qui frappe la société occidentale de plein fouet. Même les féministes s’inquiètent. Comme le souligne le New York Times :
Il n’y a pas si longtemps, même une aventure d’un soir pouvait se terminer par des étreintes passionnées et un petit-déjeuner partagé. Rester passer la nuit chez quelqu’un ne signifiait pas nécessairement le début d’une relation, mais simplement l’envie d’être humain pendant quelques heures de plus. Aujourd’hui, même ce genre de contact improvisé semble rare. Nous avons érigé tant de barrières que nous avons muré les moments mêmes qui rendent les relations mémorables…
Cette idée que la vulnérabilité est une menace plutôt qu’une invitation a créé une culture de l’hésitation, où les hommes tournent autour de l’intimité sans jamais y entrer. Il en résulte des milliers de petits silos. Tout le monde fait semblant d’être proche, mais personne ne fait le premier pas pour créer des liens. Isolement. Solitude. Une soif de contact qui n’a nulle part où se poser…
Mais bien sûr, le Times ne semble pas penser que les femmes soient le moins du monde responsables de cette situation. Au contraire, il continue à rejeter la faute sur les autres :
Voici donc ce que je vais vous dire : vous nous manquez. Pas seulement à moi, mais au monde que vous avez contribué à façonner…
Nous nous souvenons de vous. De la version de vous qui s’attardait à table. Qui riait de bon cœur. Qui posait des questions et attendait les réponses. Qui touchait sans prendre. Qui écoutait – vraiment écoutait – quand une femme parlait.
Vous n’êtes pas partis, mais votre présence s’amenuise. Dans les restaurants, dans les amitiés, dans les rituels lents de l’émergence romantique. Vous vous êtes retiré, non pas dans la malveillance, mais dans quelque chose de plus doux et de plus dur à la fois : l’évitement. L’épuisement. Le délabrement.
Peut-être que personne ne vous a appris à rester. Peut-être avez-vous essayé une fois, et cela vous a fait mal. Peut-être que le monde vous a dit que votre rôle était de subvenir aux besoins, d’agir, de protéger, et de ne jamais ressentir…
Écoutez, messieurs, votre manque de participation commence à stresser les femmes. Admettez simplement que vous ne supportez pas l’intimité. Admettez simplement que vous ne supportez pas ces femmes « puissantes », leur immense intelligence et leur génie émotionnel. Vous avez besoin qu’on vous apprenne à vous comporter, c’est tout. Rampez vers elles et elles seront prêtes à vous tolérer à nouveau. N’est-ce pas gentil ? Elles vous donnent une seconde chance…
À aucun moment l’auteur ne se demande POURQUOI les hommes sont épuisés. À aucun moment elle ne demande à des hommes ce qu’ils pensent ou ressentent avant d’écrire son pamphlet absurde. Derrière une prose insupportable et fleurie, elle continue de blâmer les hommes tout en leur demandant de revenir. Cela devrait vous en dire long sur le féminisme en général.
Je poserais aux féministes la question à un million de dollars qu’elles ont évitée pendant si longtemps : avez-vous envisagé la possibilité que les hommes vous ignorent et ne s’engagent pas avec vous parce que VOUS êtes le problème ? La réponse est non, évidemment.
Je suis un homme d’une quarantaine d’années qui a heureusement échappé à l’essentiel du « wokisme » dans le monde des rencontres, mais je pense pouvoir encore expliquer au NYT pourquoi les hommes s’en vont s’ils sont prêts à écouter.
- Tout d’abord, je dois dire qu’un auteur de sexe féminin quinquagénaire qui aspire encore à des rencontres occasionnelles dignes d’une sitcom comme si elle avait 20 ans en dit long sur l’aveuglement des femmes modernes. La vie réelle n’est pas Sex In The City : la plupart des hommes aisés ne sont pas attirés par des relations à long terme avec des femmes qui ont atteint l’âge de leur grand-mère. Elle devrait déjà être dans une relation heureuse ou mariée, elle a eu tout le temps de le comprendre. Le féminisme a fait croire aux femmes qu’elles pouvaient mener leur vie comme elles l’entendaient. Ce n’est pas le cas.
- Les hommes se méfient particulièrement des femmes qui ont un passé. Les femmes sont à l’origine de 70 % des ruptures et des divorces, et l’influence du féminisme sur le droit de la famille a rendu le divorce plus facile et plus lucratif que jamais pour les femmes. Plus une femme est âgée, plus elle a de bagage et moins un homme sera enclin à vouloir sortir avec elle sérieusement, et encore moins à lui passer la bague au doigt. Les femmes occidentales ont appris qu’elles devaient faire la fête dans leur vingtaine, puis rechercher une relation sérieuse dans leur trentaine ou leur quarantaine. Cela signifie qu’elles ignorent leurs meilleures perspectives pendant au moins une décennie. Leur idéologie les pousse à entrer sur le marché des relations amoureuses lorsque leur valeur matrimoniale est la plus faible.
- Les hommes ne tolèrent plus le concept de la révolution sexuelle. Ils ne veulent pas prendre de risques avec des femmes qui considèrent la promiscuité comme une vertu. Ils savent que, statistiquement, les femmes qui couchent à droite à gauche manquent de discernement, de capacité à créer des liens, de respect de soi et de stabilité mentale. Entamer une relation avec une telle personne ne peut mener qu’au désastre. Elles ne restent jamais heureuses longtemps (l’herbe est toujours plus verte ailleurs). Les hommes restent donc chez eux. Vous voulez les reconquérir ? Limitez le nombre de vos conquêtes.
- Les féministes de la troisième vague ont passé la majeure partie des 20 dernières années à dire aux hommes qu’ils étaient purement mauvais parce qu’ils étaient masculins et qu’ils voulaient courir après les femmes. Les hommes ont donc fait ce que vous leur avez demandé : ils ont cessé de vous courir après. Ils ont trouvé d’autres activités plus intéressantes, comme leur carrière et leurs loisirs. Si vous voulez que les hommes reviennent, vous devriez peut-être vous excuser pour toutes ces années de calomnie.
- Les femmes modernes ont largement surestimé l’utilité du sexe comme moyen de troc pour s’assurer les faveurs d’un homme. Si vous voulez qu’un homme reste à vos côtés, vous devrez lui montrer de l’amour et du respect, pas seulement ce qu’il y a dans votre pantalon.
- Les hommes sont beaucoup plus conditionnés à être seuls que les femmes. Les femmes sont des créatures sociales. Elles ont besoin d’interactions constantes, d’affirmation et d’appartenance à un groupe. Les réseaux sociaux peuvent combler ce vide pendant un certain temps, mais ils ne peuvent pas leur donner ce qu’elles veulent vraiment : une attention personnelle et intime 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Seuls un partenaire et des enfants peuvent vous donner cela. Dans une bataille pour savoir qui peut supporter la solitude le plus longtemps, les hommes gagneront, alors ne faites pas de cette bataille une guerre.
- Je vais vous révéler le plus grand secret que les femmes modernes ne comprennent toujours pas : elles prétendent que les hommes ont peur de les aborder. Elles disent que les hommes d’aujourd’hui sont « faibles » et qu’ils ne peuvent pas faire face à la nouvelle ère des « boss babe ». Elles affirment que les hommes doivent abandonner leurs rôles masculins traditionnels et se comporter de manière plus féminine, ce qui faciliterait la cohabitation. Ce sont des coups bas courants portés à l’ego masculin, destinés à faire honte aux hommes qui prennent leurs distances avec les féministes. En réalité, les hommes accordent plus d’importance à une chose qu’à toute autre : la paix. Si vous ne pouvez pas offrir la paix, aucun homme qui a un peu d’amour-propre n’aura besoin de vous. Les féministes offrent le contraire de la paix, elles n’ont donc aucune valeur.
- Le féminisme, comme tous les mouvements marxistes, est obsédé par le pouvoir. Tout ce qu’il fait est motivé par un désir de pouvoir et de contrôle, non seulement sur sa propre vie, mais aussi sur le monde qui l’entoure. Les femmes modernes disent vouloir le même pouvoir que les hommes, mais elles doivent accepter que, même si la balance penche en leur faveur grâce aux lois, aux subventions gouvernementales, aux bourses universitaires faciles, à l’embauche DEI et aux divorces injustes, elles ne seront jamais comme les hommes.
L’auteur suggère que les hommes ne façonnent plus le monde parce qu’ils ont abandonné la dynamique relationnelle actuelle. C’est absurde. Les hommes continuent de façonner tout ce qui vous entoure. Tous les services publics, tous les produits de première nécessité, tous les gouvernements, presque toutes les entreprises, votre sécurité, votre liberté, tout dépend des hommes. Vous n’avez aucun pouvoir et vous n’en aurez jamais.
L’émancipation féministe est un fantasme fondé sur un levier institutionnel que les hommes leur PERMETTENT d’avoir. Tant qu’elles continueront à convoiter un pouvoir qu’elles ne peuvent ni comprendre ni gérer, les divisions entre les hommes et les femmes ne seront pas résolues. En bref, si les féministes veulent que les hommes leur accordent à nouveau leur attention, elles devront cesser d’être féministes.
Brandon Smith
Traduit par Hervé pour le Saker Francophone
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