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Le 29 octobre, c’est la Journée mondiale de l’Accident vasculaire cérébral, une pathologie très fréquente, et potentiellement grave. « Mais il y a des moyens d’agir en amont et lorsqu’il se produit », affirme le docteur Jérémie Dassa, neurologue et responsable de l’Unité neuro-vasculaire au centre hospitalier Emile-Roux au Puy-en-Velay.
Propos recueillis par Isabelle Devoos - 29 oct. 2025 à 06:00 | mis à jour le 29 oct. 2025 à 07:17 - Temps de lecture :
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Le Dr Jérémie Dassa, neurologue et responsable de l’Unité neuro-vasculaire au CHER, invite à télécharger l’application Riskometer : «Elle permet de calculer précisément son risque d’AVC à partir d’informations personnelles ». Photo Isabelle Devoos
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Vendredi, Journée mondiale de l’AVC, autour du Dr Jérémie Dassa, médecin au CHER, plusieurs personnels et associations ont répondu aux questions du public dans le hall de l’hôpital. Photo Isabelle Devoos
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Dr Jérémie Dassa, médecin au CHER. Photo Isabelle Devoos
« Il faut d’abord se dire qu’on peut tous être acteur de notre santé. Dans le cas de l’AVC, le premier facteur le plus puissant est l’hypertension artérielle. Il faut donc contrôler sa tension régulièrement pour être sûr qu’elle soit en dessous de 13 / 8. Pour cela on peut passer chez le pharmacien de temps en temps. L’hypertension artérielle est très insidieuse, très sournoise, très silencieuse. 50 % des hypertendus s’ignorent. On peut agir aussi en surveillant l’apparition d’un diabète, d’un mauvais cholestérol et surtout en modifiant ses habitudes de vie. Pratiquer une...
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