Pierre-Édouard Stérin, milliardaire et initiateur du projet politique « Périclès », ne s’est pas présenté à sa convocation devant la Commission d’enquête parlementaire sur l’organisation des élections en France, présidée par Thomas Cazenave et avec Antoine Léaument comme rapporteur. Cette absence s’est produite le 14 mai 2025, après une première défection le 23 avril 2025. Stérin a invoqué des « raisons de sécurité » et des « menaces de mort » (sic) pour justifier sa demande d’audition en visioconférence, une requête rejetée par la commission qui insistait sur une présence physique. En raison de ce refus, il a été reconvoqué pour le 20 mai 2025, avec la menace de poursuites judiciaires (jusqu’à 2 ans d’emprisonnement et 7 500 euros d’amende) s’il ne se présente pas.

Ces refus de se présenter devant des commissions d’enquête, comme ceux d’Alexis Kohler et Pierre-Édouard Stérin, alimentent un sentiment de mépris des institutions en France. Kohler, secrétaire général de l’Élysée, a décliné une convocation en décembre 2024, invoquant son agenda, tandis que Stérin, le 14 mai 2025, a justifié son absence par des raisons de sécurité. Ces défections, très médiatisées, renforcent l’impression d’une élite qui se place au-dessus des obligations démocratiques et un effondrement de l’État !

C’est le résultat de 8 ans de règne d’Emmanuel macron en France, un véritable désastre.