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Un juge fédéral a temporairement suspendu une loi controversée de l’Idaho, qui aurait exigé la vérification du statut d’immigration des personnes souhaitant accéder aux traitements contre le VIH via un program financé par le gouvernement fédéral. Cette décision intervient alors que la loi devait entrer en vigueur ce 1er juillet.
Décision de Justice : Une Victoire pour l’Accès aux Soins
Selon les documents judiciaires, un juge de district américain a émis une ordonnance d’urgence dans l’affaire Davids contre Adams. Cette ordonnance empêche l’État de mettre en œuvre des vérifications d’immigration pour les patients du programme Ryan White, un programme essentiel qui fournit des médicaments vitaux contre le VIH aux personnes à faible revenu.
L’Idaho ACLU a salué cette décision, affirmant qu’elle “protège les patients en interdisant l’interruption de l’accès aux médicaments vitaux contre le VIH par le biais du programme Ryan White”.
Les Plaignants : Patients et Médecins Unis
Cinq patients séropositifs et un médecin ont intenté une action en justice pour contester le projet de loi 135 des représentants de l’Idaho. Les patients, identifiés uniquement par leurs initiales (KP, NR, FF, Jaog et john Doe) pour protéger leur vie privée, sont des immigrants sans papiers qui bénéficient actuellement d’une thérapie antirétrovirale grâce au programme Ryan White.
le Dr Abby Davids, qui soigne des immigrants et des réfugiés nouvellement arrivés et atteints du VIH, s’est jointe à la plainte aux côtés des patients.
Les Enjeux de la Loi Contestée
Le projet de loi 135 aurait obligé le ministère de la santé et du Bien-être de l’Idaho à vérifier le statut d’immigration des individus avant de leur accorder des avantages de certains programmes financés par des fonds fédéraux, y compris le programme Ryan White. Auparavant, le statut d’immigration n’était pas un obstacle à l’obtention d’un traitement contre le VIH dans le cadre de ce programme.
Les plaignants ont fait valoir qu’ils ne pouvaient pas fournir de preuves suffisantes de leur statut d’immigration et qu’ils risquaient de perdre l’accès aux médicaments qu’ils reçoivent tous les 30 jours.
Arguments Juridiques et Risques Sanitaires
Le juge a exprimé de sérieux doutes quant à la compatibilité de la loi