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La démarche de Tedros Adhanom Ghebreyesus, DG de l’OMS, contactant Robert Fico pour demander à la Slovaquie de ne pas exiger un vote sur l’accord pandémique, est très problématique. À la veille d’un vote crucial, une telle intervention peut être vue comme une pression indue, surtout sur la souveraineté nationale, un point sensible pour la Slovaquie de Robert Fico. Bien que les discussions diplomatiques soient courantes, contourner un processus démocratique comme un vote soulève des questions éthiques. Cette action risque de renforcer la méfiance envers l’OMS, déjà critiquée pour sa gestion passée. La Slovaquie a maintenu sa position, s’abstenant lors du vote du 19 mai 2025. Cela souligne les tensions entre gouvernance mondiale et souveraineté étatique.
On comprend mieux pourquoi le 15 mai 2024, Robert Fico a été victime d’une tentative d’assassinat à Handlová, où il a été grièvement blessé par balles à 4 reprises, touché au ventre et à la poitrine. La Slovaquie, lors du vote sur l’accord pandémique de l’OMS le 19 mai 2025, s’est abstenue. 124 pays ont voté en faveur de l’accord, aucun contre, et 11 pays, dont la Slovaquie, se sont abstenus.
L’accord pandémique de l’OMS voté hier vise à renforcer la coopération mondiale pour mieux gérer les futures pandémies, mais son efficacité est discutable face aux intérêts de Big Pharma, voire nulle pour être franc. Les laboratoires, ayant vendu des vaccins COVID à 19 € l’unité malgré des commandes de milliards de doses, privilégient toujours le profit sur l’équité ou la sécurité, ce qui pourrait limiter l’accès aux traitements dans les pays pauvres. La souveraineté des États, comme le craint la Slovaquie, risque d’être affaiblie par des mécanismes supranationaux. Sans garanties strictes sur la transparence et l’équité, l’accord favorisera encore les géants pharmaceutiques plutôt qu’un monde plus sûr.
ENTRETIEN TÉLÉPHONIQUE AVEC LA DIRECTION DE L’ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ
Il y a quelques minutes, j’ai reçu un appel téléphonique du directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, qui m’a demandé que le gouvernement de la République slovaque change sa position et ne demande pas de vote sur l’accord sur la pandémie, qui doit avoir lieu plus tard dans la soirée. J’ai réitéré que la délégation slovaque est liée par l’instruction du gouvernement slovaque de demander un vote sur l’accord sur la pandémie. Le Premier ministre de la République slovaque s’étonne des tentatives visant à contourner une institution démocratique fondamentale : le vote. Si un vote a lieu, la délégation slovaque a reçu pour instruction de ne pas soutenir l’accord sur la pandémie, car il porte atteinte au principe de souveraineté des États membres et empiète de manière disproportionnée sur la sphère des droits de l’homme.