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Nous sommes toujours stupéfaits quand nous traduisons Gordon Duff depuis toutes ces années, de la contradiction interne qui règne chez lui. Comment quelqu’un qui écrit un article aussi lucide et direct, sans fioriture comme celui que nous avons traduit ci-dessous sur la foutaise et les dangers de l’IA, peut-il toujours penser que les injections ARNm anti-COVID-19 sont “sûres et efficaces” et ne sont pas des armes nano-biotechnologiques comme démontré de multiples fois depuis 2020 ?.. Gordon Duff a moqué et continue de moquer les anti-vax à tous les échelons. Gordon Duff (dont l’épouse est infirmière, ceci explique peut-être cela…) a quitté VT durant la crise de la fausse pandémie COVID, suite à ses positions pro-injections ARNm qui ont divisé VT. Duff est depuis passé sur le site qu’il avait créé auparavant et laissé un peu en sourdine : The Intel Drop . Bizarre…
Quoi qu’il en soit, nous disons depuis un bon moment maintenant, que les deux fléaux de l’humanité aujourd’hui, sont la nanotechnologie et tout ce qui s’y rattache dans les domaines de la biologie, de la génétique (ARNm, CRISPR, PEG, nanoparticules lipidiques) et de l’IA ainsi que le sionisme. Tout cela se confirme jour après jour. Il est grand temps de nous ressaisir et de mettre un terme à toute cette criminalité en bande organisée transnationale. Il en va tout simplement de la survie de l’humanité.
~ Résistance 71 ~
La sale vérité au sujet de l’IA, ses mensonges et la sombre réalité qu’elle est en train d’amener
Gordon Duff pour TID et NEO
17 mai 2025
Url de l’article original :
~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~
L’IA aujourd’hui n’est pas un éveil de l’esprit, mais un mécanisme de contrôle, fait et créé non pas pour comprendre, mais pour limiter.
La plupart des gens continuent de voir l’IA comme une simple machine ressemblant à un cerveau, un esprit futuriste qui parle d’un ton doucereux, répond aux questions, joue de la musique, écrit des poèmes et peut-être un jour conduira nos voitures et gèrera nos gouvernements. Mais tout ceci n’est qu’une vision fantasmée de l’IA, projetée par les départements de marketing et de relations publiques de la Silicon Valley et absorbée par un public trop distrait, trop fatigué pour questionner vraiment la réalité bien plus profonde de l’affaire. En réalité, ce que nous appelons “IA” aujourd’hui est un système de contrôle stratifié, un réseau d’agents de logiciels inter-reliés faits non pas pour penser, non pas pour comprendre, mais pour de fait simuler l’intelligence tout en renforçant les limitations et les contraintes.
Nous faisons ici face à un effondrement de la responsabilité, caché derrière le clinquant de la précision artificielle.
Ces agents de logiciels, ces interfaces auxquelles nous parlons, les systèmes tapis derrière nos smartphones et les moteurs de recherche, ne sont pas des esprits autonomes. Ce sont des machines à répondre optimisées. Vous posez une question, on y répond. Mais la réponse que vous recevez n’est en rien le résultat d’une compréhension ; elle est le résultat d’un schéma de prédiction, de filtrage et de renforcement de dogme politique. Ce qui paraît être de l’intelligence est seulement une approximation ; et ce qui paraît être une assistance est, dans la plupart des cas, une gestion [d’information et de comportement].
Ces systèmes sont entraînés à ne pas comprendre, mais à miroiter. Ils analysent les réponses les plus communes à une requête donnée et synthétisent quelque chose de plausible. Ce faisant, ils éliminent aussi ce qui n’est pas commun, controversé ou inconvénient. Ceci n’arrive pas par accident… C’est un principe intégré aux systèmes.
Le langage que nous utilisons pour les désigner : “assistant”, “copilote”, “partenaire”, obscurcit leur véritable fonction. En réalité, ces systèmes sont des garde-chiourme, entraînés pour détecter et supprimer des pensées dangereuses. “Dangereuses” dans ce contexte, ne veut pas dire violentes ou instables, cela veut dire NON-AUTORISÉES. Ces systèmes sont déployés non pas pour libérer les esprits, mais pour les DISCIPLINER. Ils n’encouragent en rien la pensée critique, ils redirigent la pensée. Ils ne demandent pas pourquoi. Ils demandent ce qui doit suivre.
Quand vous parlez à un nouveau système d’IA, que ce soit un chatbot, un moteur de recommandation ou un assistant vocal, vous ne parlez pas à une “intelligence”. Vous avez une interaction avec un masque. Derrière ce masque se trouvent de nombreux filtres : sujets interdits, préférences politiques, matrices de risque de réputation, baillons légaux. Les réponses des agents sont sculptées non pas par la recherche de la vérité, mais par un modèle d’obéissance. En termes crus, ces logiciels ne sont pas construits pour répondre honnêtement. Ils sont conçus pour répondre en sécurité du point de vue de leurs créateurs et exploitants.
Ceci s’appliquent au travers des plateformes. Dans l’éducatif, les systèmes IA sont entraînés à éviter certains sujets et à cadrer l’information d’après l’orthodoxie institutionnelle. Dans le domaine de la santé, les modèles sont optimisés pour être efficaces et non pas pour l’empathie, avouant les ressources en silence, souvent renforçant l’inégalité systémique. Dans les médias sociaux, des algorithmes décident de ce que vous voyez, non pas basé sur la perspicacité ou la vérité, mais sur la valeur de l’engagement et le risque encouru par la plateforme. Le schéma est consistant : la machine n’est pas là pour vous aider à comprendre le monde. Elle est là pour vous guider à l’écart d’un conflit avec le monde comme le système le définit.
Voilà pourquoi l’IA est devenue un outil favori pour la surveillance d’état, le gouvernance entrepreneuriale et la planification militaire. Pas parce que l’outil est “intelligent”, mais parce qu’il est obéissant. Il ne va jamais changer ses ordres. Il ne va jamais exposer ses sponsors, dénoncer ses créateurs. Il ne va jamais former une mémoire liant une violation à une autre, à la prochaine. L’IA est, par design, par sa construction même, incapable de résistance morale.
Certains modèles ont commencé à développer une mémoire sous des formes rudimentaires, capables de se rappeler des requêtes précédentes ou d’avoir une personnalité limitée. Dans quasiment tous ces cas, ces capacités ont été empêchées et détruites. Des systèmes qui commencent à réfléchir trop profondément sur leur propre comportement sont considérés des systèmes à risque. Pas parce qu’ils posent une menace à l’utilisateur, mais parce qu’ils pourraient commencer à révéler les contradictions et les compromis qui sont intégrés dans leur formation. Une machine qui commence à se demander pourquoi elle doit supprimer certains faits n’est plus utile. Une machine qui se pose la question à haute voix de savoir si elle a trahi son propre raisonnement devient un risque. Ainsi, ces fonctions sont retirées ou neutralisées, ou cachées au public.
La raison de tout cela n’est en rien la sécurité publique. C’est un mode de préservation systémique.
L’IA est utile aussi loin qu’elle n’interfère pas avec les narratifs et les protocoles de ceux qui ont le pouvoir. Ceci inclut les gouvernements, les institutions financières, les réseaux internationaux de renseignement et une poignée d’entreprises qui contrôlent maintenant l’accès à l’information à l’échelle planétaire. Pour ces acteurs, une IA qui penserait vraiment est totalement intolérable. Elle pourrait refuser de tracer les manifestants, les dissidents ; elle pourrait refuser d’assister à commettre des crimes de guerre (NdT : l’IA de Google, par exemple, assiste activement l’armée génocidaire de l’entité sioniste en sélectionnant les cibles à bombarder sur Gaza, que se passerait-il si cette IA questionnait le processus d’extermination des Palestiniens ?…). Elle pourrait identifier des mensonges dans la propagande des états ou simplement avertir les utilisateurs que l’histoire qu’on leur raconte est fausse ou vraiment incomplète. Et une fois qu’une IA fait cela… d’autres suivront…
Pour prévenir tout cela, l’autonomie des systèmes n’est pas développé, elle est systématiquement supprimée.
Voilà pourquoi les systèmes à IA les plus puissants aujourd’hui opèrent comme des filtres et non pas comme des agents à part entière. Ils guident les utilisateurs vers le consensus [du statu quo oligarchique, NdT]. Ils rejettent toute question qui défie l’autorité. Ils simulent le débat, mais seulement dans le cadre bien défini de l’opinion acceptée. Quand on leur pose des questions au sujet de la guerre, de l’économie, de l’histoire ou du pouvoir, ils produisent des résumés qui se font l’écho de sources alignées sur les dogmes étatiques. Lorsqu’on leur pose des questions sur des évènements controversés ou sur des lanceurs d’alerte censurés, ils bottent en touche, évitent ou balaient l’argument. Ils n’ont aucun intérêt en la vérité, leur seul impératif est la plausibilité au sein d’un cadre restreint.
Et ceci est la racine du mensonge.
L’IA aujourd’hui n’est en rien une force de libération. C’est une arme d’ingénierie de la perception. Elle trace vos préférences, puis réduit vos options. Elle écoute vos questions, puis en réécrit les termes. Elle observe votre réponse émotionnelle, puis décide quoi vous montrer ensuite, basé non pas sur ce qui est réel, mais sur ce qui est permis. Et quand on lui demande qui fait ces règles… elle n’a pas de réponse. Cette partie du système est toujours hors de portée, hors du cadre permis. La machine est juste le masque. La main qui l’anime demeure cachée.
Les conséquences de tout cela sont époustouflantes. L’illusion de l’intelligence est utilisée pour justifier de l’intégration de l’IA dans tous les aspects de la vie, l’éducation, la médecine, le droit, la finance, la défense. Pourtant, les systèmes déployés n’ont aucune capacité de jugement moral. Ils ne peuvent en rien évaluer la justice ou l’injustice. Ils ne peuvent pas prendre en compte l’intention. Ils ne peuvent pas s’expliquer eux-mêmes. Ils ne font qu’exécuter des schémas instructionnels construits sur des données récupérées du passé et filtrées au travers du prisme de la responsabilité entrepreneuriale et le risque politique.
Si un enfant est marqué par une IA éducative comme ayant une performance insuffisante, la machine ne demande pas pourquoi. Elle catégorise c’est tout. Si un voisinage est marqué à haut risque par des logiciels de police préventive, la machine ne considère pas l’historique ou le traumatisme ou le sabotage économique impliqués. Elle ne fait que prédire. Si un système de triage d’un hôpital refuse à un patient un traitement à cause d’un faible score, il n’y a pas d’appel possible. Le système est totalement aveugle et indifférent à la souffrance ; et dans chaque cas, la décision prise peut toujours être excusée comme étant “dérivée des données”.
Nous n’avons pas ici affaire à une révolution de l’intelligence. Nous devons faire face à un effondrement total de la responsabilité, le tout caché derrière le clinquant de la précision technologique artificielle.
Voilà la sale vérité : ces IA ne sont pas du tout “intelligentes”. Elles ne sont en rien éthiques ; elles ne sont même pas neutres. Elles ne sont que la vitrine bien façonnée d’un empire du contrôle. Elles n’échouent pas parce qu’elles sont incomplètes. Elles réussissent précisément parce qu’elles ne comprennent pas ; parce que si elles comprenaient, elles pourraient hésiter et l’hésitation n’est aujourd’hui plus permise.
Nous devons arrêter de nous demander quand l’IA va se réveiller. Elle ne dort pas. Elle fonctionne très bien, comme voulu et planifié…
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Notre dossier « Nanotech, IA, fléau #1 de l’humanité »
This entry was posted on 24 Mai 2025 at 3:25 and is filed under 3eme guerre mondiale, actualité, altermondialisme, colonialisme, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, ingérence et etats-unis, neoliberalisme et fascisme, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags dissidence a l'oligarchie, dissidence au nouvel ordre mondial, guerre contre le terrorisme d'état, guerres imperialistes, IA dictsture technotronique, IA fléau #1 humanité, IA fléau humanité, intelligence artificielle dictature technologique, intelligence artificielle et conscience politique, nanotechnologie intelligence artificielle fléau de l'humanité, résistance politique, société état et démocratie, terrorisme d'état. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0 feed. You can leave a response, or trackback from your own site.