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La pièce qui tourne mal: une production hors de l’ordinaire

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MAGAZINE. Pour célébrer les 10 ans de sa collaboration avec la Maison des arts, Monarque frappe fort avec La pièce qui tourne mal, une production hors norme qui a fait le tour de la planète. Les spectateurs peuvent s’attendre à encore plus de rires, encore plus de plaisir et … encore plus de surprises!

Mario Provencher et André Robitaille de Monarque ont travaillé fort pour obtenir la licence de The Play That Goes Wrong. «On a vu le spectacle en 2018 à New York. On a tripé sur le show. On a extrapolé dans notre tête si on était capable de faire ce spectacle-là. Ça commence de même. Il faut avoir un coup de cœur», dit André Robitaille.

Celui-ci a immédiatement été charmé par le côté comique de la pièce de théâtre. «C’est vraiment une machine efficace, magnifique et très originale aussi. On aime les shows performants, où l’acteur se donne. On aime que les gens de Drummondville puissent applaudir des acteurs qui sont généreux sur scène», soutient-il.

Le soir même, le duo a contacté l’équipe de The Play That Goes Wrong, établie à Londres, pour avoir les droits de la pièce. Plusieurs années se sont écoulées avant que Monarque ait le feu vert.

«Tous les producteurs au Québec ont fait une demande pour l’avoir. Ce qui a fait qu’on l’a eue après tant d’années, c’est la rigueur des productions qu’on a faites dans le passé, la qualité de ce qu’on a présenté et l’achalandage qu’on réussit à avoir partout au Québec. On s’est tous serré la main pour une première collaboration ensemble. On espère que ce ne sera pas la dernière parce que ces auteurs sont très prolifiques et inspirants», souligne Mario Provencher.

Mario Provencher et André Robitaille sont les fondateurs de Monarque. (Photos gracieuseté Dominic Gouin)

Soulignons que Monarque a présenté à Drummondville plusieurs pièces à saveur internationale, dont Le Dîner de cons, Le père Noël est une ordure et Laurel et Hardy.

En se lançant dans une telle aventure, Mario Provencher et André Robitaille ont éprouvé un sentiment de joie, tout en ressentant un certain vertige. Pour la première fois, ils s’attaquaient à un «replica», c’est-à-dire une pièce présentée essentiellement en format original.

«D’habitude en création, on est dans le vide. On part de zéro et il faut tout inventer, tandis que là on a un manuel d’instructions. C’est vraiment un gros luxe. Peut-être que ça peut être contraignant pour certains. Nous, on adore ça. Ça nous permet d’aller plus vite dans certaines étapes où on perd du temps. On a un bon support avec l’équipe de Londres.»

Résultat : les spectateurs de la Maison des arts de Drummondville vivront une expérience semblable à celles vécues à New York, Londres, Sydney ou Hong Kong.

Hors norme

La pièce qui tourne mal est une production hors norme. «Il y a huit acteurs qui sont très sollicités, fait savoir André Robitaille. Le décor est un personnage en soi. Ce n’est pas juste des portes et un escalier. C’est une machine qu’on va avoir en coulisse pour faire des surprises, pour faire rire et pour faire en sorte que la pièce tourne mal.»

Lors de l’entrevue, en mai dernier, le metteur en scène était en pleine répétition avec les membres de la distribution. «Quand on part avec les acteurs pour un quinze minutes sans arrêt, on se dit que ce show-là va être malade pendant une heure et demie. Déjà, on l’a sous le nez. La performance va être applaudie à tout instant», assure-t-il.

Monarque a réuni une distribution cinq étoiles pour donner vie à la pièce, soit Fabien Cloutier, LeLouis Courchesne, Guillaume Lambert, Pierre-François Legendre, Olivia Palacci, Rémi-Pierre Paquin, Julie Ringuette et Jonathan Roberge. C’est la première fois que la pièce sera adaptée en français.

En résumé, les spectateurs atterriront dans un manoir de campagne où un meurtre est survenu. Un inspecteur est chargé de l’affaire pour trouver le coupable. L’intrigue est confiée aux comédiens maladroits de la Cornley Drama Society et rien ne se passe comme prévu.

«La troupe de théâtre persiste à faire l’enquête. Il y a une porte qui lâche. Il y a un accessoire qui tombe. Il y a un acteur qui oublie son texte. Il y a le feu qui prend. Il y a un mur qui tombe. Je pourrais continuer la liste. Aux 40 secondes, il arrive un accident tout le temps. Le comique vient de là», indique André Robitaille.

Dixième anniversaire

Les cofondateurs de Monarque sont fiers de collaborer avec la Maison des arts depuis maintenant dix ans, à l’occasion du théâtre d’été. «La longévité dans cette job-là est rare. Ça veut dire beaucoup de collaboration intime et étroite avec les gens de Drummondville, Marie-Pierre Simoneau et son équipe. C’est exceptionnel. On est complice dans la vie et on est complice en affaires. On est sur la même planète. Les gens de Drummondville nous laissent essayer et tester. Sur le marché, on se lance dans de gros projets. On est un peu fou. Ça plait à nos collaborateurs qui sont à Drummondville.»

André Robitaille tient également à souligner la qualité technique de la Maison des arts, que ce soit sur la scène ou l’arrière-scène. «On peut aller au bout de nos ambitions quand on est bien équipé.»

Monarque entrevoit l’avenir avec beaucoup d’optimisme. «On va continuer de surprendre. Chaque fois qu’on a un flash, on se dit que c’est tellement différent de l’année passée. Ça nous plait. Je pense que le public aussi. Il nous suit là-dedans», conclut Mario.

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