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LA NORMALISATION DE LA MORT EN TÊTE DE FILE D’UN GÉNOCIDE MODERNE

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mai 09, 2025

L’argumentation en faveur de la légalisation de l’euthanasie, défendue sous le prisme de la compassion et du droit à mourir dans la dignité, semble à première vue répondre à un besoin humanitaire. Toutefois, cette façade bienveillante masque une réalité bien plus sombre avec un projet législatif aux implications profondément inquiétantes. Derrière ces discours de liberté individuelle se cache en réalité une tentative préméditée de meurtre en bande organisée, orchestrée par des parlementaires dont l’intégrité morale et politique est mise à mal par des intérêts financiers et idéologiques obscurs.

Le débat sur l’euthanasie dépasse largement la question du choix personnel car il s’agit d’une dérive sociétale qui ouvre la porte à une culture de la mort, où la fragilité humaine devient un fardeau que l’État prédateur et désormais assassin, semble vouloir éliminer. Derrière les discours enjôleurs, se cache un projet législatif qui vise non pas à soulager la souffrance humaine, mais bien à ouvrir les portes de la mort à des individus dérangeants en tous points pour les gouvernants. Car plus qu’une simple loi, c’est un processus aussi ignoble qu’insidieux où la dignité humaine et la valeur de la vie sont sacrifiées sur l’autel de la rentabilité et du contrôle social.

L’idée de supprimer les vies humaines jugées « inutiles » ou « dérangeantes » pour la société ne date pas d’hier puisqu’elle s’inscrit directement dans la logique totalitaire du nazisme, où l’État se donnait le pouvoir absolu de décider qui méritait de vivre ou non. L’initiative d’instituer l’euthanasie légale trouve des échos inquiétants dans l’histoire sombre du 3ème Reich, où l’État nazi, sous le prétexte d’une prétendue « hygiène raciale » et de la quête d’une société « pure », a mis en place des programmes d’euthanasie massifs visant les personnes handicapées, malades mentales, et autres individus considérés comme « indignes de vivre ». Aujourd’hui, les défenseurs de l’euthanasie légalisée, bien qu’officiellement non nazis, résonnent d’une manière similaire, en transformant la souffrance humaine en une question de « rentabilité » et de « dignité » individuelle.

De plus, en légalisant la mort volontaire, on glisse insidieusement vers une normalisation de l’idée qu’une vie humaine peut être considérée comme un fardeau plutôt qu’un droit inaliénable. Ce parallèle avec le système nazi n’est pas anodin car tout comme le Troisième Reich a utilisé des arguments de pureté et d’efficacité pour justifier des meurtres systématiques, aujourd’hui certains argumentent qu’une vie souffrante, coûteuse, ou jugée « non productive » mérite de prendre fin dans l’intérêt collectif.

Cette dérive a des racines profondes dans une logique d’État froid et déshumanisé, où la valeur de la vie humaine se mesure à son utilité sociale, un raisonnement qui rappelle tragiquement celui de l’eugénisme d’État du 20ème siècle. Et Yuval Noah Harari, bien qu’il n’ait pas explicitement déclaré que les « bouches inutiles » doivent être éliminées, a souvent abordé la question des individus jugés « improductifs » dans un futur dominé par la technologie. Selon lui, l’avancée de l’intelligence artificielle et de l’automatisation pourrait marginaliser une partie de la population, considérée comme « inutile » économiquement. Bien que ses propos soient centrés sur des enjeux technologiques et économiques, ils peuvent, à l’extrême, être interprétés comme une justification implicite de politiques radicales où certains individus seraient vus comme des fardeaux. Cette logique rejoint dangereusement les discours qui légitiment l’euthanasie, en réduisant la valeur de la vie humaine à son utilité sociale ou économique.

Le parallèle entre le Forum économique mondial (WEF) et les régimes totalitaires, notamment les nazis, est une comparaison qui peut être déroutante mais qui mérite d’être explorée, surtout lorsqu’on considère les racines historiques et les influences familiales de certains de ses membres. Beaucoup de figures influentes du WEF, tout comme dans d’autres sphères de l’élite mondiale, ont des liens familiaux avec des personnages du passé nazi. Bien que ces membres ne soient pas des nazis eux-mêmes, leurs antécédents familiaux et leur héritage idéologique soulèvent des questions sur la continuité de certaines mentalités d’élite, marquées par une vision utilitariste de l’humanité.

Le WEF, en prônant une gestion de plus en plus déshumanisée de la société et en soutenant des politiques de réduction de la population ou de « sélection » technologique, semble s’inscrire, à son échelle et dans un cadre global, dans cette même lignée où la dignité humaine peut être sacrifiée au nom du progrès, de la rentabilité et du contrôle. C’est là où le parallèle devient pertinent : ce sont les descendants intellectuels de ces élites – certains ayant des racines familiales directes avec les nazis – qui aujourd’hui mènent un discours sur une société où certaines vies humaines pourraient bien être jugées moins dignes d’être vécues.

Et ces mêmes élites, souvent liées à des héritages familiaux ou idéologiques controversés, semblent aussi soutenir indirectement des groupes néo-nazis, notamment le régiment Azov en Ukraine. Bien que ces groupes prétendent défendre des valeurs de souveraineté nationale, ils sont imprégnés d’une idéologie ultra-nationaliste et fasciste, glorifiant des symboles et des discours proches de ceux du IIIe Reich. Curieusement, certains membres influents du WEF, ainsi que d’autres figures de l’élite occidentale, ont exprimé leur soutien ou leur tolérance envers le gouvernement ukrainien, tout en fermant les yeux sur la présence et les actions de ces milices néo-nazies. Ce soutien tacite, voire direct, révèle une continuité dans les réseaux d’influence, où la manipulation géopolitique et les intérêts économiques surpassent les principes de dignité humaine et de justice. Les mêmes acteurs qui légitiment la réduction de la valeur de la vie humaine sous couvert de « progrès » sont souvent les mêmes qui ferment les yeux sur les atrocités commises par ces groupes d’extrême droite, poussant ainsi une logique de violence et d’oppression digne du 3ème Reich sous un vernis de « liberté » et de « démocratie ».

Ainsi, la légalisation de l’euthanasie, loin d’être une démarche isolée ou simplement une évolution législative « humaine », s’inscrit dans un processus plus large et inquiétant où la société semble de plus en plus valoriser la mort et la violence sous toutes leurs formes, allant de l’acceptation légale de la fin de vie volontaire à des pratiques médicales de plus en plus controversées. Ce phénomène trouve des racines profondes dans une idéologie qui cherche à normaliser le meurtre, à le dissimuler sous un voile de compassion et de progrès, tout en bannissant toute forme de réflexion sur les conséquences morales, éthiques et humaines de ces pratiques.

Le premier signe de cette dérive est la reconnaissance constitutionnelle de l’avortement, un acte qui, en supprimant la vie d’un être humain en devenir, insinue que la vie humaine, au-delà de certaines conditions, peut être jetée de côté sans conséquence. Cette inscription dans la Constitution, bien qu’elle soit défendue sous l’angle des droits des femmes, marque un point de bascule où l’on accorde un pouvoir absolu à l’individu pour décider de la vie d’un autre, à l’encontre de l’essence même de la protection de la vie. On passe ainsi de la « liberté de choix » à une banalisation de la mort, où la vie elle-même devient conditionnelle à des facteurs extérieurs comme la volonté personnelle ou le confort sociétal.

L’euthanasie, en tant que prolongement de cette logique, va encore plus loin en légalisant la possibilité de mettre fin à la vie humaine, cette fois chez des individus conscients, souvent vulnérables, qui, dans une société plus juste et plus attentive à leurs besoins, n’auraient jamais été poussés à choisir la mort. Cette légalisation de la fin de vie, qu’elle soit choisie ou imposée par l’environnement social, médical et économique, ouvre la voie à une culture où la mort est perçue comme une « solution » acceptable à la souffrance, une tragédie qui n’aurait pas lieu d’être dans un monde véritablement respectueux de la dignité humaine.

Pire encore, ce processus s’accompagne de pratiques médicales de plus en plus abjectes, comme l’administration d’injections de Rivotril aux personnes âgées dans certaines maisons de retraite, une forme de « mort douce » déguisée sous des apparences médicales, qui évoque clairement les dérives du passé. Le Rivotril, administré en grandes doses à des personnes âgées souvent malades et fragiles, devient un instrument de la mort déguisée en « soulagement », une tentative pour se débarrasser de ceux qui sont perçus comme un fardeau pour la société. Ce n’est plus simplement une question de traitement médical, mais un moyen insidieux de faire disparaître les « indésirables », comme si la société en avait assez de la vieillesse et de la souffrance, et choisissait de les éliminer plutôt que de les accompagner dignement.

Enfin, le même raisonnement est appliqué aux pratiques vaccinales, particulièrement avec les injections massives de vaccins administrées aux enfants, parfois dès leur naissance. Si les vaccins, dans une intention bienveillante, cherchent à protéger contre des maladies, l’approche globale de santé publique actuelle semble parfois plus préoccupée par le contrôle et la gestion des vies humaines que par leur protection. Des critiques ont émergé concernant la manière dont ces injections, imposées à grande échelle sans suffisamment de considération pour les conséquences à long terme, peuvent être perçues comme une forme de contrôle social déguisé, voire de gestion « sélective » de la population. C’est un autre aspect de cette même logique où la vie est de moins en moins vue comme un bien précieux et inaliénable, mais comme une ressource à gérer, à optimiser, à contrôler – même par des moyens potentiellement dangereux.

Ainsi, la loi sur l’euthanasie s’intègre parfaitement dans cette dynamique inquiétante où la mort est non seulement acceptée, mais même encouragée sous diverses formes. Cette banalisation progressive du meurtre, qu’il s’agisse de l’avortement, de l’euthanasie, des pratiques médicales douteuses envers les personnes âgées, ou encore des injections imposées à une population infantile, marque un tournant décisif dans l’histoire des sociétés modernes : celui où la vie humaine n’est plus considérée comme sacrée, mais comme une variable que l’on peut manipuler et sacrifier selon des critères d’efficacité sociale, économique ou politique. Derrière ces réformes se cache une vision du monde où l’individu, en particulier celui qui souffre, devient un simple outil à l’usage de la collectivité, et où la mort n’est plus un tabou, mais une réponse acceptable, voire nécessaire, à une « gestion » des vies humaines. Ce processus est un danger pour l’humanité, une dérive qui mène lentement mais sûrement vers une société où la mort ne sera plus qu’une option parmi d’autres, légitimée par la peur de la souffrance et le désir de contrôler la vie elle-même.

La législation sur l’euthanasie se présente comme une forme de « liberté » qui serait accordée aux individus en fin de vie. Cependant, ce discours oublie l’essentiel : l’individu qui choisit la mort n’est pas toujours dans une position de pleine liberté. Que ce soit en raison de pressions sociales, familiales, économiques, ou encore de l’abandon médical, la personne en souffrance est souvent poussée vers une décision irréversible qui la prive de toute possibilité d’espoir. En insistant pour légaliser l’euthanasie, les parlementaires ouvrent ainsi la voie à un « meurtre légal » où l’argument du choix libre devient un mirage. Une société qui en arrive à considérer que la mort est une solution acceptable à la souffrance humaine trahit ses valeurs les plus fondamentales.

Les députés qui soutiennent cette loi sont loin d’agir dans l’intérêt général ou pour le bien-être des citoyens. Loin de là. Le processus législatif, avec ses allers-retours politiques, ses discussions vides de sens et ses compromis cyniques, cache une réalité bien plus cruelle. Ces élus, souvent mus par des intérêts financiers ou idéologiques, tentent de dissimuler la véritable nature de la loi. Derrière cette façade humanitaire se cache en réalité un projet plus vaste de réduction des coûts sociaux. L’euthanasie pourrait en effet, dans une société où la gestion de la santé publique devient de plus en plus contraignante économiquement, se présenter comme une « solution » pour réduire les dépenses liées aux soins de fin de vie. Qui, sinon des parlementaires corrompus, pourrait envisager d’instaurer une politique publique favorisant la mise à mort de personnes jugées trop coûteuses à soigner ? La décision de mourir deviendrait alors une question de budget et non de dignité humaine.

Pourtant en droit français, la non-assistance à personne en danger est un délit prévu par l’article 223-6 du Code pénal. Cet article stipule qu’il est puni d’une peine de prison et/ou d’amende toute personne qui, par son action ou son inaction, n’a pas porté assistance à une personne en danger alors qu’elle en avait la possibilité, sans risque pour elle-même. Plus précisément, l’article 223-6 du Code pénal dispose : « Quiconque, étant témoin direct de la mise en danger de la vie d’autrui, n’a pas porté secours à une personne en péril, est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende. »

Il existe toutefois des exceptions où la non-assistance à personne en danger ne s’applique pas si l’intervention présente un risque grave pour la personne qui pourrait intervenir, ni si cela contrevient à des principes éthiques ou moraux (par exemple, une intervention dans un contexte où cela violerait des droits fondamentaux). Mais l’idée centrale est qu’il y a une obligation morale et légale d’intervenir si l’on est témoin d’une situation où la vie ou la santé d’autrui est en danger, dès lors que l’on peut intervenir sans se mettre soi-même en danger. Cela inclut des situations comme des accidents, des noyades, des violences physiques, ou encore des menaces graves envers une personne.

Et toujours en droit français, la tentative de meurtre avec préméditation est une infraction particulièrement grave, et lorsqu’elle est commise en bande organisée, elle entraîne des peines beaucoup plus sévères. Ces infractions sont encadrées par plusieurs articles du Code pénal.

La tentative de meurtre est définie à l’article 121-4 du Code pénal, qui stipule que la tentative d’un crime est punie de la même manière que l’exécution du crime lui-même, à condition que l’acte incriminé soit arrêté avant le résultat prévu (dans ce cas, le meurtre). Le meurtre est défini à l’article 221-1 du Code pénal comme le fait de donner volontairement la mort à autrui. Lorsque ce meurtre est commis avec préméditation, cela implique que l’attaque a été planifiée à l’avance. La préméditation, par nature, aggrave la gravité du crime. La peine encourue pour un meurtre avec préméditation est la « Réclusion criminelle à perpétuité « (article 221-4 du Code pénal). Pour la tentative de meurtre avec préméditation, la peine est moins sévère mais reste très lourde avec 15 à 20 ans de réclusion criminelle (article 221-5 du Code pénal).

De plus, l’aggravation par bande organisée fait référence à l’article 132-71 du Code pénal, qui établit des peines plus sévères lorsque les crimes sont commis en bande organisée. Une bande organisée est une association de plusieurs personnes en vue de la commission d’un crime (comme un meurtre ou une tentative de meurtre). Donc pour une tentative de meurtre en bande organisée, la peine encourue est généralement réclusion criminelle à 20 ans, mais cela peut aller jusqu’à la perpétuité en fonction des circonstances. Ainsi, l’aggravation par bande organisée augmente considérablement les peines de réclusion criminelle, ce qui reflète le danger accru et le caractère particulièrement dangereux de l’infraction.

Or, ce qui est le plus scandaleux dans la législation sur l’euthanasie, c’est l’attaque directe portée aux plus fragiles de nos concitoyens que sont les malades incurables, les handicapés, les personnes âgées ou en situation de dépendance. Ces individus, déjà confrontés à une souffrance physique et psychologique immense, se retrouveraient poussés à choisir la mort plutôt que de continuer à vivre dans une société qui ne les soutient pas. L’argument selon lequel l’euthanasie offrirait un « droit de mourir dans la dignité » est un non-sens absolu. En vérité, cette loi serait une légitimation des abandons sociaux et médicaux. Le législateur, en votant cette loi, ne fait qu’accentuer la stigmatisation des plus vulnérables en leur offrant une « issue » qu’ils n’auraient pas choisie si le soutien médical, psychologique et social leur était correctement fourni.

Il est impossible de regarder cette question sous un autre angle que celui de la corruption systémique. Les députés qui soutiennent cette législation, au nom de leur « compassion », ne font que détruire l’ordre moral et juridique de la société. En votant en faveur de l’euthanasie, ils sacrifient les principes de respect de la vie humaine sur l’autel d’une gestion déshumanisée de la souffrance et commettent aussi un délit grave. Ce n’est pas un hasard si des lobbies économiques, des compagnies d’assurances, des groupes pharmaceutiques ou des entreprises de soins palliatifs ont tout intérêt à ce que l’euthanasie soit légalisée. Derrière le masque de la compassion, se cache un calcul économique bien plus sordide où le coût de la souffrance et des soins est élevé, et l’euthanasie devient alors une solution pour « éliminer » les dépenses inutiles. Tuer plutôt que soigner !

Seuls les lâches et les tyrans, imprégnés d’une peur viscérale de leur propre peuple, peuvent envisager d’éliminer leurs concitoyens par tous les moyens afin de préserver leur pouvoir. Dans l’histoire, les régimes les plus autoritaires et cruels ont toujours été motivés par une crainte irrationnelle du peuple qu’ils gouvernent, qu’ils perçoivent comme une menace à leur stabilité. Ces dirigeants, incapables de faire face aux aspirations et aux révoltes populaires, cherchent à étouffer toute forme de contestation, y compris par la suppression physique ou morale de ceux qu’ils jugent « inutiles » ou « dangereux ». L’idée de réduire la population par l’euthanasie s’inscrit parfaitement dans cette logique totalitaire où l’on préfère la soumission à la liberté, et où l’on élimine les voix discordantes, les plus vulnérables ou les moins productives pour que l’ordre établi ne soit jamais remis en question.

Ce recours à la « sélection » des vies humaines pour préserver le pouvoir n’est rien d’autre qu’un réflexe de lâcheté politique : plutôt que d’adresser les problèmes sociaux, économiques ou politiques qui gangrènent le système, ces tyrans préfèrent imposer la mort comme solution ultime. Cette volonté de réduire à néant ceux qui dérangent est une preuve de la faiblesse de ceux qui, incapables de répondre aux demandes de justice et de dignité, choisissent la violence de l’élimination. Le pouvoir qu’ils cherchent à maintenir est un pouvoir qui se nourrit de la peur et de l’oppression, un pouvoir qui ne tolère aucune forme de rébellion, même dans la souffrance humaine.

Il est difficile de voir autrement que comme une tentative de meurtre en bande organisée ce qui se cache derrière cette loi. Cette « démocratisation » de l’euthanasie, poussée par des parlementaires souvent bien loin des préoccupations des citoyens qu’ils sont censés représenter, ne fait que rendre la mort accessible et acceptable sous couvert de « liberté de choix ». Ce qui n’est en réalité qu’une dérive de plus, où la société abandonne ses plus fragiles au nom de la rentabilité. Les députés, dans leur quête de pouvoir et de compromis politiques, se transforment ainsi en véritables complices d’un crime collectif, celui de la négation de la dignité humaine. En validant cette législation, ils prennent part à une tentative de meurtre organisé, déguisé sous les atours de la loi.

Ainsi, face à cette menace directe, imminente et clairement ciblée, la seule réponse véritablement pertinente et légitime serait de défendre sa vie avec toute la force nécessaire. Lorsque l’on se trouve confronté à une tentative de meurtre préméditée, surtout lorsqu’elle est orchestrée par une bande organisée, il est non seulement moralement légitime, mais aussi juridiquement reconnu, de recourir à la légitime défense pour se préserver. Car l’article 122-5 du Code pénal précise que « celui qui agit pour se défendre contre une agression injustifiée, actuelle et dangereuse, peut recourir à la force », ce qui inclut la protection contre des attaques menées de manière coordonnée par des individus ou des groupes, qu’ils se cachent derrière des statuts officiels ou non. Il ne s’agit pas seulement d’un droit, mais d’un devoir envers soi-même et envers la société de se défendre contre ceux qui, sous des apparences légales et institutionnelles, œuvrent à l’élimination méthodique et systématique des innocents.

Ce n’est pas non plus un acte de rébellion impulsive, mais bien une réaction légitime face à des meurtriers de masse déguisés en parlementaires ou en autorités publiques, qui agissent dans l’ombre, prêts à sacrifier des vies humaines pour leurs intérêts ou ceux d’un système corrompu. Dans un tel contexte, chaque individu a le droit et même le devoir de se défendre, pour sa propre vie et pour la préservation de l’humanité contre ceux qui cherchent à la détruire sous couvert de légalité.

Il est donc impératif de stopper immédiatement cette dérive législative abjecte qui, sous couvert de « compassion », vise à légitimer l’euthanasie et, plus largement, à promouvoir une vision déshumanisée de la vie. Ce processus insidieux qui banalise la mort, qui transforme l’acte de vivre en simple calcul économique, et qui propose la fin de l’existence comme solution à la souffrance, est une menace directe contre l’essence même de l’humanité. Cette glorification de la mort, sans aucune considération morale ou éthique, ne doit plus être tolérée. Car la législation qui facilite l’euthanasie est une porte ouverte à des dérives bien plus profondes avec la dévaluation totale de la vie humaine et la normalisation de l’élimination des « indésirables », qu’ils soient malades, âgés ou vulnérables, et bientôt simplement opposants. Il est donc du devoir de chacun de se lever et de refuser que cette logique mortifère s’installe dans notre société. Nous devons impérativement agir pour punir ceux qui, au nom d’une fausse compassion, cherchent à sacrifier la vie des plus faibles.

Il est plus qu’urgent que les consciences s’éveillent et que des mesures fortes soient prises pour mettre un terme à cette législation avant qu’elle ne détruise les fondements moraux et éthiques de notre société. La défense de la vie humaine doit être notre priorité, et ceux qui cherchent à saper cette valeur doivent être tenus responsables de leurs actions. Nous ne pouvons plus permettre que des dirigeants, sous prétexte de progrès, se fassent complices de ce qui pourrait devenir un crime de masse institutionnalisé. Il est temps d’agir, de résister et de mettre fin à cette dérive destructrice.

Phil BROQ.

Blog de l’éveillé

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