La campagne politique de Bruno Retailleau, qui promeut « la France des honnêtes gens« , contraste fortement avec les scandales qui touchent Les Républicains (LR) depuis 5 ans. En effet, plusieurs responsables de LR ont été condamnés, comme Nicolas Sarkozy à plisuieurs reprises dans de graves affaires. On a également le cas de François Fillon et de sa femme. Ou bien le cas de Patrick Balkany (et sa femme), reconnu coupable de fraude fiscale et blanchiment, une affaire qui a durablement marqué l’opinion. Par ailleurs, Éric Woerth a été impliqué dans l’affaire Bettencourt, bien que blanchi, il a laissé des doutes persistants. De plus, Thierry Solère a été mis en examen pour corruption et trafic d’influence, un cas emblématique de malversation. En outre, Christian Estrosi a été éclaboussé par des soupçons de favoritisme, bien qu’innocenté, ces allégations ont terni son image aussi. Par ailleurs, Jean-François Copé a été condamné pour détournement de fonds dans l’affaire Bygmalion, un scandale financier majeur. De plus, Nathalie Kosciusko-Morizet a été impliquée dans des soupçons de favoritisme, bien que relaxée, ces accusations ont pesé sur sa carrière.

En conséquence, l’image d’intégrité de LR s’effrite, malgré les discours de Retailleau. Cependant, ce dernier argue que ces cas ne reflètent pas l’ensemble du parti. Néanmoins, l’opinion publique reste sceptique, estimant que ces scandales discréditent LR. Ainsi, la campagne de Retailleau semble incohérente face à ces réalités. Enfin, ces événements soulignent la nécessité d’une réforme urgente et en profondeur du système politique français.