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Un rapport accablant de Yaakov Garb, basé sur des données des Forces de défense israéliennes (FDI), révèle une crise humanitaire et démographique sans précédent à Gaza. Derrière la façade de la « distribution d’aides », se cache une stratégie militaire qui viole le droit international et la disparition de 377 000 Palestiniens. Un scandale humanitaire majeur que la communauté internationale ne peut plus ignorer.

Selon un récent rapport de Yaakov Garb du Harvard Dataverse, la situation à Gaza est catastrophique. Le document a mis en avant des cas de violations du droit humain. En effet, Israël n’a pas respecté le devoir d’assurer l’accès aux nourritures et aux fournitures médicales des civils à Gaza. Mais le rapport a aussi révélé que depuis le début du « génocide » jusqu’à ce jour, 377.000 Palestiniens sont portés disparus.
Où sont passés les 377 000 Palestiniens ?
Le rapport de Yaakov Garb pour Harvard Dataverse a mis en évidence l’horrible réalité. Les données démographiques présentées dans ce document ont révélé que depuis le début de la guerre, 377.000 Palestiniens sont portés disparus.
En effet, la population dans la bande de Gaza était de 2,227 millions avant le conflit. Mais d’après le rapport Garb, elle compte désormais 1,85 million d’habitants. Si on fait le calcul, on tombe sur un résultat effroyable, depuis la guerre à Gaza, 377.000 personnes sont portées disparues. Cet écart ne peut être attribué uniquement aux déplacés internes. Ce sont des dizaines de milliers de vies qui disparaissent des radars médiatiques et diplomatiques. Que sont devenues ces personnes ? Il est encore difficile de connaître avec précision leur sort. Il est possible que certains d’entre eux se trouvent encore sous les décombres. Mais on peut également associer cette baisse brutale du nombre de la population à Gaza par les déplacements forcés et les décès causés par la famine et la maladie.
C’est un nombre qui dépasse largement celui qu’Israël a révélé aux médias et a fait croire à la communauté internationale.
Notons que Yaakov Garb a analysé les cartes présentant les estimations de l’armée israélienne sur la population restant dans les trois principales enclaves de la bande de Gaza, dont la ville de Gaza, Mawasi et Centrale ; ainsi que des images satellites pour établir ce bilan démographique.
Une aide humanitaire détournée au service de la stratégie militaire
Le droit international humanitaire, incarné par la quatrième Convention de Genève, impose à toute puissance occupante de garantir l’accès des civils aux vivres et aux soins médicaux. Pourtant, le rapport de Yaakov Garb, de la Division de la documentation de Harvard, met en lumière un système qui bafoue ces obligations. Loin de faciliter l’aide, les autorités israéliennes ont mis en place un modèle de distribution qui entrave les agences humanitaires neutres et favorise des complexes militarisés.
Mais encore une fois, Israël n’a pas rempli son devoir. Le rapport Garb a révélé que le système instauré par l’Etat hébreu comporte plusieurs violations graves. Tout d’abord, les principes humanitaires fondamentaux de neutralité et d’indépendance ne sont pas respectés.Les complexes de distribution d’aide, gérés par des sociétés de sécurité privées américaines composées d’anciens militaires, protégés par l’armée israélienne, une configuration qui viole les principes fondamentaux de neutralité et d’indépendance des opérations humanitaires.
Les centres de distribution ont lieu dans des bases fortifiées, protégées par l’armée israélienne. Ces complexes se trouvent dans des « zones tampons » interdites d’accès aux civils. et exposent les Palestiniens à des risques mortels. Pourtant, les Palestiniens doivent y pénétrer pour obtenir de la nourriture ou des soins vitaux, au péril de leur vie. Par ailleurs, le rapport Garb révèle aussi que les sites bénéficient d’un aménagement en « entonnoir fatal ». Il n’y a qu’une seule entrée et sortie, une stratégie militaire israélienne pour optimiser la surveillance et le contrôle. Les complexes ne comportent pas d’ombre, d’eau et de toilettes.
Selon le rapport, les aides ne sont pas conçus pour servir les populations, mais pour les contenir. Le couloir Netzarim, qui coupe Gaza-ville, isole une grande partie de la population de toute aide accessible.
Le contrôle de la faim est devenu levier de domination, ce système, loin d’apporter le secours, impose un choix moralement inacceptable : risquer sa vie pour manger ou mourir lentement dans les ruines. Le rapport Garb ne dévoile pas seulement une manipulation cynique de l’aide humanitaire. Il pose une question fondamentale : où sont passés les 377 000 Palestiniens non comptabilisés ? Ce chiffre ne peut être balayé d’un revers d’indifférence bureaucratique.
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