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En France, les autorités françaises ont bloqué les stands israéliens au Salon aéronautique du Bourget – ils ont été voilés de noir.
En Italie, lors du Grand Prix de jiu-jitsu, un jeune Israélien de 16 ans a remporté la médaille d’or ; on lui a interdit de monter sur le podium pour la recevoir. Il a dû la récupérer en coulisses, « afin d’éviter toute provocation » ; l’Hatikvah, l’hymne israélien, n’a pas retenti.
Dans les universités européennes où de nombreux étudiants juifs sont conspués, on constate une attitude de soumission idéologique ou intellectuelle face aux revendications islamistes, ou à une lecture biaisée de l’histoire et de la culture islamiques, au détriment des valeurs occidentales et judéo-chrétiennes.
Ça y est, nous y sommes : la dhimmitude s’affiche publiquement en Europe. Cette volonté de ne pas déplaire aux islamistes, « pour ne pas faire de vagues », conduit à interdire la visibilité juive ou israélienne. Le terme dhimmitude vient du mot arabe dhimmi, qui désigne les non-musulmans (essentiellement juifs et chrétiens) vivant dans un territoire sous domination islamique, notamment dans l’Empire islamique classique.
Eurabia et dhimmitude
Le concept de dhimmitude appliqué à l’Europe est un sujet sensible, popularisé notamment par l’historienne Bat Ye’or dans ses ouvrages Eurabia et La Dhimmitude. Dès les années 1980, elle a commencé à alerter l’Europe sur cette dynamique.
Bat Ye’or, historienne juive d’origine égyptienne, élargit le concept de dhimmitude pour désigner une attitude volontaire de soumission des élites européennes face à l’islam politique ou au monde arabo-musulman, souvent au nom du multiculturalisme, du dialogue interreligieux ou d’intérêts économiques. En 2005, elle publie Eurabia : L’axe euro-arabe, son ouvrage le plus marquant. Elle y démontre comment, selon elle, l’Union européenne aurait progressivement intégré une vision pro-arabe, parfois au détriment de ses propres valeurs et d’Israël.
Conflit avec l’Iran
Il est presque amusant, si ce n’était dramatique, de voir qu’Israël, en répliquant aux innombrables attaques de l’Iran – par l’intermédiaire de ses proxies (le Hamas, le Hezbollah, les Houthis) – a coupé l’herbe sous le pied de la France et autres nations, alors qu’elles préparaient une Conférence européenne sur la Palestine.
Ce sujet n’est plus d’actualité !
Aujourd’hui, le monde est dans une expectative saisissante, voyant qu’Israël fait le sale travail et paie le prix fort pour empêcher l’État islamique iranien d’obtenir des ogives nucléaires qui constitueraient une menace pour toute la planète. Pourtant, qui aide véritablement Israël, à part les États-Unis de Donald Trump ?
La politique de l’autruche revient à se laver les mains, à la manière de Ponce Pilate. On sait aussi ce que la politique d’apaisement a produit lors de la Seconde Guerre mondiale : les Britanniques et les Français – Neuville Chamberlain et Édouard Daladier – ont laissé le champ libre à un certain Adolf Hitler selon une « politique d’apaisement ». Churchill avait déclaré : « Vous avez voulu éviter la guerre au prix du déshonneur. Vous aurez le déshonneur et la guerre ».
La dhimmitude, forme moderne de l’apaisement
La dhimmitude est une forme contemporaine de cette politique d’apaisement – une politique lâche, marquée par l’inaction. Toutes les nations sont concernées par cette passivité. L’Église également : au temps du nazisme, elle a brillé par son silence – il y a heureusement eu des exceptions, côté protestant et catholique.
L’histoire se répète… Il appartient à chacun, à son niveau, de se juger.
Mais tout n’est pas perdu. À travers l’histoire, des voix courageuses se sont toujours levées pour dire la vérité, même au prix du rejet ou de l’isolement.
Aujourd’hui encore, des hommes et des femmes, croyants ou non, refusent de céder à la peur, à la soumission ou au relativisme. Des chrétiens ouvrent les yeux sur les enjeux spirituels de notre temps, des politiques, des intercesseurs, des veilleurs : un petit reste demeure. Et ce reste, comme une braise sous la cendre, peut raviver le feu de la conscience, de la justice et de la fidélité à la vérité.
Il est temps de se lever, non pas dans la haine, mais dans la lucidité et l’espérance. Car la lumière est plus forte que les ténèbres. Et Israël, malgré les attaques, tient bon. Il reste le témoin, au cœur des nations. Dieu n’a pas dit son dernier mot.